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Comme les volets précédents, la grande violence présente à l’écran s’accompagne d’un véhément message anti-capitaliste, voire anarchiste, dénonçant des injustices économiques et raciales qui, elles, ne sont hélas pas de la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bref, bien que la mise en scène reste impersonnelle [...], le contrat est globalement rempli, et on est toujours partant pour de nouvelles virées dans cet univers.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Les origines de la Purge avaient de quoi passionner et captiver à l'heure de l'Amérique de Trump. Malheureusement, le long-métrage délaisse rapidement son propos politique pour livrer un film d'action bourrin sans fond et particulièrement cliché.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Davantage qu’un message politique un peu pesant (les riches tuent les pauvres), ce qui fait l’intérêt de la série, au-delà d’un divertissement ingénieux et effrayant, reposant sur un principe virtuel et ludique, c’est la représentation symbolique d’une dimension infernale des mythes sur lesquels reposent les Etats Unis, sur l’idée d’une violence comme essence de l’Amérique et de sa culture.
En ancrant sa trame dans une réalité politique effroyablement contemporaine, le prequel de The Purge est le reflet chaotique de notre époque ; la série B horrifique produite par Jason Blum insuffle la terreur dans ce qu’elle a de plus glaçante, sa pertinence sociale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ce nouvel American Nightmare reste bien ancré sur les rails de la violence banalisée. Pour autant, le film est l'occasion d'une des rares propositions stimulantes de ces dernières années pour ce qui est de ressusciter le mythe du héros américain.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Reprenant l’argument des trois premiers films de la franchise - l’immunité pour tout délit commis dans un délai de 24 heures -, le quatrième volet tente une incursion chez Wes Craven mais se fait vite rattraper par sa lourdeur et son indigence. Dommage.
Une «catharsis sociétale» expérimentée à Staten Island, à New York, dont les pauvres et les Noirs sont les principales victimes. Un volet très politique et moins inventif que les précédents.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
Comme les volets précédents, la grande violence présente à l’écran s’accompagne d’un véhément message anti-capitaliste, voire anarchiste, dénonçant des injustices économiques et raciales qui, elles, ne sont hélas pas de la fiction.
Mad Movies
Bref, bien que la mise en scène reste impersonnelle [...], le contrat est globalement rempli, et on est toujours partant pour de nouvelles virées dans cet univers.
Ecran Large
Les origines de la Purge avaient de quoi passionner et captiver à l'heure de l'Amérique de Trump. Malheureusement, le long-métrage délaisse rapidement son propos politique pour livrer un film d'action bourrin sans fond et particulièrement cliché.
Le Journal du Dimanche
Glaçant.
Le Monde
Davantage qu’un message politique un peu pesant (les riches tuent les pauvres), ce qui fait l’intérêt de la série, au-delà d’un divertissement ingénieux et effrayant, reposant sur un principe virtuel et ludique, c’est la représentation symbolique d’une dimension infernale des mythes sur lesquels reposent les Etats Unis, sur l’idée d’une violence comme essence de l’Amérique et de sa culture.
aVoir-aLire.com
En ancrant sa trame dans une réalité politique effroyablement contemporaine, le prequel de The Purge est le reflet chaotique de notre époque ; la série B horrifique produite par Jason Blum insuffle la terreur dans ce qu’elle a de plus glaçante, sa pertinence sociale.
Critikat.com
Ce nouvel American Nightmare reste bien ancré sur les rails de la violence banalisée. Pour autant, le film est l'occasion d'une des rares propositions stimulantes de ces dernières années pour ce qui est de ressusciter le mythe du héros américain.
IGN France
Quelque peu nanaresque, trop souvent indigeste, American Nightmare 4 est très loin de ce qu'il nous avait promis à l'origine.
L'Ecran Fantastique
[...] il ne faudrait pas que la série se prolonge indéfiniment, au risque de lasser et de se répéter [...].
Les Fiches du Cinéma
Reprenant l’argument des trois premiers films de la franchise - l’immunité pour tout délit commis dans un délai de 24 heures -, le quatrième volet tente une incursion chez Wes Craven mais se fait vite rattraper par sa lourdeur et son indigence. Dommage.
Le Figaro
Une «catharsis sociétale» expérimentée à Staten Island, à New York, dont les pauvres et les Noirs sont les principales victimes. Un volet très politique et moins inventif que les précédents.