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    La Surface de réparation
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    58 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2018
    Film qui parle sur l’ambiance du monde du foot !
    Franck très bien dans son interprétation. La vie n’est pas tjs juste. J’ai bien aimé !
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    46 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2018
    Une belle histoire dans le milieu du football ou l'on a un grand plaisir à retrouver Frank Gaztambide qui doit assiter un dirigeant de club et surtout surveiller les joueurs et leurs débordements et comment s'y prend til allez voir il est touchant
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 janvier 2018
    Le foot est bien plus une toile de fond que le sujet du film, on ne voit quasiment pas de foot, le film dépeint l'envers du décors, derrière le bling bling, la gloire gravitent des gens qui rêvent d'en faire partie.
    Franck et Salomé sont de ceux là entre l'homme à tout faire qui épaule la direction pour materner les joueurs et la michtonneuse qui souhaite vivre le luxe de compagne de joueur.
    Bon film à voir les acteurs sont très bons.
    Yves G.
    Yves G.

    1 464 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2018
    Ancien espoir, Franck (Franck Gastambide) n'est jamais passé pro faute de talent. Mais il n'a pas quitté le FC Nantes qui l'a formé et y ai devenu l'homme à tout faire de son président (Hippolyte Girardot). Tout en gardant un œil protecteur sur les amateurs, c'est lui qui cornaque les pros, fait leurs courses, leur évite les sorties de route.

    "La Surface de réparation" parle de football sans en montrer. On sait que les films qui lui sont consacrés sont rares et souvent mauvais, le football, le sport le plus télégénique au monde, étant paradoxalement terriblement peu cinégénique. Supporter du FC Nantes (je me souviens de la silhouette dégingandée de Maxime Bossis et des shorts en satinette de Patrice Rio), aficionado de l'OM, ultra du PSG, tu risques d'être déçu : si "La Surface..." parle des à côtés du football, il les filme comme il filmerait les à-côtés de n'importe quel show biz, où des stars surpayées vivent entourées d'une faune interlope.

    Fraîchement émoulu de la FEMIS, Christophe Régin signe son premier film. Il a eu la main heureuse dans le choix de ses acteurs. En confiant le rôle principal à Franck Gastambide, acteur de comédies souvent poilantes ("Les Kaïra"), parfois franchement ratées ("Pattaya"), il fait un pari audacieux mais réussi. Thomas Sotinel du Monde parle joliment de "tchao-pantinisation" pour décrire le processus par lequel un acteur de comédie célèbre choisit, la quarantaine venu, de prendre le tournant du drame (Coluche donc avec "Tchao Pantin", Michel Blanc avec "Monsieur Hire", Valérie Lemercier avec "Vendredi soir", Kad Merad avec "Je vais bien, ne t'en fais pas", Jamel Debbouze avec "Indigènes", etc.).

    Mais Franck Gastambide se fait voler la vedette par Alice Isaaz. C'est elle la vraie star du film dont chaque apparition aimante la pellicule. Elle joue un rôle casse-gueule : celui d'une meuf-à-footeux, à moitié vénale, à moité groupie. Elle aime le contact des célébrités, leur argent facile, leur gloire éphémère ; mais elle s'y brûle les ailes. On l'avait remarqué l'automne dernier dans "Espèces menacées". Elle explose dans "La Surface..."

    Pour autant, malgré ses qualités, ce film peine à se distinguer de la masse des productions cinématographiques françaises. En dépit d'une conclusion réussie et surprenante, son scénario se traîne et connaît quelques baisses de rythme fatales. Il est à craindre qu'après une ou deux semaines en salles, concurrencé par des films mieux distribués et plus stimulants, "La Surface..." ne sombre dans un oubli irréversible. Ce n'est pas cette critique qui le lui évitera.
    cylon86
    cylon86

    2 517 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 janvier 2018
    Le milieu du foot a souvent intéressé de près le cinéma mais a souvent eu du mal à trouver de l'ampleur. Ici, Christophe Regin nous emmène dans les coulisses d'un club de province et s'il ne filme pas les matchs, filme les stades qui se remplissent, les bars qui sont le fruit des discussions et les boîtes de nuit où les joueurs les plus populaires trompent leur femme. Vivotant autour du club depuis 10 ans, Franck vit et respire pour le club. Sans statut ni salaire, il surveille les joueurs, les empêche de faire des bêtises, renvoie les maîtresses chez elle, achète des choses aux joueurs, les couve et surveille les petits nouveaux. Autrefois bon footballeur, il n'a jamais eu le truc en plus qui lui a permis de passer pro. Sa rencontre avec Salomé, une femme gravitant autour des joueurs pour coucher avec va peut-être lui permettre de changer la donne... La qualité du film, c'est son message universel. S'il se passe dans le monde du foot, il pourrait très bien se dérouler ailleurs. Sa grande force est dans ses personnages, notamment celui de Franck qui permet à Franck Gastambide de confirmer tout le bien qu'on pense de lui, l'acteur assumant avec charisme et talent ce rôle dramatique qu'il porte à merveille. Gastambide nous attache à ce personnage de loser, ce type qui n'est pas prêt à s'éloigner du monde du foot mais qui a seulement un pied dedans. Face à lui, Hippolyte Girardot nous sort son numéro de vieille fripouille habituelle qui nous délecte tandis qu'Alice Isaaz continue de charmer par sa capacité à assumer des rôles impertinents à tendance tragique. L'alchimie entre elle et Franck Gastambide fonctionne d'ailleurs plutôt bien et si le film accuse d'un petit coup de mou dans son milieu, force est de reconnaître qu'il porte en lui une belle portée émotionnelle et mélancolique et ce jusque dans son dénouement.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 janvier 2018
    Au début assez réticent par rapport au thème "football", et en fait on se rend vite compte que ça n'a aucune importance, ça aurait pu être n'importe quel autre domaine ça n'aurait rien changé. Film excellent.
    Franck est juste prenant, j'en reste bluffé par le fameux "Kaïra".
    Au bout d'à peine une minute ou deux j'étais convaincu par le personnage, on y croit du début à la fin, et ça, ça fait vraiment plaisir.
    Marcel D
    Marcel D

    104 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2018
    Un film sur le manque d'ambition, un film à l'image de son propos. Que dire de négatif sur ce film ? Pas grand chose : le duo d'acteurs fonctionne très bien (Alice Isaaz fascinante comme d'habitude et Gastambide montre une nouvelle fois qu'il est bien plus qu'une Kaïra), une peinture du monde du foot vu de l'intérieur qui sonne plutôt vrai, l'heure et demi passe rapidement. Mais il manque un vrai enjeu dramatique, une excitation, on attend que le film se lance véritablement... On apprécie son manque de prétention, mais on aurait aimé qu'il soit plus ambitieux. A l'image de Franck et Salomé !
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2018
    Quelques mois après "Mercenaire", de Sacha Wolf, film sur des côtés pas glorieux du rugby, voici un film sur des côtés pas glorieux du football. Pour celles et ceux qui n'aiment pas le football, rassurons les tout de suite : on ne voit pratiquement pas de football durant les 94 minutes que dure le film. Il faut même clamer haut et fort que ce film plaira davantage aux contempteurs de ce sport qu'à celles et ceux qui en sont fans. "La surface de réparation", tourné dans l'environnement du FC Nantes, s'intéresse surtout à 3 personnages principaux : Franck, interprété par Franck Gastambide, un loser attachant, ancien du centre de formation de Nantes, qui n'a pas pu passer pro par manque de talent et, qui, sans vraiment faire partie du club, en est devenu l'homme à tout faire ; Salomé, interprétée par Alice Issaz, qui ne laisse pas Franck indifférent, une groupie de footballeurs qui les collectionne comme d'autres, avant elle, collectionnaient les guitaristes de rock ; Yves, interprété par Hippolyte Girardot, dont on ne saura jamais quelle place exacte il a dans le club mais dont on sait très vite qu'il a souvent recours à Franck pour lui sauver la mise.
    Ce sont donc les coulisses du foot que nous montre Christophe Regin dans son premier long métrage, les footballeurs qui trompent régulièrement leurs épouses, qui vont régulièrement en boite, qui picolent, qui n'ont plus de jambes les jours de match, qui n'hésitent pas à débourser 45 000 euros, sur un coup de tête, pour l'achat d'une Citoën SM de collection. Un peu exagéré, sans doute, mais seulement un peu ! Sujet intéressant, donc, excellente interprétation (Après "Good luck Algeria", les films sur le sport conviennent bien à Franck Gastambide !), MAIS réalisation qui pêche par manque de nerf et qui "fait" plus téléfilm que grand film de cinéma. A noter que Christophe Regin invente le football à 12 joueurs, faisant dire à un de ses protagonistes que l'équipe, lors de son prochain match, va jouer en 3 5 1 2, soit 11 joueurs de champ plus le goal.
    superbatmanu
    superbatmanu

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2018
    Allez-y pour la mise en scène, allez-y pour le scénario, allez-y pour la sensibilité ! Allez-y pour la virilité des comédiennes ! Allez-y pour Gastambide ! Allez-y pour Christophe Régin ! (de la balle !)
    kevinbarnes
    kevinbarnes

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2018
    Film sensible et qui assume son côté anti-spectaculaire. Un casting 5 étoiles avec des acteurs qui "sonnent" juste. Une belle trajectoire de rêveur déçu .... A voir pour Franck Gastambide et Alice Isaaz ... duo parfait de ce film qui sort de l'ordinaire de la production française
    Jorik V
    Jorik V

    1 273 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2018
    Pour son premier film Christophe Régin choisit d’en placer l’histoire dans le milieu du football, un milieu qu’il connaît bien et cela se ressent durant toute la durée de la projection. Il y a un sentiment de vécu qui se dégage de « La surface de réparation » qui est indéniable. Mais le film n’est pas du tout un film sur le football ni un film sportif, il ne faut pas se méprendre. C’est juste une chronique qui prend pour toile de fond ce milieu et ceux qui gravitent autour, des joueurs à l’entraîneur en passant par le patron de club, la fille à footballeur ou encore l’homme à tout faire du club, celui qui exécute les basses besognes. Et ce sont ces deux derniers rôles que jouent très bien la flamboyante Alice Isaaz et Franck Gastambide (s’essayant à un terrain plus dramatique qui lui va plutôt bien) qui sont au centre de l’intrigue.

    D’ailleurs le film commence d’ailleurs plutôt sous les meilleurs auspices en naviguant sur les eaux du romantisme sombre dès lors que les deux personnages principaux se rencontrent. C’est intriguant et on apprécie que la caméra nous fasse parallèlement déambuler dans les coulisses de ce sport si médiatisé. Mais plus « La surface de réparation » avance et plus l’intrigue se délite pour ne finalement plus raconter grand-chose et nous laisser sur la le carreau. L’embryon de relation tissé par les protagonistes est plus ou moins abandonné en cours de route et ne revient que sporadiquement dans le jeu. Mais ce qu’essaye de raconter le scénario par la suite ou à côté n’a rien de bien passionnant. Dommage car la première demi-heure accroche et laissait présager un drame amoureux tendu et vénéneux.

    On voit également que c’est un premier film tant l’aspect formel reste trivial et la caméra hésitante. On n’est parfois pas loin d’une mise en scène télévisuelle. Les intentions, assez bonnes, sont là mais le traitement souffre d’un rythme de plus en plus chaotique et on finit par s’ennuyer, d’autant plus que la conclusion n’est pas très fameuse et s’avère même décevante. On a même l’impression que scénariste et réalisateur comblent leur intrigue par des scènes anecdotiques qui n’apportent rien au film dans la seconde partie. On n’est donc pas face à un mauvais film ni un film raté mais ce premier essai manque d’ampleur, de rigueur, de fond et gâche surtout une belle piste à travers la relation pas assez approfondie des deux rôles principaux. Dommage.

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 janvier 2018
    C'est un film percutant sur la face moins connue du football. On y voit pas ou peu de foot mais le destin de Franck qui aurait pu être de la fête du sport pro mais se retrouve faute de talent ou de chance, à graviter autour l'univers dont il rêvait. Qui eut cru que derrière son humour potache Franck Gastambide avait ce potentiel dramatique, le réalisateur surement qui le filme "au contact" pour nous faire partager son amour amer de ce sport et de ceux qui en vivent. Et c'est ce qui caractérise ce film, comment nous ne faisons pas qu'assister au périple initiatique de Franck mais comment nous le vivons avec lui. Épaulé par un Hippolyte Girardot trop peu vu au cinéma tant est grand son talent et une jeune comédienne, Alice Isaaz, bien en place dans le rôle de la fille à fouteux, F. Gastambide s'impose...
    Un premier film solide, qui respire, une promesse.

    est-il utile de vous dire que je vous encourage à aller le voir au plus vite?
    tony-76
    tony-76

    1 075 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2018
    On n'a pas vraiment l'habitude de voir des longs-métrages comme La Surface de réparation dans notre paysage cinématographique, et ça fait du bien ! Premier film pour Christophe Régin, La Surface de réparation aborde le milieu du football de manière pertinente sans trop en abuser dans les clichés. Franck, un homme solitaire soutient les joueurs du FC Nantes. Sans statut, ni salaire, il les motive sur les matchs et les couve pour leurs erreurs... Et un soir, il rencontre une jeune femme courant après les footballeurs... Il n'est pas question de business, Régin parle de l'humain et cela en dit beaucoup ! Le public regarde le sport sous un angle original en cherchant derrière les projecteurs de l’avant-scène l’ombre de ces coulisses. La réalisation est simple, efficace faisant preuve d'une certaine audace, avec une atmosphère bien sombre et d'une photographie très respectable. La musique est composée pour la première fois par le Dj Para One se révèle une bonne surprise et possède un bon potentiel pour la suite. Bien sûr, la réussite de La Surface de réparation vient également du casting ! Franck Gastambide dresse un portrait sensible dans la peau de ce looser magnifique, et surprend dans son sérieux. Les spectateurs auront compris qu'il sait jouer autre chose que la racaille de banlieue comme dans Les Kaira et Pattaya ! Gastambide trouve assurément son plus beau rôle dans sa carrière d'acteur !! Il est accompagné par la fraîcheur d'Alice Isaaz, formant tous les deux une bonne complicité à l'écran. Agréable de retrouver Hippolyte Girardot qu'on voit trop peu sur le grand écran. L'émotion est très présente lors des moments prenants que transmet le film spoiler: - voir F. Gastambide hurler de colère dans sa voiture -
    n'est pas une chose habituelle du comédien. Le réalisateur a sans doute fait plaisir à son acteur principal spoiler: en mettant des animaux
    dans sa production, puisqu'il était un ancien dresseur... Sa fin s'avère réussie, spoiler: et donne beaucoup d'espoir !
    En clair, La Surface de réparation est une chronique sociale qui ne tombe jamais dans la caricature et dont le premier film de Christophe Régin s'avère prometteur pour la suite de sa carrière. Une honte qu'il est fait si peu d'entrées ! Franck, un taxi 6 s'il te plait...
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