Mon compte
    Les Veuves
    Note moyenne
    3,4
    3570 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les Veuves ?

    260 critiques spectateurs

    5
    18 critiques
    4
    55 critiques
    3
    106 critiques
    2
    52 critiques
    1
    21 critiques
    0
    8 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    76 abonnés 604 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 décembre 2018
    Malgré une distribution 5 étoiles, le film est lent, long et ennuyeux. C'est vraiment peu crédible malgré les rebondissements du scénario. Décevant.
    Requiemovies
    Requiemovies

    207 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2018
    Dans Hunger et Shame, Steve McQueen, plasticien de référence, livrait son savoir-faire en tant que metteur en scène. Sur un sujet lui permettant de mêler fond et forme, ses deux films faisaient office d’uppercut tant la mise en scène du réalisateur, sa direction d’acteurs et son talent a relaté un fait historique douloureux, comme une histoire fictive, mettaient à mal le spectateur.
    12 Years a Slave McQueen adaptait l'autobiographie de Solomon Northup, et poursuivait dans la veine de Hunger et Shame, tout en signant un film qui dénonçait une Amérique qui devait se regarder, elle, moderne, et son histoire.
    Aves Widows, pure fiction cette fois, la satire politique est légèrement laissé de côté pour laisser place à un récit un peu plus banal que dans la plupart des thrillers mais à la mise en scène toujours léchée et appuyée. Si on peut critiquer certaines séquences pour leur effet tape à l’œil, d’autres mêlent habilement une forme dont émerge la grammaire cinématographique de Steve McQueen, déjà élaborée tout au long de ses trois premiers films. En tentant d’échapper à une constante démonstration cinématographique (tente mais ne réussit pas tout le temps, on ne se refait pas) McQueen résiste et propose un vrai travail de direction d’acteur avec un casting épatant qui met les femmes en avant, sans pour autant les transposer dans des personnages au profil « masculin » mais en gardant leur statut intact. Il n’est cependant pas simple de mêler, comme ici, émotion et action tout en conservant une mise en scène « auteurisante » comme dans ses deux premiers films. Pour autant, en tentant une approche cinématographique plus populaire et lisible (les lenteurs nécessaires de Hunger sont absentes, la radicalité et le côté docu-réal de Shame également) Widows réussit où là ont beaucoup échoué à vouloir faire un copier/coller des films phares du genre (on pense notamment à Heat). Ici, la caractérisation des personnages, et la crédibilité de l’interprétation que chaque comédien apportent donnent à l’ensemble une part réaliste aux retournements pourtant parfois un peu téléphonés. Mais McQueen ne se perd pas totalement dans le film de genre puisque ce dernier est également à voir comme une satire de la politique américaine contemporaine, de la finance pardon (sic.), où les apparats de surface et les apparences de sous-sol ne sont jamais celles qu’on croit.
    Joli film qui rend plus hommage aux femmes que cliché d’un métrage féministe pour le style et la tendance, Widows contient tous les éléments pour en faire un thriller intelligent à défaut d’un immense polar. Pour cela il manque une certaine noirceur (coutumière chez McQueen pourtant) mais on sent clairement l’envie de toucher un public plus large et de tenter une aventure cinématographique peut-être un peu plus légère pour le fond sans en oublier la forme. requiemovies.over-blog.com
    Taichangkwan
    Taichangkwan

    3 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2018
    Il y a toujours des films avec une bande annonce si alléchante que vous êtes sûr que vous allez passer un super moment. Le moment était sympa mais un peu trop long parfois. J'étais déçu car certains personnages sont creusés longuement mais ne m'intéressaient pas tant que ça tandis que d'autres sont laissés sur le côté alors qu'ils auraient gagné à être plus travaillés. Le personnage principal était vraiment pour moi éreintant. Un peu trop de blabla sa vie alors qu'on aimerait apprendre plus de choses sur les autres. Honnêtement pour en arriver où le film arrive, 2h c'était assez long.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Bonjour à tous j'avais fait une critique en sortant de ce film mais qui ne me semble pas avoir été publié donc me voilà en train de recommencer le film après en avoir vu une dizaine entre-temps... J'avais trouvé le scénario très original et le film rondement mené bien que l'on puisse penser au dénouement on reste quand même dans l'expectative en espérant connaître la réponse à la fin du film et tout ceci nous maintient en haleine pendant tout le film qui se déroule sous nos yeux sans que l'on n'ait à regarder notre montre un seul instant ! Pour moi c'est une réussite d'autres trouveront peut-être à redire comme quoi les goûts et les couleurs...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Juste top , j'ai adoré.une histoire original, des acteurs sublimes , un dénouement étonnant .
    lllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
    Critic35
    Critic35

    12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Réaction à chaud: Étant un fan du cinéma de Steve McQueen, je m’apprete a voir le film avec des amis, avec zéro bande annonce en tête, ni même l’histoire, et je suis content de voir ce film, que j’ai moi même conseillé voyant le nom du réalisateur que j’adore. Je sors de la séance,dépité: pourquoi me diriez vous? Car je sors d’une séance de cinéma déçu de ce que je viens de voir.
    Le film est plat,long,incohérent,et le scénario à la limite du bateau.
    Comment un artiste comme Steve McQueen, père du puissant Hunger et du magnifique Twelve Years a Slave à t-il pu en arriver là? Malgré un graphisme fort des images et des scènes bien ficelés avec un réel dynamisme ( scène d’ouverte et le braquage des femmes) la patte ne prend pas. Le spectateur s’y perd, l’histoire continue sans le fond.
    Les Veuves est la définition d’un film sans fond mais avec de la forme..
    PS: Le seul petit vient au casting, avec un très bon Colin Farrell, malgré le surjeu constant de Viola Davis, fort dommage. spoiler:
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Très très déçue! Ils avaient tout pour faire un super film, mais là le scénario n’a franchement aucun sens. Aucune émotions bref je suis dure mais je m’attendais à un truc de ouf
    Dommage
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2018
    Les veuves (2018

    De temps en temps, lorsque vous êtes au cinéma, vous vous retrouvez face à des films qui vous donnent envie de quitter la salle tant ils sont désopilants et parfois vous vous retrouvez face à une pépite rare qui vous laisse béat. L’œuvre vous plait tellement que lorsqu’on essaye de vous la gâcher en vous perturbant ou en faisant un commentaire inapproprié par exemple, vous devenez instantanément irascible et peu gracieux quant à vos propos… C’est exactement ce qu’il s’est passé durant la séance des veuves. J’étais accroché à mon fauteuil du début jusqu’à la fin mais les individus autour de moi semblaient pris d’un grand déterminisme lorsqu’il s’agissait de me pourrir la séance. Comme l’a hurlé une spectatrice : « une salle de cinéma, c’est fait pour rire, pour pleurer, pour vibrer » on n’est pas dans un salon de thé, on n’est pas là à faire des caprices parce qu’on n’est pas à côté de son pote préféré, on est là pour écouter des dialogues, pour se laisser bouleverser par un texte profond, on est là pour tomber amoureux d’un Art qui nous dépasse. Alors messieurs les enquiquineurs, restez dans votre salon si vous n’êtes pas capables de vous comporter en adulte ou si vous n’êtes pas en mesure de tenir votre langue lorsque Viola Davis roule de grosses pelles à Liam Nesson. Bref mes chers amis, mon expérience a été chamboulée par le comportement houleux de quelques mauvais farceurs mais le film m’a procuré tout ce que j’attendais de lui…un vent d’air frais dont le paysage cinématographique avait bien besoin. Mais je ne suis pas là pour vous surcharger de métaphores, je m’attaque au plus gros morceau : la mise en scène.
    Steve Macqueen fait partie de cette génération de réalisateurs noirs qui ont fait bouger les choses…Son nom est inscrit juste à côté de celui de Spike Lee car sa réussite est indiscutable ; rappelez-vous de Shame et Hunger, les œuvres qui ont révélé Mickael Fassbender au grand public ; souvenez-vous de 12 years of slave, ce film politique où l’Amérique en prenait pour son grade tant elle était décriée. Un trio poignant de longs métrages durs, violents, démonstratifs où les usages habituels sont mis de côté. Avec les veuves, nous avons le droit à un ton plus léger, une œuvre feel good dans la filmographie de McQueen qui se veut méchamment efficace tant la tension est au rendez-vous. Chaque scène a son lot de rebondissements, de coups d’éclat, d’effervescence. On est serein pour les personnages, on les croit à l’abri dans leur tour d’ivoire et le mal survient des entrailles de la terre pour les bousculer. Le rythme du film est donc déstructuré car la volonté du réalisateur est de jongler avec nos émotions ; la violence de certains passages est donc abrupte et la mise en scène est vicieuse car elle contraste avec des instants de joie, de réconfort, d’espoir. C’est comme si la time line était un joli château de sable mis constamment à l’épreuve du vent. Et c’est pour cet élément précis que le metteur en scène est très convaincant. Il met une corde autour du cou de ses quatre protagonistes et il vous dit droit dans les yeux : « regardez, il peut leur arriver quelque chose à tout moment ». De plus, il ne se gêne pas pour mettre sur le devant de la scène des sujets qui fâchent : la violence envers les animaux, les bavures policières, les crimes raciaux, les violences domestiques, les abus de pouvoir, le népotisme, les conséquences de l’avidité, la façon simpliste de se procurer une arme sur le sol Américain... Une nouvelle fois Mcqueen plante le décor et dévoile au grand jour une ville recouverte de meurtrissures, une ville de Chicago à la fois sublimée et éclaboussée de reproches, une ville qu’on n’a pas l’habitude de voir au cinéma et qui offre un décor fonctionnel, nuancé, fracturé… On passe d’un beau quartier à un territoire malfamé, d’un loft à un entrepôt, d’un QG de campagne à un salon de coiffure et cela tout le long. C’est un mélange des classes qui n’est pas anodin et qui sert l’intrigue. J’ai énormément apprécié cette façon qu’avait la caméra de dévoiler peu à peu l’esthétisme d’une pièce ou alors son gigantisme, sa démesure, cette manière dont elle filme l’excès ou l’étalage de richesse. Très souvent nous sommes avec un personnage, le cadre est resserré sur lui comme si celui-ci était dans une prison personnelle. J’ai été scotché par la justesse des plans, l’équilibre de la caméra, l’harmonie des décors, la présence du violet, du calme avant la tempête dont nous sommes témoins de l’intro jusqu’à la conclusion.
    Pour ce qui est du message féministe, il est subtilement introduit, nous avons affaire à des femmes qui ont subi le joug de mâles dominants, qui se sont écrasées devant l’adversité, qui sont restées aveugles et qui ont décidé d’ouvrir les yeux, de dépasser leur condition de femme, d’aller au-delà des idées reçues, de tenir tête au machisme local, de crier « non, nous ne sommes pas faibles ; non, nous ne sommes pas à votre botte ; non, nous ne vous appartenons pas ». Il y a là une vraie émancipation, un sentiment de ras le bol, une envie de dire « ça suffit » et mon dieu que ces portraits de femmes sont séduisants, on les montre accablées, bonnes à rien, hantées puis elles vont à l’encontre de ce qu’elles étaient et font plier l’homme. J’aime ces femmes qui sortent les crocs car elles ne veulent pas être celles qu’on leur impose d’être : des objets sexuels, des faire- valoir, des princesses inoffensives.
    Le casting est remarquable, je tirerai ma révérence à Viola Davis et à Elisabeth Debicki qui ont toutes les deux porté le film mais aussi à un Colin Farell provocateur, manipulateur mais écrasé par le poids de sa famille. Enfin je voudrais encenser Daniel Kaluuya car il nous offre un personnage dérangeant, dangereux et obstiné quand il s’agit de faire souffrir.
    Bon pour clôturer ce ressenti, je dirai que ce film est étincelant de par sa mise en scène mais aussi grâce à son casting ; c’est émouvant, vibrant, parfois drôle, méchamment satyrique et puis…C’est du Steeve Mcqueen !! Foncez le voir en salle, les amis.
    Un ressenti rédigé par le sensei du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 décembre 2018
    un gros potentiel mais pas assez dynamique, lent à démarrer, le scénario se perd dans des détails inutiles, assez déçue
    Stefan R
    Stefan R

    26 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2018
    Les Veuves : un thriller qui fait peau neuve ! Belle idée, bien réalisé, avec un casting de qualité !!! Mais, des longueurs et ça manque de profondeur !!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 décembre 2018
    scenario passionnant , casting remarquable , belle photo , mais trop de blabla en milieu de film , comme tout bon film americain il faut aussi de la violence et des séquences action , avec un montage réduit et plus serré ce pourrait etre un grand film
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 décembre 2018
    Beaucoup de looooongeurs, le film se perd dans plusieurs dimensions qui ne permettent pas de s'y retrouver. L'action n'arrive qu'à la fin au milieu de pleins de rebondissements sans aucun sens.
    Un film qui ne met pas en valeur le talent de Viola Davis.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    115 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 décembre 2018
    Il y a trop de fils conducteurs dans ce scénario coécrit par Gyllian Flynn qui me déçoit, pour le coup. Gangs, politique, braquage, il y a au moins un sujet en trop. Comme dans les autres films de Steve McQueen II, des plans durent trop longtemps et instaurent des longueurs évitables. Dommage, pour une fois qu'un film de braquage au féminin n'est pas tourné en comédie ou en ridicule (cf Ocean's 8 ou Bandidas).
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 décembre 2018
    Très bon réalisateur
    Très bon son
    Très bon acteurs et actrices
    Très bonne surprise à la fin
    Bcp mieux que je pensais
    Donc à voir !
    cineccita
    cineccita

    46 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2018
    Un scénario accrocheur, la pléiade de stars sert bien le film.
    Steve Mc Queen a eu l'intelligence de ne pas enfermer les acteurs noirs dans un concept manichéen.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top