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18 critiques presse
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
"Lumières d’été" peut se lire simplement comme un témoignage du réalisateur, comme une déclaration d’amour pour la ville d’Hiroshima. Il peut aussi constituer une invitation plus profonde à s’interroger intimement sur notre propre rapport à l’Histoire et l’importance déterminante qu’elle peut jouer sur notre quotidien. Dans les deux cas, il parvient admirablement à ses fins.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Sophie Joubert
Sur un sujet douloureux, Jean-Gabriel Périot signe avec "Lumières d’été" un film subtil et profondément japonais, où les morts cohabitent avec les vivants.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
La mémoire hante les dialogues et les plans. La mise en scène saisit des souvenirs qui reprennent corps. La bande sonore, de son gong lointain, scande le rappel. On oublie l’histoire si on ne la raconte plus. La mémoire efface, mais le cinéma doit raviver le passé.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film insolite, comme une sorte d’“Hiroshima mon amour” d’aujourd’hui qui, apaisé, laisse parler la tendresse pour répondre à l’ineffaçable et à l’ineffable de la tragédie.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film d’une grande sensibilité.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
La légèreté et la gravité, c’est aussi la tension qui existe entre un événement incommensurable tel qu’Hiroshima et la nécessité de continuer à vivre. Ni amnésie, ni écrasement paralysant, telle est la dialectique qui se pose aux survivants (et au reste de l’humanité) après les grandes atrocités de l’histoire. Périot apporte à cette tension une réponse poétique et cinématographique superbe vers la fin de son film (…).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Lumières d’été a quelque chose de transparent. Et il cherche quelque chose d’éphémère : dans sa quête d’une fiction théorique qui aurait en même temps les couleurs de l’expérience (les couleurs de la mer au petit matin), il ressemble à l’un de ces feux d’artifice tenant entre les doigts, que l’un des deux autres personnages principaux du film, un enfant nommé Yuji, aime à allumer les soirs de fête.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Si le jeu des acteurs amateurs est parfois un peu maladroit, une vraie grâce affleure au fil de la balade, surtout quand le récit quitte la ville pour le bord de mer, dévoilant un autre Hiroshima que celui de la ville industrielle qui a survécu à l’holocauste nucléaire.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Elise Domenach
Ce subtil mélange de documentaire et de fiction permet à Jean-Gabriel Périot (...) d'observer comment l'histoire documentée par le cinéma affecte son héros, le transforme.
Transfuge
par Elise Lépine
"Lumières d'été" est un film apaisant, conte d'amour joyeux porté par la grâce d'un fantôme bienveillant.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
C'est un petit film qui n'a l'air de rien. Il laisse un sentiment de perte, avance d'un pas feutré, cultive la mémoire avec une grâce de libellule.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un film sensible et simple, curieusement léger et dénué de toute plainte, articulé autour de trois scènes et de trois registres distincts destinés à interpeller notre devoir de mémoire.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Bien qu’inégal, "Lumières d’été" n’en demeure pas moins une tentative atypique de fiction franco-japonaise, qui ne s’aventure à marier les contraires que pour gagner autant en légèreté qu’en profondeur, et rendre justice aux douleurs du passé sans piétiner les droits précieux de l’instant présent.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Jacques Morice
Le fond est grave, mais la forme, légère et douce. "Lumières d'été" est une balade sentimentale qui unit avec naturel passé et présent. Un récit d'apprentissage où les fantômes s'invitent volontiers, mais pour apaiser.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Le film demeure incapable d’approfondir les thèmes qu’il aborde. Malgré tout, si Lumières d’été apparaît comme une esquisse, il peut séduire par l’élégance de sa mise en scène et la douceur de ses images célébrant la vie au-delà du poids du souvenir.
Critikat.com
par Thomas Choury
"Lumières d’été" rate le coche, celui d’être un film poétique et hanté, personnel et universel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par La Rédaction
C'est délicat comme un haïku, zen comme une cérémonie du thé et ennuyeux comme la saison des pluies au pays du Soleil-Levant.
L'Obs
par François Forestier
Premier film de fiction de Jean-Gabriel Périot, auteur de documentaires (dont le formidable "une Jeunesse allemande", 2015), "Lumières d'été" combine une certaine gravité avec une légèreté sympathique. Surtout, le récit est beau à regarder, grâce à la photo de Denis Gravouil : c'est "Hiroshima mon amour" version XXIe siècle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Culturopoing.com
"Lumières d’été" peut se lire simplement comme un témoignage du réalisateur, comme une déclaration d’amour pour la ville d’Hiroshima. Il peut aussi constituer une invitation plus profonde à s’interroger intimement sur notre propre rapport à l’Histoire et l’importance déterminante qu’elle peut jouer sur notre quotidien. Dans les deux cas, il parvient admirablement à ses fins.
L'Humanité
Sur un sujet douloureux, Jean-Gabriel Périot signe avec "Lumières d’été" un film subtil et profondément japonais, où les morts cohabitent avec les vivants.
La Septième Obsession
La mémoire hante les dialogues et les plans. La mise en scène saisit des souvenirs qui reprennent corps. La bande sonore, de son gong lointain, scande le rappel. On oublie l’histoire si on ne la raconte plus. La mémoire efface, mais le cinéma doit raviver le passé.
Le Dauphiné Libéré
Un film insolite, comme une sorte d’“Hiroshima mon amour” d’aujourd’hui qui, apaisé, laisse parler la tendresse pour répondre à l’ineffaçable et à l’ineffable de la tragédie.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’une grande sensibilité.
Les Inrockuptibles
La légèreté et la gravité, c’est aussi la tension qui existe entre un événement incommensurable tel qu’Hiroshima et la nécessité de continuer à vivre. Ni amnésie, ni écrasement paralysant, telle est la dialectique qui se pose aux survivants (et au reste de l’humanité) après les grandes atrocités de l’histoire. Périot apporte à cette tension une réponse poétique et cinématographique superbe vers la fin de son film (…).
Libération
Lumières d’été a quelque chose de transparent. Et il cherche quelque chose d’éphémère : dans sa quête d’une fiction théorique qui aurait en même temps les couleurs de l’expérience (les couleurs de la mer au petit matin), il ressemble à l’un de ces feux d’artifice tenant entre les doigts, que l’un des deux autres personnages principaux du film, un enfant nommé Yuji, aime à allumer les soirs de fête.
Paris Match
Si le jeu des acteurs amateurs est parfois un peu maladroit, une vraie grâce affleure au fil de la balade, surtout quand le récit quitte la ville pour le bord de mer, dévoilant un autre Hiroshima que celui de la ville industrielle qui a survécu à l’holocauste nucléaire.
Positif
Ce subtil mélange de documentaire et de fiction permet à Jean-Gabriel Périot (...) d'observer comment l'histoire documentée par le cinéma affecte son héros, le transforme.
Transfuge
"Lumières d'été" est un film apaisant, conte d'amour joyeux porté par la grâce d'un fantôme bienveillant.
Le Figaro
C'est un petit film qui n'a l'air de rien. Il laisse un sentiment de perte, avance d'un pas feutré, cultive la mémoire avec une grâce de libellule.
Le Journal du Dimanche
Un film sensible et simple, curieusement léger et dénué de toute plainte, articulé autour de trois scènes et de trois registres distincts destinés à interpeller notre devoir de mémoire.
Le Monde
Bien qu’inégal, "Lumières d’été" n’en demeure pas moins une tentative atypique de fiction franco-japonaise, qui ne s’aventure à marier les contraires que pour gagner autant en légèreté qu’en profondeur, et rendre justice aux douleurs du passé sans piétiner les droits précieux de l’instant présent.
Télérama
Le fond est grave, mais la forme, légère et douce. "Lumières d'été" est une balade sentimentale qui unit avec naturel passé et présent. Un récit d'apprentissage où les fantômes s'invitent volontiers, mais pour apaiser.
Cahiers du Cinéma
Le film demeure incapable d’approfondir les thèmes qu’il aborde. Malgré tout, si Lumières d’été apparaît comme une esquisse, il peut séduire par l’élégance de sa mise en scène et la douceur de ses images célébrant la vie au-delà du poids du souvenir.
Critikat.com
"Lumières d’été" rate le coche, celui d’être un film poétique et hanté, personnel et universel.
L'Express
C'est délicat comme un haïku, zen comme une cérémonie du thé et ennuyeux comme la saison des pluies au pays du Soleil-Levant.
L'Obs
Premier film de fiction de Jean-Gabriel Périot, auteur de documentaires (dont le formidable "une Jeunesse allemande", 2015), "Lumières d'été" combine une certaine gravité avec une légèreté sympathique. Surtout, le récit est beau à regarder, grâce à la photo de Denis Gravouil : c'est "Hiroshima mon amour" version XXIe siècle.