Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Leur courage face à la violence de leurs proches émeut quand elles finissent par faire cause commune contre ceux qui les oppressent.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Maysaloun Hamoud filme le désir et la sexualité avec beaucoup de respect et, parfois, d’audace. Le corps des femmes, sous son œil, s’éloigne des clichés (...) Les personnages, victimes ou combattants et parfois les deux, subissent encore le regard des autres dans une société conformiste et intolérante.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Un vent de liberté souffle et c’est un vrai coup de cœur pour ces trois femmes puissantes !
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Dominique Widemann
La grâce énergique de la distribution, la musique, qui est celle de leurs vies, épointent les risques de l’échantillonnage représentatif.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film plein de vie, à l’image de ses trois héroïnes, symboliques d’une génération de femmes luttant pour se substituer aux obscurantismes de la tradition les lumières de la liberté.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Dans Je danserai si je veux, la Palestinienne Maysaloun Hamoud filme l'émancipation de trois femmes arabes à Tel-Aviv. Une belle claque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Renaud Baronian
Une formidable ode à la libération des femmes musulmanes.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Maysaloun Hamoud livre une réflexion sur les différents visages de l’émancipation féminine dans les cultures arabes. Un passionnant travail, irrigué d’énergie, de musique et de modernité.
Libération
par Alexandra Schwartzbrod
Maysaloun Hamoud aurait pu tomber dans la caricature, d’autant que chacune de ses héroïnes représente un courant religieux, mais elle s’en sort joliment bien. Son film dégage une énergie et un humour qui atténuent la gravité du propos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Un portrait sensible et touchant d'une jeunesse qui rêve d'émancipation. Un premier film réussi.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Fille du printemps arabe et de la liberté, Maysaloun Hamoud est bien une cinéaste, politique mais pas politicienne, dont la position très clivante n’oublie pourtant pas de rendre justice à ceux qui le méritent. Y compris les hommes.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film s’attache, dans un fourmillement de détails, à rendre ses personnages vivants et son univers presque luxuriant. On sent aussi par l’engagement des comédiens toute l’importance de cet enjeu de représentation – donner corps à d’autres personnages palestiniens – et ce pari est remporté.
Ecran Large
par Simon Riaux
"Je Danserai si je veux" finit par souffrir d'un scénario trop mécanique.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
A la légèreté des scènes entre femmes s’oppose la violence de celles qui les confrontent aux hommes. Ce côté schématique, à l’image du panel représentatif que constituent les trois protagonistes, est rattrapé par la nature des actrices, une certaine pudeur dans l’écriture et la peinture du Tel Aviv branché.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Maysaloun Hamoud ne cesse de démonter les clichés et signe un énergique portrait de trois jeunes femmes à la farouche envie de vivre hors des codes imposés par la famille ou la société.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Ce plaidoyer, un poil binaire, ne chamboule certes pas la grammaire cinématographique et la direction d’acteurs, tant la charge est appuyée. Surtout, il présente le mérite d’en remettre une couche sur la nécessité de transgresser les tabous imposés par les bouillons de culture obscurantistes.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On admire le courage de ces héroïnes du quotidien, belles, malignes et frondeuses, qui se dressent contre la dictature patriarcale et ne plient jamais face aux hommes, pas franchement à leur avantage.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
À mi-chemin entre l’efficacité narrative des séries télé et le documentaire, restituant les codes et la langue d’une jeunesse noctambule et frondeuse, le film saisit avec un certain panache l’état de colère d’une communauté de femmes arabes victimes de discriminations raciales et sexistes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un constat amer, que dresse ce film engagé, portrait de trois femmes en coloc dont la mélancolie n'exclut pas l'humour.
Télérama
par Frédéric Strauss
Pour saisir la vérité de ces vies, le regard de la réalisatrice est parfois un peu rapide. Mais, avec l'appui de ses comédiennes, la réalisatrice réussit trois portraits vifs et évocateurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Clément Graminiès
"Je danserai si je veux" finit par plier sous le poids de son didactisme programmatique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Murielle Joudet
C’est finalement à un exercice de ventriloquie auquel on assiste, où la réalisatrice ne donne à ses héroïnes aucune autre option, sinon l’obligation pour elles d’être des étendards et de n’exister qu’à travers une unique problématique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Leur courage face à la violence de leurs proches émeut quand elles finissent par faire cause commune contre ceux qui les oppressent.
Culturopoing.com
Maysaloun Hamoud filme le désir et la sexualité avec beaucoup de respect et, parfois, d’audace. Le corps des femmes, sous son œil, s’éloigne des clichés (...) Les personnages, victimes ou combattants et parfois les deux, subissent encore le regard des autres dans une société conformiste et intolérante.
Elle
Un vent de liberté souffle et c’est un vrai coup de cœur pour ces trois femmes puissantes !
L'Humanité
La grâce énergique de la distribution, la musique, qui est celle de leurs vies, épointent les risques de l’échantillonnage représentatif.
Le Dauphiné Libéré
Un film plein de vie, à l’image de ses trois héroïnes, symboliques d’une génération de femmes luttant pour se substituer aux obscurantismes de la tradition les lumières de la liberté.
Le Figaro
Dans Je danserai si je veux, la Palestinienne Maysaloun Hamoud filme l'émancipation de trois femmes arabes à Tel-Aviv. Une belle claque.
Le Parisien
Une formidable ode à la libération des femmes musulmanes.
Les Fiches du Cinéma
Maysaloun Hamoud livre une réflexion sur les différents visages de l’émancipation féminine dans les cultures arabes. Un passionnant travail, irrigué d’énergie, de musique et de modernité.
Libération
Maysaloun Hamoud aurait pu tomber dans la caricature, d’autant que chacune de ses héroïnes représente un courant religieux, mais elle s’en sort joliment bien. Son film dégage une énergie et un humour qui atténuent la gravité du propos.
Rolling Stone
Un portrait sensible et touchant d'une jeunesse qui rêve d'émancipation. Un premier film réussi.
aVoir-aLire.com
Fille du printemps arabe et de la liberté, Maysaloun Hamoud est bien une cinéaste, politique mais pas politicienne, dont la position très clivante n’oublie pourtant pas de rendre justice à ceux qui le méritent. Y compris les hommes.
Cahiers du Cinéma
Le film s’attache, dans un fourmillement de détails, à rendre ses personnages vivants et son univers presque luxuriant. On sent aussi par l’engagement des comédiens toute l’importance de cet enjeu de représentation – donner corps à d’autres personnages palestiniens – et ce pari est remporté.
Ecran Large
"Je Danserai si je veux" finit par souffrir d'un scénario trop mécanique.
L'Obs
A la légèreté des scènes entre femmes s’oppose la violence de celles qui les confrontent aux hommes. Ce côté schématique, à l’image du panel représentatif que constituent les trois protagonistes, est rattrapé par la nature des actrices, une certaine pudeur dans l’écriture et la peinture du Tel Aviv branché.
La Septième Obsession
Maysaloun Hamoud ne cesse de démonter les clichés et signe un énergique portrait de trois jeunes femmes à la farouche envie de vivre hors des codes imposés par la famille ou la société.
La Voix du Nord
Ce plaidoyer, un poil binaire, ne chamboule certes pas la grammaire cinématographique et la direction d’acteurs, tant la charge est appuyée. Surtout, il présente le mérite d’en remettre une couche sur la nécessité de transgresser les tabous imposés par les bouillons de culture obscurantistes.
Le Journal du Dimanche
On admire le courage de ces héroïnes du quotidien, belles, malignes et frondeuses, qui se dressent contre la dictature patriarcale et ne plient jamais face aux hommes, pas franchement à leur avantage.
Les Inrockuptibles
À mi-chemin entre l’efficacité narrative des séries télé et le documentaire, restituant les codes et la langue d’une jeunesse noctambule et frondeuse, le film saisit avec un certain panache l’état de colère d’une communauté de femmes arabes victimes de discriminations raciales et sexistes.
Studio Ciné Live
Un constat amer, que dresse ce film engagé, portrait de trois femmes en coloc dont la mélancolie n'exclut pas l'humour.
Télérama
Pour saisir la vérité de ces vies, le regard de la réalisatrice est parfois un peu rapide. Mais, avec l'appui de ses comédiennes, la réalisatrice réussit trois portraits vifs et évocateurs.
Critikat.com
"Je danserai si je veux" finit par plier sous le poids de son didactisme programmatique.
Le Monde
C’est finalement à un exercice de ventriloquie auquel on assiste, où la réalisatrice ne donne à ses héroïnes aucune autre option, sinon l’obligation pour elles d’être des étendards et de n’exister qu’à travers une unique problématique.