Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Avec "Vivere", Judith Abitbol tourne un magnifique docu sur Alzheimer - à des lieues du mélo.
Culturopoing.com
par Enrique Seknadje
Un film humainement essentiel (...) une leçon de vie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Marie Soyeux
"Vivere" se révèle également être un beau film sur les langues maternelles, en l’occurrence l’italien et le romagnol. Le français est réservé aux échanges factuels. L’enthousiasme, l’affection, l’énergie transitent par les langues de la mère, pour la mère, dans un tourbillon enveloppant – une sorte de cordon sonore liant ces femmes, à travers les chansons quand les conversations font défaut.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Une belle leçon de vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Noémie Luciani
Aussi n’imagine-t-on finalement pas mieux que cette humble et immense histoire d’amour pour réchauffer l’hiver.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Pendant huit ans, Judith Abitbol s’est invitée dans le quotidien d’Ede et de sa fille Paola, duo fusionnel dont rien ne vient troubler la complicité, jusqu’à ce que la maladie s’immisce entre elles. En résulte un récit fort et sensible.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C'est cet amour fou (mère/fille) [...] qui apparaît petit à petit comme le sujet mirobolant du film: flottant, virevoltant, mystérieux. Et ce mystère, lui, nous regarde [...] et rend Vivere bouleversant.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un doc poignant. Une ode à la joie de vivre et d'aimer.
Libération
par Didier Péron
Vivere est touchant mais on a aussi le sentiment que la cinéaste a dû dominer une impressionnante masse de rushs qu’elle n’a cessé de monter, démonter, remonter (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) au hasard de l’enchaînement des scènes, le film s’attache moins à Ede qu’au rapport entretenu par Paola avec elle. Moins à la mère qu’à la fille. C’est parfaitement légitime, mais ce déplacement de perspective est source d’une certaine frustration, qu’augmente la volonté de la réalisatrice de faire comme si aucun protagoniste ne se savait filmé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Nicolas Didier
Hélas, avec ses plans trop longs, ses scènes répétitives, le résultat n'est pas toujours à la hauteur de cette ambition. Et quand apparaît le corps dans le cercueil, la maladresse touche à l'impudeur...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
Avec "Vivere", Judith Abitbol tourne un magnifique docu sur Alzheimer - à des lieues du mélo.
Culturopoing.com
Un film humainement essentiel (...) une leçon de vie.
La Croix
"Vivere" se révèle également être un beau film sur les langues maternelles, en l’occurrence l’italien et le romagnol. Le français est réservé aux échanges factuels. L’enthousiasme, l’affection, l’énergie transitent par les langues de la mère, pour la mère, dans un tourbillon enveloppant – une sorte de cordon sonore liant ces femmes, à travers les chansons quand les conversations font défaut.
Le Figaro
Une belle leçon de vie.
Le Monde
Aussi n’imagine-t-on finalement pas mieux que cette humble et immense histoire d’amour pour réchauffer l’hiver.
Les Fiches du Cinéma
Pendant huit ans, Judith Abitbol s’est invitée dans le quotidien d’Ede et de sa fille Paola, duo fusionnel dont rien ne vient troubler la complicité, jusqu’à ce que la maladie s’immisce entre elles. En résulte un récit fort et sensible.
Les Inrockuptibles
C'est cet amour fou (mère/fille) [...] qui apparaît petit à petit comme le sujet mirobolant du film: flottant, virevoltant, mystérieux. Et ce mystère, lui, nous regarde [...] et rend Vivere bouleversant.
Studio Ciné Live
Un doc poignant. Une ode à la joie de vivre et d'aimer.
Libération
Vivere est touchant mais on a aussi le sentiment que la cinéaste a dû dominer une impressionnante masse de rushs qu’elle n’a cessé de monter, démonter, remonter (...).
L'Obs
(...) au hasard de l’enchaînement des scènes, le film s’attache moins à Ede qu’au rapport entretenu par Paola avec elle. Moins à la mère qu’à la fille. C’est parfaitement légitime, mais ce déplacement de perspective est source d’une certaine frustration, qu’augmente la volonté de la réalisatrice de faire comme si aucun protagoniste ne se savait filmé.
Télérama
Hélas, avec ses plans trop longs, ses scènes répétitives, le résultat n'est pas toujours à la hauteur de cette ambition. Et quand apparaît le corps dans le cercueil, la maladresse touche à l'impudeur...