Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Le pari était plutôt culotté et le sujet sensible, mais cette comédie vaudevillesque enlevée réussit à nous faire rire tout en épinglant les intégristes de tout poil.
CNews
par La Rédaction
Premier long-métrage de fiction de la réalisatrice Sou Abadi ("SOS à Téhéran"), "Cherchez la femme" déploie un casting engageant pour aborder les thèmes de la liberté et de l'extrémisme, avec humour et sans clichés.
Elle
par Françoise Delbecq
Une sympathique comédie, plus fine qu'elle en a l'air, portée par un duo de comédiens de talent : Camélia Jordana et Félix Moati.
L'Express
par Christophe Carrière
Sans haine ni discours bien-pensant, Sou Abadi dénonce l'obscurantisme en évitant savamment l'écueil des archétypes. Les interprètes y sont pour beaucoup, avec une mention spéciale à William Lebghil, méconnaissable en barbu perdu, et à Anne Alvaro, qui a chope on ne sait où un authentique accent iranien.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Malgré quelques clichés, le rythme effrené et le ton burlesque de l’écriture procurent à cette comédie audacieuse un charme fou.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Par le biais de la dérision, Sou Abadi dresse le portrait d’une France aux multiples visages, dépeinte avec sensibilité et précaution. La réalisatrice raille tendrement les jeunes radicalisés de banlieue (…) mais aussi les anciens Iraniens révolutionnaires pour qui chaque cause est prétexte à s’enflammer (…) , les communistes et les étudiants de Sciences-Po, toujours avec une même férocité allergique aux systèmes, qu’ils soient d’ordre religieux ou social.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Une histoire tragi-comique qui manie les deux armes les plus puissantes : l'humour et la sincérité.
Sud Ouest
par Sophie Avon
La comédie prend des risques. Slalomant entre divers périls allant de l’invraisemblance aux bons sentiments et les évitant tous grâce à une mise en scène gracieuse, des personnages solides et des comédiens inspirés qui s’amusent avec sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par G.T.
Ce marivaudage en voile intégral s'amuse des clichés sexistes avec légèreté.
Télérama
par Guillemette Odicino
Bien sûr, on pourra reprocher à Sou Abadi sa légèreté farceuse sur un sujet tel que la radicalisation, mais le film montre aussi, et sans rire cette fois, l'origine de la rage de Mahmoud : l'abandon par la République des jeunes de son ancienne cité, la mosquée s'imposant à eux comme le dernier espoir de sociabilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
(...) l’improbable triangle amoureux formé par Camélia Jordana, Félix Moati et William Lebghil fait preuve d’une remarquable spontanéité, et la fable absurde conçue par Sou Abadi se révèle pleine de bonnes idées.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Fadette Drouard
La réalisatrice, iranienne d’origine, a choisi le rire. Le rire vrai, franc, honnête, qui n’épargne personne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Closer
par La Rédaction
Une comédie un peu lourde, malgré la performance de William Lebghil.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Culottée, la réalisatrice d’origine iranienne ose une comédie qui ne se voile pas la face sur l’immigration arabe et l’intégrisme musulman, compense le peu de moyens par une écriture alerte et emporte le morceau dans la dernière demi-heure en forme de clin d’œil à "Rabbi Jacob".
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Nathalie Simon
Faire rire avec un premier long-métrage, de surcroît sur l'intégrisme, la réalisatrice Sou Abadi l'a fait.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Il fallait beaucoup de culot et d’intelligence pour dynamiter à coups de gags loufoques et de mésaventures rocambolesques les clichés sur l’islamisme.
Le Monde
par Murielle Joudet
La réalisatrice Sou Abadi réussit à éviter la caricature et le simplisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Luc Chessel
Salafistes et amants travestis : sans être très fine, la comédie de Sou Abadi fonctionne en puisant dans les clichés politiques plutôt que racistes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Philippe Rouyer
La prestation de Félix Moati compte pour beaucoup dans la réussite de l'entreprise.
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Intelligent et juste, "Cherchez la Femme" devrait être la grande comédie de l’été : celle qui vous fait passer un bon moment tout en initiant une réflexion bienvenue.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
À partir d'une intrigue faite de quiproquos bien menés, "Cherchez la femme" se révèle aussi gonflé que drôle.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si la partie iranienne est assez documentée, la farce est trop légère et théâtrale pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une comédie de l’air radicalisé et voilé du temps : que lorsqu’on vient d’en rire, on devrait en pleurer…
Le Parisien
par Catherine Balle
Interprété avec justesse par Camélia Jordana et William Lebghil, drôles et sincères du début à la fin, ce film est nourri de bonnes intentions. Mais cette farce s'avère totalement invraisemblable et le côté didactique du long-métrage, qui dissèque les contradictions de l'islamisme, lourdingue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Femme Actuelle
Le pari était plutôt culotté et le sujet sensible, mais cette comédie vaudevillesque enlevée réussit à nous faire rire tout en épinglant les intégristes de tout poil.
CNews
Premier long-métrage de fiction de la réalisatrice Sou Abadi ("SOS à Téhéran"), "Cherchez la femme" déploie un casting engageant pour aborder les thèmes de la liberté et de l'extrémisme, avec humour et sans clichés.
Elle
Une sympathique comédie, plus fine qu'elle en a l'air, portée par un duo de comédiens de talent : Camélia Jordana et Félix Moati.
L'Express
Sans haine ni discours bien-pensant, Sou Abadi dénonce l'obscurantisme en évitant savamment l'écueil des archétypes. Les interprètes y sont pour beaucoup, avec une mention spéciale à William Lebghil, méconnaissable en barbu perdu, et à Anne Alvaro, qui a chope on ne sait où un authentique accent iranien.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques clichés, le rythme effrené et le ton burlesque de l’écriture procurent à cette comédie audacieuse un charme fou.
Les Inrockuptibles
Par le biais de la dérision, Sou Abadi dresse le portrait d’une France aux multiples visages, dépeinte avec sensibilité et précaution. La réalisatrice raille tendrement les jeunes radicalisés de banlieue (…) mais aussi les anciens Iraniens révolutionnaires pour qui chaque cause est prétexte à s’enflammer (…) , les communistes et les étudiants de Sciences-Po, toujours avec une même férocité allergique aux systèmes, qu’ils soient d’ordre religieux ou social.
Ouest France
Une histoire tragi-comique qui manie les deux armes les plus puissantes : l'humour et la sincérité.
Sud Ouest
La comédie prend des risques. Slalomant entre divers périls allant de l’invraisemblance aux bons sentiments et les évitant tous grâce à une mise en scène gracieuse, des personnages solides et des comédiens inspirés qui s’amusent avec sérieux.
Télé 2 semaines
Ce marivaudage en voile intégral s'amuse des clichés sexistes avec légèreté.
Télérama
Bien sûr, on pourra reprocher à Sou Abadi sa légèreté farceuse sur un sujet tel que la radicalisation, mais le film montre aussi, et sans rire cette fois, l'origine de la rage de Mahmoud : l'abandon par la République des jeunes de son ancienne cité, la mosquée s'imposant à eux comme le dernier espoir de sociabilité.
aVoir-aLire.com
(...) l’improbable triangle amoureux formé par Camélia Jordana, Félix Moati et William Lebghil fait preuve d’une remarquable spontanéité, et la fable absurde conçue par Sou Abadi se révèle pleine de bonnes idées.
Bande à part
La réalisatrice, iranienne d’origine, a choisi le rire. Le rire vrai, franc, honnête, qui n’épargne personne.
Closer
Une comédie un peu lourde, malgré la performance de William Lebghil.
L'Obs
Culottée, la réalisatrice d’origine iranienne ose une comédie qui ne se voile pas la face sur l’immigration arabe et l’intégrisme musulman, compense le peu de moyens par une écriture alerte et emporte le morceau dans la dernière demi-heure en forme de clin d’œil à "Rabbi Jacob".
Le Figaro
Faire rire avec un premier long-métrage, de surcroît sur l'intégrisme, la réalisatrice Sou Abadi l'a fait.
Le Journal du Dimanche
Il fallait beaucoup de culot et d’intelligence pour dynamiter à coups de gags loufoques et de mésaventures rocambolesques les clichés sur l’islamisme.
Le Monde
La réalisatrice Sou Abadi réussit à éviter la caricature et le simplisme.
Libération
Salafistes et amants travestis : sans être très fine, la comédie de Sou Abadi fonctionne en puisant dans les clichés politiques plutôt que racistes.
Positif
La prestation de Félix Moati compte pour beaucoup dans la réussite de l'entreprise.
Rolling Stone
Intelligent et juste, "Cherchez la Femme" devrait être la grande comédie de l’été : celle qui vous fait passer un bon moment tout en initiant une réflexion bienvenue.
Studio Ciné Live
À partir d'une intrigue faite de quiproquos bien menés, "Cherchez la femme" se révèle aussi gonflé que drôle.
L'Humanité
Si la partie iranienne est assez documentée, la farce est trop légère et théâtrale pour convaincre.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie de l’air radicalisé et voilé du temps : que lorsqu’on vient d’en rire, on devrait en pleurer…
Le Parisien
Interprété avec justesse par Camélia Jordana et William Lebghil, drôles et sincères du début à la fin, ce film est nourri de bonnes intentions. Mais cette farce s'avère totalement invraisemblable et le côté didactique du long-métrage, qui dissèque les contradictions de l'islamisme, lourdingue.