Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur d’Illégitime met l’accent sur la fragilité du métier de fixeur. Tiré à hue et à dia par des journalistes désireux de revenir en France avec des images fortes, le héros subit leurs pressions au quotidien et doit choisir entre leur donner satisfaction ou perdre toute chance de percer dans le métier.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Figaro
par Etienne Sorin
Après le très surprenant et dérangeant "Illégitime", histoire d'inceste entre un frère et une sœur hantée par les fantômes du communisme, Sitaru confirme qu'il est un moraliste, et non un donneur de leçon. Un peu plus appliqué et démonstratif avec Fixeur, son cinéma reste diablement intelligent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Valentine Verhague
Par le prisme du milieu journalistique, Adrian Sitaru expose avec une adroite sagacité une manipulation - sous couvert de bonnes intentions - au service d’intérêts peu louables.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Yannick Vely
On y retrouve ce qui fait la qualité de La Nouvelle Vague roumaine : la finesse psychologique du portrait d'un anti-héros confronté à un dilemme moral (...), la rigueur de la mise en scène, à la fois quasi-invisible et extrêmement précise (...) et bien sûr un filon d'acteurs qui semble inépuisable.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Guillemette Odicino
Le film impressionne aussi par son mélange singulier entre une interprétation spontanée, naturelle (subtil Tudor Aaron Istodor, vu dans "Le Divan de Staline", de Fanny Ardant) et une mise en scène millimétrée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Sur fond d’enquête journalistique, une réflexion acide et pertinente sur la difficile adéquation entre désir forcené de réussite et éthique personnelle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un captivant voyage dans les Carpates porté par d’excellents comédiens, notamment Tudor Aaron Istodor, primé au Festival des Arcs.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
[Sitaru] renvoie dos à dos un pays encore empêtré dans ses archaïsmes et un Occident dont le sentiment de supériorité n'est pas totalement étranger au maintien desdits archaïsmes.
Libération
par Marcos Uzal
Outre un début poussif et une fin lourdingue, il est plutôt fin dans sa manière de n’accabler aucun personnage, et de faire tout passer dans des détails, des actes et des mots qui n’ont rien de très choquants au premier abord mais dont le contexte ou les réactions qu’ils provoquent révèlent la banale indécence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Quelques trop rares scènes saisissantes émaillent cette histoire tirée de faits réels, qui s'interroge tout autant sur l'éthique et le rôle du journaliste que sur les conséquences morales de nos choix de vie.
L'Express
par Christophe Carrière
C'est soigneusement filmé, mais c'est souvent long et sans (grand) intérêt.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pour bien enfoncer le clou, un épisode annexe montre le fixeur tyrannisant son beau-fils pour en faire un champion de natation. D’où l’impression que le cinéaste se comporte avec le spectateur comme ceux qu’il stigmatise dans sa fiction moralisante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Arnaud Schwartz
Au final, le spectateur a la sensation d’avoir bien compris le message, tout en restant sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On y retrouve le goût roumain de la morale concrète, encore que le film soit un peu en dessous de l’excellence que la norme roumaine s’impose à elle-même.
L'Obs
par François Forestier
L’ennui, c’est que rien n’est abouti : l’impression générale est celle d’un film qui n’a aucune nécessité ni raison d’être. Le sujet méritait mieux : hélas, ce fixeur ne fixe rien, même pas l’attention du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
20 Minutes
Le réalisateur d’Illégitime met l’accent sur la fragilité du métier de fixeur. Tiré à hue et à dia par des journalistes désireux de revenir en France avec des images fortes, le héros subit leurs pressions au quotidien et doit choisir entre leur donner satisfaction ou perdre toute chance de percer dans le métier.
Le Figaro
Après le très surprenant et dérangeant "Illégitime", histoire d'inceste entre un frère et une sœur hantée par les fantômes du communisme, Sitaru confirme qu'il est un moraliste, et non un donneur de leçon. Un peu plus appliqué et démonstratif avec Fixeur, son cinéma reste diablement intelligent.
Le Parisien
Par le prisme du milieu journalistique, Adrian Sitaru expose avec une adroite sagacité une manipulation - sous couvert de bonnes intentions - au service d’intérêts peu louables.
Paris Match
On y retrouve ce qui fait la qualité de La Nouvelle Vague roumaine : la finesse psychologique du portrait d'un anti-héros confronté à un dilemme moral (...), la rigueur de la mise en scène, à la fois quasi-invisible et extrêmement précise (...) et bien sûr un filon d'acteurs qui semble inépuisable.
Télérama
Le film impressionne aussi par son mélange singulier entre une interprétation spontanée, naturelle (subtil Tudor Aaron Istodor, vu dans "Le Divan de Staline", de Fanny Ardant) et une mise en scène millimétrée.
aVoir-aLire.com
Sur fond d’enquête journalistique, une réflexion acide et pertinente sur la difficile adéquation entre désir forcené de réussite et éthique personnelle.
Le Journal du Dimanche
Un captivant voyage dans les Carpates porté par d’excellents comédiens, notamment Tudor Aaron Istodor, primé au Festival des Arcs.
Les Inrockuptibles
[Sitaru] renvoie dos à dos un pays encore empêtré dans ses archaïsmes et un Occident dont le sentiment de supériorité n'est pas totalement étranger au maintien desdits archaïsmes.
Libération
Outre un début poussif et une fin lourdingue, il est plutôt fin dans sa manière de n’accabler aucun personnage, et de faire tout passer dans des détails, des actes et des mots qui n’ont rien de très choquants au premier abord mais dont le contexte ou les réactions qu’ils provoquent révèlent la banale indécence.
Studio Ciné Live
Quelques trop rares scènes saisissantes émaillent cette histoire tirée de faits réels, qui s'interroge tout autant sur l'éthique et le rôle du journaliste que sur les conséquences morales de nos choix de vie.
L'Express
C'est soigneusement filmé, mais c'est souvent long et sans (grand) intérêt.
L'Humanité
Pour bien enfoncer le clou, un épisode annexe montre le fixeur tyrannisant son beau-fils pour en faire un champion de natation. D’où l’impression que le cinéaste se comporte avec le spectateur comme ceux qu’il stigmatise dans sa fiction moralisante.
La Croix
Au final, le spectateur a la sensation d’avoir bien compris le message, tout en restant sur sa faim.
Le Monde
On y retrouve le goût roumain de la morale concrète, encore que le film soit un peu en dessous de l’excellence que la norme roumaine s’impose à elle-même.
L'Obs
L’ennui, c’est que rien n’est abouti : l’impression générale est celle d’un film qui n’a aucune nécessité ni raison d’être. Le sujet méritait mieux : hélas, ce fixeur ne fixe rien, même pas l’attention du spectateur.