Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Film perturbant, particulièrement épuisant [...] et d'une intelligence redoutable, "Destruction Babies" est l'un des grands films sortant en salles cette année, et une raison suffisante d'attendre avec impatience les prochaines œuvres d'un réalisateur dont on ne peut nier le talent et le caractère.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
De lynchage sur le bitume en lutte en cage d’escalier, de frénésie dans une galerie marchande en déclaration d’amour déglinguée, le ton Mariko séduit autant qu’il décontenance. Il convainc aussi par la force de sa mise en scène sans esbroufe ni crainte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L'ultra violence filmée droit dans les yeux, dans tout ce qu'elle peut avoir d'absurde et de fascinant. Tetsuya Mariko a toute notre attention.
Ecran Large
par Simon Riaux
Imprévisible, foutraque et poétique, cette exploration d'un Japon, dont ne subsiste que le désir de combattre, désarçonne et fascine.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Mathieu Macheret
On n’avait pas vu ça depuis Tokyo Fist (1995), de Shinya Tsukamoto, ou Kids Return (1996), de Takeshi Kitano : cette rage froide et sans retour, une énergie folle du désespoir, typique d’un certain cinéma japonais des années 1990, depuis mis en veilleuse, telle une grenade que l’on aurait oublié de dégoupiller.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michel Berjon
Un film ultra-violent, conceptuel, original, contemporain et dérangeant sur le thème de “Je cogne donc je suis”.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Un film excessif et outrancier, qui va au bout de son idée sans jamais succomber au voyeurisme, ni à la perversité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Mariko rejoint un certain cinéma japonais récent, mêlant des protagonistes à la pureté lunaire, une bonne dose de cynisme grinçant et des explosions de lyrisme incongru.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le dépouillement du film est radical : quasi dépourvu d’intrigue, il ne se repose pas davantage sur une stylisation de la violence. Les bagarres sont à l’image de Taïro : simples, basiques. C’est ce qui rend Destruction Babies glaçant : la brutalité n’y est guère divertissante, elle est répétitive, ennuyeuse, insensée.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Sous les flots d'hémoglobine, Mariko tire le portrait sans fard d'une société japonaise où la politesse de façade s'efface avec l'arrivée d'un ange exterminateur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Deux drôles d’objets, peu aimables, au naturalisme transfiguré par le jeu outré des acteurs, trop japonais peut-être pour que l’on en apprécie toutes les facettes. Adapté d’un manga à succès, « Becoming Father » est le plus intéressant. Prémices d’une œuvre singulière ou feux de paille ? Quoi qu’il en soit, de vraies curiosités.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Hubert Niogret
Tout en reconnaissant une énergie, un volontarisme, une franchise, une lucidité sociale, dans le style et l’approche de thèmes intéressants, on reste dans l’attente de films plus convaincants.
Première
par Thomas Baurez
Pas de morale, ni de quartier ici, c’est un Japon désorienté, orphelin et malade de lui-même que filme avec fermeté Tetsuya Mariko. Impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le parti pris est radical : enchaînement de scènes de bastons gratuites, quasiment dépourvues de dialogues et chaotiques. Dommage que le récit soit si répétitif et vain.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Culturopoing.com
Film perturbant, particulièrement épuisant [...] et d'une intelligence redoutable, "Destruction Babies" est l'un des grands films sortant en salles cette année, et une raison suffisante d'attendre avec impatience les prochaines œuvres d'un réalisateur dont on ne peut nier le talent et le caractère.
Bande à part
De lynchage sur le bitume en lutte en cage d’escalier, de frénésie dans une galerie marchande en déclaration d’amour déglinguée, le ton Mariko séduit autant qu’il décontenance. Il convainc aussi par la force de sa mise en scène sans esbroufe ni crainte.
CinemaTeaser
L'ultra violence filmée droit dans les yeux, dans tout ce qu'elle peut avoir d'absurde et de fascinant. Tetsuya Mariko a toute notre attention.
Ecran Large
Imprévisible, foutraque et poétique, cette exploration d'un Japon, dont ne subsiste que le désir de combattre, désarçonne et fascine.
Le Monde
On n’avait pas vu ça depuis Tokyo Fist (1995), de Shinya Tsukamoto, ou Kids Return (1996), de Takeshi Kitano : cette rage froide et sans retour, une énergie folle du désespoir, typique d’un certain cinéma japonais des années 1990, depuis mis en veilleuse, telle une grenade que l’on aurait oublié de dégoupiller.
Les Fiches du Cinéma
Un film ultra-violent, conceptuel, original, contemporain et dérangeant sur le thème de “Je cogne donc je suis”.
Libération
Un film excessif et outrancier, qui va au bout de son idée sans jamais succomber au voyeurisme, ni à la perversité.
Mad Movies
Mariko rejoint un certain cinéma japonais récent, mêlant des protagonistes à la pureté lunaire, une bonne dose de cynisme grinçant et des explosions de lyrisme incongru.
Cahiers du Cinéma
Le dépouillement du film est radical : quasi dépourvu d’intrigue, il ne se repose pas davantage sur une stylisation de la violence. Les bagarres sont à l’image de Taïro : simples, basiques. C’est ce qui rend Destruction Babies glaçant : la brutalité n’y est guère divertissante, elle est répétitive, ennuyeuse, insensée.
Critikat.com
Sous les flots d'hémoglobine, Mariko tire le portrait sans fard d'une société japonaise où la politesse de façade s'efface avec l'arrivée d'un ange exterminateur.
L'Obs
Deux drôles d’objets, peu aimables, au naturalisme transfiguré par le jeu outré des acteurs, trop japonais peut-être pour que l’on en apprécie toutes les facettes. Adapté d’un manga à succès, « Becoming Father » est le plus intéressant. Prémices d’une œuvre singulière ou feux de paille ? Quoi qu’il en soit, de vraies curiosités.
Positif
Tout en reconnaissant une énergie, un volontarisme, une franchise, une lucidité sociale, dans le style et l’approche de thèmes intéressants, on reste dans l’attente de films plus convaincants.
Première
Pas de morale, ni de quartier ici, c’est un Japon désorienté, orphelin et malade de lui-même que filme avec fermeté Tetsuya Mariko. Impressionnant.
Le Journal du Dimanche
Le parti pris est radical : enchaînement de scènes de bastons gratuites, quasiment dépourvues de dialogues et chaotiques. Dommage que le récit soit si répétitif et vain.