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Benito G
677 abonnés
3 162 critiques
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2,5
Publiée le 5 avril 2019
Un 6eme episode d une saga qui a de l age.. Et dont le réal tente de remettre au goût du jour mais n ammene une série Z laborieux sur plusieurs niveaux. Pour l histoire on exploité les histoires des films téléfilm catastrophe basique. Lié à un monster movie de base.. Sans renouveler les codes ou innover ou que ce soit. Bref je n aïs pas vu les 5 autres, seulement quelqu un et le 1er ouvrait a l époque quelques choses mais qui s effilé au fur et à mesure des épisodes... Ajouté à des scenarios fade.. Vite vu vite oublié.
Un poil moins bon que son précédent, pour moi à cause de son environnement - ce n'est pas l'Arctique qu'on imagine de prime abord, ce qui est une petite déception - mais toujours agréable à suivre. Il y a peut-être un peu aussi trop de phrases clichées délivrées par Burt.
Burt Gummer continue sa chasse aux graboïdes, au Canada cette fois-ci... Ni drôle, ni horrifique, ni entraînant, mais clairement lourdingue et inutile, voilà de quoi faire un énième petit téléfilm pour les chaînes câblées qu'on ne regarde plus. Il est grand temps de prendre ta retraite Burt !
Tremors 6, voici le film qui met la série à mort, l'achève et l'enterre, c'est dommage, pourtant le travail de l'image reste de qualité, Mickael Gross est encore présent ... mais la qualité n'y est plus. trop de dialogue sans aucun intérêts et surtout, la pire de toutes les tortures : une caméra qui gigote dans tous les sens. Un manque de soin et d'attention qui rend le film difficile à supporter. Dommage, cette série, pourtant simple avait toujours su conserver une qualité qui accompagne rarement les films du genre. Voilà qui est fait. La caméra tourbillonnante aura eu raison du talent des équipes précédentes. Très frustrant.
Certainement l’opus le plus vulgaire, Tremors 6 achève la mutation de Burt Gummer en dégénérescence militaire dénuée de stratégies mais élément comique à part entière ; on est loin des premiers volets qui plaçaient la folie du personnage en parfaite adéquation avec la menace rencontrée. Cette fois l’intrigue se passe au Canada, bien que cela ne change rien à l’intrigue qui pourrait aussi bien se dérouler en Inde : exception faite de l’ouverture très efficace, rien de nouveau sous le soleil. Le moteur n’est plus l’horreur ou la parodie, le moteur est devenu la bêtise d’une poignée d’énervés qui courent dans tous les sens pour donner corps et substance à une intrigue qui n’en a aucun. Les monstres se réduisent à des soulèvements de terre réglés sur mode automatique puis une attaque filmée au ralenti, toujours de la même façon, désamorçant ainsi tout l’impact que les bons effets visuels auraient dû avoir. Tremors: A Cold Day in Hell ne repose désormais que sur la nostalgie d’une poignée de spectateurs et sur la bêtise d’autres appréciant blagues sexuelles et gros flingues. Autant dire qu’il n’y a plus grand-chose de cinématographique là-dedans, et qu’un délire, même au cinéma, se pense et se construit.
Du trémors encore une fois et du bon. Après la chaleur de l'Afrique, la glace du cercle arctique (ou antarctique je n'ai pas bien compris) . Pas du tout crédible, dialogues ridicules et outranciers à base de burnes en acier trempé, situations rocambolesques, scénario indigent et pourtant... j'adore. D'autant plus que les bêbêtes sont de mieux en mieux réussies. C'est archi nul mais indispensable.