Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Victimes de l’amiante ou de pesticides Monsanto et Bayer, elles ont créé des associations et porté plainte grâce au chercheur Henri Pézerat. Un documentaire essentiel et éclairant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Aude Massiot
Dans cet émouvant documentaire (...), le réalisateur tend son micro aux victimes oubliées de l'amiante.
L'Obs
par François Forestier
Tous parlent, racontent leurs luttes contre Monsanto ou le lobby de l'amiante, et c'est tout le lot de destins brisés qui est recueilli par la caméra : toxicologues, journalistes, membres de la coopérative Nutréa-Triskalia témoignent. Question : la consommation, le confort doivent-ils nécessairement être payés par un désastre écologique ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par A.-L.B.
(...) une ronde bouleversante de témoignages et d'images crève-coeurs.
Première
par Maxime Kasparian
Le réalisateur défend la santé au travail via un documentaire à la fois informatif et essentiel sur ces ouvriers qui veulent obtenir justice.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Pierre Pezerat assume la partialité de son documentaire-hommage aux lanceurs d'alertes et victimes des scandales sanitaires. Celui-ci reste, malgré quelques victoires, empreint d'un sentiment de révolte et d'impuissance car le mal est fait et irréversible.
Télérama
par Jérémie Couston
Un documentaire utile et humain, qui prend ouvertement le parti des victimes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Si l’aspect cinématographique n’est jamais travaillé et ne mérite donc aucun éloge, puisque le documentaire s’apparente à un reportage télévisé dans la forme, le film se justifie largement dans sa démarche citoyenne, combative, le choix scrupuleux de ses témoignages, et surtout la pertinence de sa lutte, universelle au-delà de la thématique française (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film est généreux et édifiant, mais néglige sa propre forme.
Les Fiches du Cinéma
Victimes de l’amiante ou de pesticides Monsanto et Bayer, elles ont créé des associations et porté plainte grâce au chercheur Henri Pézerat. Un documentaire essentiel et éclairant.
Libération
Dans cet émouvant documentaire (...), le réalisateur tend son micro aux victimes oubliées de l'amiante.
L'Obs
Tous parlent, racontent leurs luttes contre Monsanto ou le lobby de l'amiante, et c'est tout le lot de destins brisés qui est recueilli par la caméra : toxicologues, journalistes, membres de la coopérative Nutréa-Triskalia témoignent. Question : la consommation, le confort doivent-ils nécessairement être payés par un désastre écologique ?
Le Journal du Dimanche
(...) une ronde bouleversante de témoignages et d'images crève-coeurs.
Première
Le réalisateur défend la santé au travail via un documentaire à la fois informatif et essentiel sur ces ouvriers qui veulent obtenir justice.
Studio Ciné Live
Pierre Pezerat assume la partialité de son documentaire-hommage aux lanceurs d'alertes et victimes des scandales sanitaires. Celui-ci reste, malgré quelques victoires, empreint d'un sentiment de révolte et d'impuissance car le mal est fait et irréversible.
Télérama
Un documentaire utile et humain, qui prend ouvertement le parti des victimes.
aVoir-aLire.com
Si l’aspect cinématographique n’est jamais travaillé et ne mérite donc aucun éloge, puisque le documentaire s’apparente à un reportage télévisé dans la forme, le film se justifie largement dans sa démarche citoyenne, combative, le choix scrupuleux de ses témoignages, et surtout la pertinence de sa lutte, universelle au-delà de la thématique française (...).
Le Monde
Le film est généreux et édifiant, mais néglige sa propre forme.