Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La petite histoire d’un homme ordinaire pris symboliquement dans la grande Histoire et révélant les enjeux politiques et stratégiques qui sous-tendent la rivalité entre les deux pays frères ennemis.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur dresse un constat implacable sur la propagande communiste, les dérives du capitalisme et surtout le prix de la liberté. Edifiant.
Positif
par Hubert Niogret
Au moment où la Corée du Sud a choisi un nouveau président démocrate de centre-gauche, qui déclare vouloir un rapprochement avec le Nord, le film est passionnant, avec la tension que Kim Ki-duk a souvent insufflée à ses films, et l'humanité avec laquelle il dessine ses personnages.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
L'étonnant et poignant portrait d'une Corée fragmentée.
Télérama
par Samuel Douhaire
(...) en abordant, pour la première fois de manière directe, le sujet ultrasensible de la partition du pays, le réalisateur redonne à son cinéma une efficacité et une vigueur politique bienvenues. Avec un symbolisme moins appuyé que d'habitude.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Bombarda
Avec le portrait de cette relation délicate et dans l’éclat final du film d’une grande probité, le spectateur retrouve toute l’intelligence et la finesse de Kim Ki-Duk.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Axel Scoffier
Derrière un discours politique inattendu, Kim Ki-duk parsème son film de scènes qui évoquent le reste de sa filmographie (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Kim Ki-duk renvoie dos à dos le sud libéral et le nord communiste, tout aussi corrompus selon lui. Sa démonstration est frontale, peu subtile, mais sa colère et son indignation sont contagieuses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le réalisateur coréen Kim Ki-duk met en regard les deux Corées, autour d'un faux coupable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Kim Ki-duk signe un pamphlet politique et tragique qui écorche - de manière démonstrative - les deux Corées.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Une mise en scène qui, si elle manque d’inspiration, a pour elle une sécheresse bienvenue. S’y glisse, malgré quelques facilités dans le propos, une forme de lucidité.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un pêcheur nord-coréen, obligé de débarquer en Corée du Sud à cause de la panne de son bateau, est soupçonné d’être un espion. Du coup, les séances de torture mentale se multiplient, et la découverte du monde capitaliste par le Nord-Coréen reste secondaire. D’où une théâtralité et une violence parfois éprouvantes, à peine rachetée par une scène d’errance dans la rue, bien plus réussie mais parcimonieuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-François Rauger
Si le discours y est peu subtil, le film de Kim Ki-duk parvient parfois à atteindre une intense dimension pathétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Kim avait vogué dans des eaux voisines avec The Coast Guard ; il flotte ici dans une position de surplace dont le film ne tire pas grand-chose, oscillant entre banalités (bah oui, on se comprend par-delà la nationalité…) et tentatives assez mollasses de bander les muscles en se frottant aux codes du film d’espionnage pur jus.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Christophe Narbonne
Animé d’une volonté louable de réconciliation, Ki-duk confond discours et message, met sur le même plan dictature (pas si méchants les nord-coréens) et démocratie (on n’est pas si heureux dans les pays riches) pour un résultat qui frise la démonstration scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Dauphiné Libéré
La petite histoire d’un homme ordinaire pris symboliquement dans la grande Histoire et révélant les enjeux politiques et stratégiques qui sous-tendent la rivalité entre les deux pays frères ennemis.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur dresse un constat implacable sur la propagande communiste, les dérives du capitalisme et surtout le prix de la liberté. Edifiant.
Positif
Au moment où la Corée du Sud a choisi un nouveau président démocrate de centre-gauche, qui déclare vouloir un rapprochement avec le Nord, le film est passionnant, avec la tension que Kim Ki-duk a souvent insufflée à ses films, et l'humanité avec laquelle il dessine ses personnages.
Studio Ciné Live
L'étonnant et poignant portrait d'une Corée fragmentée.
Télérama
(...) en abordant, pour la première fois de manière directe, le sujet ultrasensible de la partition du pays, le réalisateur redonne à son cinéma une efficacité et une vigueur politique bienvenues. Avec un symbolisme moins appuyé que d'habitude.
Bande à part
Avec le portrait de cette relation délicate et dans l’éclat final du film d’une grande probité, le spectateur retrouve toute l’intelligence et la finesse de Kim Ki-Duk.
Critikat.com
Derrière un discours politique inattendu, Kim Ki-duk parsème son film de scènes qui évoquent le reste de sa filmographie (...).
L'Obs
Kim Ki-duk renvoie dos à dos le sud libéral et le nord communiste, tout aussi corrompus selon lui. Sa démonstration est frontale, peu subtile, mais sa colère et son indignation sont contagieuses.
Le Figaro
Le réalisateur coréen Kim Ki-duk met en regard les deux Corées, autour d'un faux coupable.
Les Fiches du Cinéma
Kim Ki-duk signe un pamphlet politique et tragique qui écorche - de manière démonstrative - les deux Corées.
Cahiers du Cinéma
Une mise en scène qui, si elle manque d’inspiration, a pour elle une sécheresse bienvenue. S’y glisse, malgré quelques facilités dans le propos, une forme de lucidité.
L'Humanité
Un pêcheur nord-coréen, obligé de débarquer en Corée du Sud à cause de la panne de son bateau, est soupçonné d’être un espion. Du coup, les séances de torture mentale se multiplient, et la découverte du monde capitaliste par le Nord-Coréen reste secondaire. D’où une théâtralité et une violence parfois éprouvantes, à peine rachetée par une scène d’errance dans la rue, bien plus réussie mais parcimonieuse.
Le Monde
Si le discours y est peu subtil, le film de Kim Ki-duk parvient parfois à atteindre une intense dimension pathétique.
Les Inrockuptibles
Kim avait vogué dans des eaux voisines avec The Coast Guard ; il flotte ici dans une position de surplace dont le film ne tire pas grand-chose, oscillant entre banalités (bah oui, on se comprend par-delà la nationalité…) et tentatives assez mollasses de bander les muscles en se frottant aux codes du film d’espionnage pur jus.
Première
Animé d’une volonté louable de réconciliation, Ki-duk confond discours et message, met sur le même plan dictature (pas si méchants les nord-coréens) et démocratie (on n’est pas si heureux dans les pays riches) pour un résultat qui frise la démonstration scolaire.