Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Laurent Lafitte porte avec force ce thriller paranoïaque qui prend plaisir à nous égarer.
20 Minutes
par Caroline Vié
(Un) thriller fantastique très réussi.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Un thriller diabolique, par les créateurs de la série télévisée "Les Revenants".
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
Au total on est ferré jusqu'à l'ultime seconde qui nous dévoile le fin mot de l'histoire.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le thème du pouvoir dominateur, exercé ici dans le monde de la télévision, un film qui traite de problèmes bien réels par le biais du fantastique : il y gagne en vertige émotionnel ce qu’il y perd en analyse sociale.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Porté par un Laurent Lafitte intense, K.O. est un thriller existentiel qui marche à la lisière du fantastique.
Première
par Christophe Narbonne
Chez (Fabrice Gobert) tout est affaire de perception d’une réalité donnée comme vraisemblable qui glisse imperceptiblement dans le surnaturel.
Télérama
par Frédéric Strauss
Non content de se risquer sur le terrain du thriller à l'américaine, tendance paranormale, (Fabrice Gobert) ressuscite un fantastique poétique très français. Son film mise autant sur le punch que sur la sophistication. Il nous tient en haleine tout en nous faisant basculer dans l'étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Un thriller parano en mode burn-out sur la violence au travail.
CNews
par La Rédaction
Passé par le format long de la série télé, Gobert tombe ici dans le défaut de ses qualités avec un récit qui manque de rythme. Pourtant, le spectateur est pris par la mise en scène soignée, et le jeu à double emploi des rôles secondaires.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Laurent Lafitte déploie une énergie prodigieuse à faire tenir ensemble ces morceaux. Il y parvient dans la mesure où Antoine Leconte est de ces personnages qui s’impriment dans les mémoires par leur évidence, leur vigueur. Sans ces encombrantes références, on pourrait presque en dire autant de K.O.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Fidèle à son univers, Fabrice Gobert s’emploie à voiler la normalité de teintes inquiétantes. Le résultat est séduisant, mais pas assez vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Jessica Saval
Entre presque-rêve et quasi-réalité, "K.O." aurait pu être une brillante réussite s'il n'avait pas été d'une complexité démesurée.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
On est un peu déçu, mais tout de même emballé par une écriture aussi insolite et une telle maîtrise du suspense.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si le film, jeu de piste (trop ?) compliqué, ne convainc pas jusqu'au bout, il a un bel atout : ses comédiens, parfaits dans des doubles-rôles.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Énorme ratage, "K.O." est moins le thriller méta qu’il prétend être qu’une pénible tentative de reproduire l’univers cinématographique d’une influence écrasante (David Fincher) sans jamais en égaler la maestria.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le film ne décolle jamais et s’épuise à masquer son scénario et ses personnages schématiques par un récit sibyllin. K.O., en effet.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si la première partie séduit avec un postulat de base alléchant – la torsion de la réalité chère à La Quatrième dimension, la série américaine du début des années 1960 –, le film s’essouffle sur la durée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Didier Péron
"K.O." reste de bout en bout un film à thèse, dont chaque séquence exprime un point de vue sur le cynisme d’une certaine upper class sans échapper ni au pathos ni aux clichés phobiques ou dévaluateurs dès lors qu’il regarde les usages, vêtements, visages, décors des classes dites inférieures. Cela tient sans doute au sentiment qu’il n’y a guère de place ici pour aucune forme probante de mélange ou de mystère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Fabrice Gobert n'est pas manchot derrière la caméra et, bien aidé par la bande-son de Jean-Benoît Dunckel (la moitié du groupe Air), «K.O.» distille une certaine ambiance (...). Mais le dénouement déçoit par son manque d'imagination et laisse un parfum d'inachevé. Tout ça pour ça...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
A partir d’un postulat mystérieux qui interpelle, Fabrice Gobert livre une œuvre esthétiquement maîtrisée, mais qui s’effiloche peu à peu devant la futilité d’un script finalement bien peu original.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Une soupe de mystères et de boules de gomme interminablement touillée.
Le Figaro
par La Rédaction
Dans le second long-métrage de Fabrice Gobert, Laurent Lafitte est un patron de chaîne de télévision prétentieux et forcé de se remettre en question après une tentative d'assassinat. Ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Deuxième long-métrage de Fabrice Gobert («Simon Werner a disparu , 2010), ce film est le portrait ampoulé de ce que le cinéma français sait faire de pire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Une intrigue de roman jeunesse, pour un traitement vulgaire et répétitif où vraiment, rien ne va. Pour l’espoir qu’incarne chez nous le nom de Gobert, la déception est abyssale : rassurons-nous en lui souhaitant de vite tourner la page pour retrouver son niveau habituel.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Femme Actuelle
Laurent Lafitte porte avec force ce thriller paranoïaque qui prend plaisir à nous égarer.
20 Minutes
(Un) thriller fantastique très réussi.
Closer
Un thriller diabolique, par les créateurs de la série télévisée "Les Revenants".
L'Ecran Fantastique
Au total on est ferré jusqu'à l'ultime seconde qui nous dévoile le fin mot de l'histoire.
Le Dauphiné Libéré
Sur le thème du pouvoir dominateur, exercé ici dans le monde de la télévision, un film qui traite de problèmes bien réels par le biais du fantastique : il y gagne en vertige émotionnel ce qu’il y perd en analyse sociale.
Ouest France
Porté par un Laurent Lafitte intense, K.O. est un thriller existentiel qui marche à la lisière du fantastique.
Première
Chez (Fabrice Gobert) tout est affaire de perception d’une réalité donnée comme vraisemblable qui glisse imperceptiblement dans le surnaturel.
Télérama
Non content de se risquer sur le terrain du thriller à l'américaine, tendance paranormale, (Fabrice Gobert) ressuscite un fantastique poétique très français. Son film mise autant sur le punch que sur la sophistication. Il nous tient en haleine tout en nous faisant basculer dans l'étrangeté.
Voici
Un thriller parano en mode burn-out sur la violence au travail.
CNews
Passé par le format long de la série télé, Gobert tombe ici dans le défaut de ses qualités avec un récit qui manque de rythme. Pourtant, le spectateur est pris par la mise en scène soignée, et le jeu à double emploi des rôles secondaires.
Le Monde
Laurent Lafitte déploie une énergie prodigieuse à faire tenir ensemble ces morceaux. Il y parvient dans la mesure où Antoine Leconte est de ces personnages qui s’impriment dans les mémoires par leur évidence, leur vigueur. Sans ces encombrantes références, on pourrait presque en dire autant de K.O.
Les Fiches du Cinéma
Fidèle à son univers, Fabrice Gobert s’emploie à voiler la normalité de teintes inquiétantes. Le résultat est séduisant, mais pas assez vertigineux.
Rolling Stone
Entre presque-rêve et quasi-réalité, "K.O." aurait pu être une brillante réussite s'il n'avait pas été d'une complexité démesurée.
Studio Ciné Live
On est un peu déçu, mais tout de même emballé par une écriture aussi insolite et une telle maîtrise du suspense.
Télé 7 Jours
Si le film, jeu de piste (trop ?) compliqué, ne convainc pas jusqu'au bout, il a un bel atout : ses comédiens, parfaits dans des doubles-rôles.
Critikat.com
Énorme ratage, "K.O." est moins le thriller méta qu’il prétend être qu’une pénible tentative de reproduire l’univers cinématographique d’une influence écrasante (David Fincher) sans jamais en égaler la maestria.
L'Obs
Le film ne décolle jamais et s’épuise à masquer son scénario et ses personnages schématiques par un récit sibyllin. K.O., en effet.
La Croix
Si la première partie séduit avec un postulat de base alléchant – la torsion de la réalité chère à La Quatrième dimension, la série américaine du début des années 1960 –, le film s’essouffle sur la durée.
Libération
"K.O." reste de bout en bout un film à thèse, dont chaque séquence exprime un point de vue sur le cynisme d’une certaine upper class sans échapper ni au pathos ni aux clichés phobiques ou dévaluateurs dès lors qu’il regarde les usages, vêtements, visages, décors des classes dites inférieures. Cela tient sans doute au sentiment qu’il n’y a guère de place ici pour aucune forme probante de mélange ou de mystère.
Paris Match
Fabrice Gobert n'est pas manchot derrière la caméra et, bien aidé par la bande-son de Jean-Benoît Dunckel (la moitié du groupe Air), «K.O.» distille une certaine ambiance (...). Mais le dénouement déçoit par son manque d'imagination et laisse un parfum d'inachevé. Tout ça pour ça...
aVoir-aLire.com
A partir d’un postulat mystérieux qui interpelle, Fabrice Gobert livre une œuvre esthétiquement maîtrisée, mais qui s’effiloche peu à peu devant la futilité d’un script finalement bien peu original.
Cahiers du Cinéma
Une soupe de mystères et de boules de gomme interminablement touillée.
Le Figaro
Dans le second long-métrage de Fabrice Gobert, Laurent Lafitte est un patron de chaîne de télévision prétentieux et forcé de se remettre en question après une tentative d'assassinat. Ridicule.
Le Parisien
Deuxième long-métrage de Fabrice Gobert («Simon Werner a disparu , 2010), ce film est le portrait ampoulé de ce que le cinéma français sait faire de pire.
Les Inrockuptibles
Une intrigue de roman jeunesse, pour un traitement vulgaire et répétitif où vraiment, rien ne va. Pour l’espoir qu’incarne chez nous le nom de Gobert, la déception est abyssale : rassurons-nous en lui souhaitant de vite tourner la page pour retrouver son niveau habituel.