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Dik ap Prale
215 abonnés
2 864 critiques
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1,0
Publiée le 16 octobre 2017
Pas passionnant, cette adaptation live m'a coupé l'envie de me tourner vers l'original manga. L'intrigue reposant sur une morale assez basse qui consiste à créer la douleur chez une famille qui a non seulement crû perdre leur enfant mais à laquelle on rend un inconnu, de plus, le meurtrier de leur fils. Ce dernier habite dorénavant le corps du jeune homme et dispose de celui-ci pour arranger son ancienne vie qu'il avait délaissé sous l'impulsion de son boulot. Déjà la trame est infecte. On se demande alors le dénouement de cette pagaille. Nous qui pensions voir l'ancien homme d'affaire subir un trauma, voir un handicap dans le corps interchangé et devoir réparer le tout pour rendre un corps alors réparé, on est très loin de ce discours. On est plutôt côté social, tout le monde est gentil et accepte la nouvelle situation et seul l'entreprise au mauvais patronat est responsable de ce qui arrive. Alors une enquête se met en place entre les deux âmes qui se partage le corps. L'homme d'affaire accuse son ancienne société de harcèlement en montant un dossier de témoignages et le jeune fini par réintégrer son corps en se découvrant une passion pour le droit social. Bravo l'intrigue.
Un beau téléfilm, pouvant s'appuyer sur la qualité de son scénario inspiré par le manga de Jir� Taniguchi, mais replacé dans un contexte social et local intéressant. Il y a à la fois une certaine poésie et un côté très réaliste dans « Un ciel radieux » qui, partant d'un postulat à la fois original et classique (le héros se retrouve dans le corps d'un autre), porte un regard assez touchant, mélancolique sur la nature humaine et notre époque, à l'image des différentes relations qu'entretiennent les personnages. Il y a quelques longueurs, certains seconds rôles ne sont pas assez exploités (notamment celui de la jolie Marie Kremer) et il m'est arrivé d'être parfois frustré devant certains aspects que j'aurais aimé voir plus développés. Reste un récit parfois presque en apesanteur, souvent élégant, traitant son sujet avec douceur et sensibilité, presque tous les choix pouvant se justifier, plusieurs scènes faisant un bel effet, d'autant que la qualité de l'interprétation, notamment du jeune duo Léo Legrand - Armande Boulanger, est également au rendez-vous. Après le très beau « Quartier lointain », Taniguchi inspire manifestement la France : en espérant que d'autres adaptations hexagonales verront le jour dans le futur.
Une belle adaptation d'un géant du manga. L'histoire est bien racontée et les acteurs français , bien que très peu connus, jouent très juste. Une histoire prenante et une critique de notre société (capitalisme). A voir
Un ciel radieux compte une histoire à l'aspect onirique tragique. Est-ce réalité que de vivre une histoire parallèle à spoiler: celle connue auparavant à la suite d'un événement tragique ? Quel sont les différence que cela peut généré, et quel influence cela à t-il sur le court d'une vie ? Quel compréhension doit il en être tiré, comment l'abordé ?
Cette histoire met en lumière les questions d'un inconnue si peu reconnue, de plus en plus remis en question par la science aujourd'hui, l'ambiance nous invite dés les premiers instants à suivre cette palpitante vie, les thèmes musicaux finisse de parachevé la beauté de cette oeuvre, traitant de la fragilité de ce que l’être humains est au court de sa vie personnelle et professionnelle, avec beaucoup de sensibilité et de douceur, c'est définitivement tout un paon d'histoire qui ce retrouve malmené est complètement chamboulé.
L'univers à ces questions tout comme ce que représente " la vie" ?
magnifique , très bien joué par de bons acteurs ; un seul bémol : une orientation politique quasi-univoque et forcenée , car le code du travail en france est un véritable casse-tête , absolument décourageant , hyper-réglementé ( comme tout le reste en france qui est championne du monde de la réglementation , entre autres) , et trop complexe
Nullissime, cette adaptation du manga par le pseudo-rebelle et ex-journaliste Boukrhief mange à tous les râteliers et assomme le téléspectateur par une fontaine de niaiserie et de lieux communs...
J'ai vu ce film aujourd'hui sur Arte et j'ai bien aimé le sujet et l'interprétation, notamment celle de Leo Legrand, acteur que je ne connaissais pas. La musique est quelque peu particulière mais elle est délibérément envoûtante comme le film qui se laisse apprécier. A revoir avec plaisir dans quelques temps.
l'atmosphère du film est fidèle à l'esprit du regretté Jiro Taniguchi. j'ai particulièrement aimé le moment où le personnage principal se trouve dans un entre-deux ni vraiment soi ni vraiment l'autre. Et pourtant il arrive à concilier les deux personnalités pour une nouvelle renaissance.