Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Transfuge
par Antoine Du Jeu
"In My Room" d'Ulrich Köhler confirme que le jeune cinéma allemand est décidément l'un des meilleurs actuellement.
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Le film est trop complexe pour faire croire à une utopie écolo. Ce n’est jamais la démonstration qui est à l’œuvre ici, mais au contraire l’expérimentation.
Critikat.com
par Pierre Gras
Le cinéaste montre un talent sûr pour tisser, au travers des sensations élaborées par la mise en scène, toute une série de liens logiques entre les nombreux thèmes qu’explore le film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
Sept ans après la Maladie du sommeil, le cinéaste allmand revisite de façon très singulière le thème fictionnel du dernier homme sur terre. Beau tableau.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cette œuvre singulière présentée à Cannes dans la section Un certain regard propose une fable post-apocalyptique intimiste aussi fascinante que séduisante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Mathieu Macheret
La beauté d'In My Room tient à ce réalisme original, qui ne se contente pas de retranscrire une réalité donnée (...).
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
"In My Room" se saisit d’un genre évidé (le film post-apocalyptique) pour bâtir sur ses fondations un récit de repliement bienvenu, une mélopée vitaliste qui refuse le panthéisme béat, pour au contraire chercher à unifier une concorde entre l’Homme moderne et le vivant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Un loser au chevet d’une grand-mère mourante bascule dans un autre monde où tout est possible. La belle fable-catastrophe d’un cinéaste allemand méconnu mais majeur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Köhler est un cinéaste délibérément original et son film, qu’il revendique personnel avant tout, contourne non seulement la plupart des thématiques que laisse présager son récit mais dévoile une série d’intérêts et de curiosités – technique, anthropologique, poétique – qui n’appartiennent qu’à lui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Lemarié
[...] Ulrich Köhler évite tous les poncifs du film catastrophe habituel.
Télérama
par Jacques Morice
Malgré quelques longueurs, In my room harmonise de manière singulière la vie rudimentaire en autarcie et en accord avec la nature.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un film apocalyptique dans une longue tradition de l’intime, mystérieux et fascinant, qui pose plus de questions qu’il ne répond aux énigmes offertes par le récit, et qui émerveille dans sa peinture d’une harmonie retrouvée entre l’homme et la nature.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le scénario de la deuxième partie, avec l'hypothèse du recommencement de l'humanité, fait un peu de surplace (mais la conclusion est surprenante), la force de mise en scène reste incontestable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Un espace expérimental sociologique et fictionnel passionnant.
Le Figaro
par La Rédaction
Un Robinson Crusoé moderne dans un film intrigant mais sans véritable enjeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
On assiste à la surprenante transformation d’un homme qui renaît au contact de la nature et s’accomplit dans la survie. Mais c’est lorsqu’il rencontre une femme au caractère bien trempé que le film devient le plus passionnant.
Première
par Thomas Baurez
Un film étrange et prenant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
"In My Room" d'Ulrich Köhler confirme que le jeune cinéma allemand est décidément l'un des meilleurs actuellement.
Cahiers du Cinéma
Le film est trop complexe pour faire croire à une utopie écolo. Ce n’est jamais la démonstration qui est à l’œuvre ici, mais au contraire l’expérimentation.
Critikat.com
Le cinéaste montre un talent sûr pour tisser, au travers des sensations élaborées par la mise en scène, toute une série de liens logiques entre les nombreux thèmes qu’explore le film.
L'Humanité
Sept ans après la Maladie du sommeil, le cinéaste allmand revisite de façon très singulière le thème fictionnel du dernier homme sur terre. Beau tableau.
La Croix
Cette œuvre singulière présentée à Cannes dans la section Un certain regard propose une fable post-apocalyptique intimiste aussi fascinante que séduisante.
Le Monde
La beauté d'In My Room tient à ce réalisme original, qui ne se contente pas de retranscrire une réalité donnée (...).
Les Fiches du Cinéma
"In My Room" se saisit d’un genre évidé (le film post-apocalyptique) pour bâtir sur ses fondations un récit de repliement bienvenu, une mélopée vitaliste qui refuse le panthéisme béat, pour au contraire chercher à unifier une concorde entre l’Homme moderne et le vivant.
Les Inrockuptibles
Un loser au chevet d’une grand-mère mourante bascule dans un autre monde où tout est possible. La belle fable-catastrophe d’un cinéaste allemand méconnu mais majeur.
Libération
Köhler est un cinéaste délibérément original et son film, qu’il revendique personnel avant tout, contourne non seulement la plupart des thématiques que laisse présager son récit mais dévoile une série d’intérêts et de curiosités – technique, anthropologique, poétique – qui n’appartiennent qu’à lui.
Positif
[...] Ulrich Köhler évite tous les poncifs du film catastrophe habituel.
Télérama
Malgré quelques longueurs, In my room harmonise de manière singulière la vie rudimentaire en autarcie et en accord avec la nature.
aVoir-aLire.com
Un film apocalyptique dans une longue tradition de l’intime, mystérieux et fascinant, qui pose plus de questions qu’il ne répond aux énigmes offertes par le récit, et qui émerveille dans sa peinture d’une harmonie retrouvée entre l’homme et la nature.
L'Obs
Si le scénario de la deuxième partie, avec l'hypothèse du recommencement de l'humanité, fait un peu de surplace (mais la conclusion est surprenante), la force de mise en scène reste incontestable.
La Septième Obsession
Un espace expérimental sociologique et fictionnel passionnant.
Le Figaro
Un Robinson Crusoé moderne dans un film intrigant mais sans véritable enjeu.
Le Journal du Dimanche
On assiste à la surprenante transformation d’un homme qui renaît au contact de la nature et s’accomplit dans la survie. Mais c’est lorsqu’il rencontre une femme au caractère bien trempé que le film devient le plus passionnant.
Première
Un film étrange et prenant.