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    Light of my Life
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    172 critiques spectateurs

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    Yves G.
    Yves G.

    1 454 abonnés 3 480 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 août 2020
    Dans un futur proche, la planète a été décimée par une mystérieuse peste qui a tué toutes les femmes condamnant à terme la race humaine à l’extinction faute d’enfants. Toutefois, une jeune fille est encore vivante.
    Rag a douze ans. C’est une pré-ado vive et intelligente. Son père, qui lui voue un amour infini, veille jalousement sur elle. Leur vie est une suite ininterrompue de déambulations dans l’Ouest américain, à la recherche d’un refuge où ils pourraient enfin trouver la paix.

    "Light of my Life" relève un défi audacieux : explorer le même thème que deux films qui avant lui l’ont fait avec un succès indépassable. Le premier est "La Route" – adapté du prix Pulitzer 2007 de Cormac MacCarthy. Dans une Amérique tout aussi pluvieuse et tout aussi dangereuse, Viggo Mortensen y déployait déjà des trésors d’amour paternel et d’inventivité pour protéger son fils. L’affiche de "Light of my Life" reproduit d’ailleurs quasiment à l’identique celle de la Route : même duo harassé de fatigue, même vêtements sales gorgés par la pluie, mêmes couleurs grisâtres… Le second est "Les Fils de l’homme" – lui aussi adapté d’un roman d’anticipation à succès, écrit celui-ci par P.D. James – où Clive Owen, dans un monde brutalement condamné à la stérilité, se voyait confier la lourde tâche de protéger une femme enceinte.

    Face à ces deux écrasants précédents, "Light of my Life", hélas, n’est pas à la hauteur et se condamne à n’être qu’un film post-apocalyptique de plus. Le genre n’étant pas pour me déplaire, j’inclinais à la bienveillance ; mais ma bienveillance a des limites.

    Ici Casey Affleck, qui a écrit le scénario, produit et réalisé le film, et qui interprète le rôle principal, englue la narration dans des dialogues aussi verbeux qu’interminables. Le film s’ouvre ainsi par un plan fixe d’une dizaine de minutes durant lequel le père raconte à sa fille une histoire, durant la veillée, sous la tente, vaguement inspirée de la parabole de l’arche de Noé.

    Le film a son lot de rebondissements convenus. Comme de bien entendu, le duo fait des rencontres. Certaines sont plus heureuses que d’autres. Elles auraient pu continuer longtemps, le film qui dure déjà deux heures pouvant sans préjudice en compter facilement une de plus ou une de moins. La seule chose qui est réussie est le cadrage qui laisse toujours ouverte une ligne de fuite déserte d’où on pressent que pourrait surgir à chaque instant une menace. Cette tension permanente cloue le spectateur à son siège. Ce n’est pas la sensation la plus agréable qui soit ; mais c’est une qualité du film qu’il faut lui reconnaître.
    Richard...
    Richard...

    2 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2020
    Un film assez intéressant à partir du moment où l'on ne craint pas que l'histoire prenne son temps. Belles interprétations des acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 septembre 2020
    Une grosse désillusion : pourquoi s'attacher à réaliser un film qui existe déjà pour n'en faire qu'une pâle copie ?
    Moins soigné que "La Route" (bien qu'il faille noter l'esthétisme de certains décors en forêt), mais surtout une narration beaucoup trop similaire, ce qui nous offre des séquences très prévisibles. Des scènes lancinantes (à l'image de l'interminable séquence d'introduction) qui ne contrebalancent pas les rares moments de tension, là où "La Route" surfait subtilement entre l'angoisse, la contemplation, et l'émotion. A éviter donc, sauf si vous n'avez pas déjà visionné l'excellent "La Route" de John Hillcoat.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    764 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Imaginez une Terre sur laquelle un mystérieux virus aurait éradiqué 99,9% de la population féminine.
    Et maintenant, mettez-vous à la place d'un père tentant depuis plus de 10 ans d'élever sa fille miraculée dans un tel monde devenu hostile et faisant rejaillir nos instincts primitifs les plus sauvages : c'est comme tenter de protéger la dernière bouteille d'eau fraîche sur une planète aride et desséchée !
    N'allez pas voir ce drame dystopique si vous aimez l'action, tout l'intérêt du film réside dans cette relation père-fille extrêmement bien filmée et jouée par un très bon Casey Affleck.
    La toute jeune Anna Pniowsky est également bluffante d'authenticité dans le rôle de cette gamine tentant de grandir et de comprendre cette vie plutôt particulière.
    Certes, le rythme et le suspens sont loin d'être haletants, mais cette sorte de tension permanente couplée à ce papa protecteur et attachant rendent cette histoire très séduisante à suivre.
    Assez réussi.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Clément B
    Clément B

    29 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 août 2020
    Un cinéma qui prend son temps, laisse la place aux comédiens et au jeu, très bons qui plus est. Un film sombre et lumineux qui va rester un bon moment dans un petit coin de mon âme. Très touchant.
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    151 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 août 2020
    Nous voici plongé dans un monde dystopique où presque toutes les femmes sont mortes à cause d’un virus… Est-ce utile de souligner que cette trame ne brille pas spécialement par son originalité ? Pourtant, le traitement de « Light of my life » a de quoi étonner, voir détonner !
    La dualité est omniprésente et marquée à tous les niveaux, film qui oscille entre ombre et lumière, alternances de superbes plans larges totalement fixes et de plans serrés, immensité de la forêt et maisons qui sentent l’enfermement, rythme majoritairement lent (qui risque d’en agacer plus d’un) avec des montées ultra tendues délivrées avec brio…
    A l’image de son jeu d’acteur, Casey Affleck nous livre un film sobre et minimaliste, presque totalement dépouillé (comme à la fin de son procès :-/) et à l’opposé du spectaculaire. Malgré cela, le résultat est poignant et même marquant. Au-delà des scènes attendues et un peu dictées par le genre, il nous surprend totalement par les thèmes abordés comme l’influence des contes dans l’éducation des enfants, les diverses peurs d’un père qui doit élever sa fille seul… Et quel petit bout de femme ! Anna Pniowsky porte presque le film toute seule sur ses épaules frêles mais ultra déterminées, son naturel flamboyant fait mouche à chaque apparition.
    Qu’il est bon de savourer cette belle relation entre un père très protecteur et pas toujours à l’aise dans son rôle de transmission (surtout pour parler des « problèmes féminins ») et sa fille pétillante et assoiffée de connaissances pour nourrir son cerceau suractif. Le tout est livré précautionneusement sans jamais lorgner vers le pathos et même avec un brin de poésie. La douceur de leur intimité (lorsqu’ils se sentent en sécurité) contraste fortement avec l’ambiance majoritairement tendue qui nous captive de bout en bout. Casey se joue des codes des films d’horreur, de survie et d’anticipation pour mieux nous surprendre. Ainsi, nous sommes comme les témoins impuissants de leur histoire, totalement bouleversés et captivés par leurs pérégrinations.
    Cette exploration des relations père-fille qui tentent non seulement de survivre, mais aussi de continuer à apprendre l’un de l’autre, par la transmission orale, la répétition des gestes… Jusqu’à ce que la relève soit assurée.
    Parvenir à évoquer des questions brûlantes d’actualité comme la pandémie et le féminisme avec une sobriété totale et de façon aussi percutante, cela relève de l’exploit.
    Un film aussi sombre que lumineux qui vaut le détour dans les salles obscures, bien trop vides en ces temps de covid19…
    Vivien B
    Vivien B

    11 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 août 2020
    Avis mitigé. Le film fait inévitablement penser a "la route" mais me laisse un sentiment de moins intéressant. Rythme très lent et dialogues très longs. La scène d'introduction annonce la couleur : on va prendre le temps de discuter très longtemps. L'idée n'est pas mauvaise mais il ne se passe finalement pas grand chose. On assiste à une tranche de vie après catastrophe mondiale avec une tension présente mais une fin qui n'en pas vraiment une. Et au final on se dit "tout ça pour ça ?!". Bref pas mécontent de l'avoir vue mais je ne le recommande pas forcément
    Guillaume C.
    Guillaume C.

    86 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2020
    Un père avec son enfant, seuls dans un monde à la dérive aux gros accents post-apocalyptique et qui fait tout pour protéger sa vie et son enfance, n’en jetez plus ça ressemble fort au très bon « La Route » de 2009. Sauf que « Light of my life » manque cruellement de puissance.

    Certes la relation père-fille est réussie, intimiste, belle, juste et tout en sensibilité sans jamais tombée dans le sentimentalisme dégoulinant. Mais elle ne se suffit pas.
    Le film est lent, parfois trop (particulièrement la première moitié), on insiste sur le père ultra précautionneux, qui d’ailleurs impose toutes ses précautions à sa fille. Mais de quoi la protège-t-il ? Des humains, on en croise quasi jamais, du monde extérieur, ok mais dans « Light of my Life » on a plus l’impression d’être dans une randonnée pédestre que dans un monde à la dérive. « Light of my Life » est avare en rencontres, ce n’est pas un problème « La Route » l’était aussi, mais contrairement à ce dernier ou chacune d’elles mettaient une énorme tension, celles de « Light of my Life » sont désespérément plates. Aucune n’est marquante, et c’est là tout le problème, à vouloir être trop intimiste Casey Affleck en oublie de travailler le monde qui entoure le père et sa fille, il est inintéressant au possible. Dommage car un monde très hostile, où chaque rencontre met les protagonistes sur le fil du rasoir est idéal pour monter la tension est créé de l’empathie pour les protagonistes. Oui on s’attache à Mar et son père, mais ils ne morflent pas assez pour que l’on s’investisse pleinement.

    Au final cet environnement quasi inexistant, est un énorme trou dans la raquette. « Light of my Life » est une belle histoire entre un père et sa fille, qui délivre des messages humanistes et féministes avec une grande intelligence. Mais le film ne met aucune tension, si bien que parfois la lenteur se confond avec un début d’ennui. Bref c’est beau mais ça manque énormément de souffle et encore plus d’impact. Alors ce n’est probablement pas la volonté de Casey Affleck de s’attarder sur ce monde qui dérive, de nous donner avoir toutes les horreurs qui s’y passe, mais de là à le rendre aussi plat que la Beauce non. Un beau film mais auquel il manque réellement quelque chose, si bien qu’en sortie de salle le goût d’inachevé est réel.
    Karim A.
    Karim A.

    45 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 août 2020
    La route est bien mieux le film avec Viggo Mortesen est un bijou.
    Que reprochez à Light of my life lumière de ma vie, ça parle trop, le père de famille qui cherche à proteger sa fille, il parle trop trop trop, pas assez de rencontre, d'action, de rebondissement,
    un père qui joue le papa, la maman le copain dans un monde à la Walking Dead mais sans les zombies.
    Le film n'est pas interessant, un huis clos pere fille qui ressemble à un garçon manqué
    les dialogues sont saoulants, l'histoire on y croit pas, le pere surjoue aucune émotion on s'attache à aucun personnage.
    Film qui sera un echec commercial.
    Youssef R
    Youssef R

    6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 août 2020
    À éviter, la bande annonce est trop alléchante mais le film reste trop centré sur le rôle joué par la jeune fille. Le manque d'actions laisse aussi très vite place à l'ennuie
    Moun El
    Moun El

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2020
    Ce film est une honte ! Des scènes avec des dialogues inutiles qui durent indéfiniment ! Dès le début du film on comprend que tout le reste du film sera chiant ennuyant je ne recommande SOUS AUCUN PRÉTEXTE ce film qui devrait être nommé d'inutilité publique. Le pire film de tout l'histoire du cinéma.
    Je comprend pourquoi nous étions 4 dans la salle ce film est vraiment d'une turpitude sans nom ...
    Silence ça tourne
    Silence ça tourne

    21 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2020
    Premier long métrage de fiction du talentueux acteur Casey Affleck, Light of my life se déroule dans un futur proche où la population féminine à été éradiqué. Un père cherche à protéger sa fille de ce monde brutal. Light of my life n'est pas sans rappeler ses aînés, le classique La route de John Hillcoat ou encore Les fils de l'homme d'Alfonso Cuaron.
    Mais le film réussit à se détacher de ses influences et est avant tout un film minimaliste et intimiste flirtant avec le post-apocalyptique qui se concentre particulièrement sur la relation entre ce père et sa fille interprété d'une magnifique manière par Casey Affleck et Anna Pniowsky. L'utilisation d'un format 4:3, une photo travaillé et des plans superbement soignée permettent une grande immersion. Il laisse tourner la caméra et utilise des cadres fixes en laissant vivre ses personnages à l'intérieur. Ce partie pris ainsi qu'il fait dans l'ultra réalisme évitant les rebondissements rend le film assez plat avec pas mal de longueurs malgré quelques fulgurances notamment dans le final. L'univers du récit est mis au second plan. On le découvre petit à petit, au fil que les personnages évoluent. C'est la relation entre eux qui intéresse et fascine Casey Affleck dans ce film personnel dont il est aussi scénariste.
    Casey Affleck offre un film qui manque parfois de punch, assez plat par moment. Il n'atteint pas ses aînés, ce n'est pas son ambition mais il réussit à toucher quand il le faut, porter par un magnifique duo.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 août 2020
    FIlm lent et ennuyeux ! De la pellicule de
    gâchée. Des longueurs, on attend patiemment que ça démarre mais quasi aucune action. très déçus !
    dragonfly_182
    dragonfly_182

    10 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2020
    Premiers pas derrière la caméra pour Casey Affleck, le frangin de Ben présente quelques qualités.

    Light of my Life est tout d’abord très bien réalisé. Ses plans soignés et sa mise en scène sont des réussites. Par exemple, les quelques plans similaires en plongée lors des moments père/ fille en ouverture du film et plus tard dans l’histoire sont originaux. Le style est épuré et les paysages sont d’une grande beauté. En soit, le concept de ‘road-trip’ est plutôt réussi, même si on est loin d’un film comme La route. Car Light of my Life préfère le naturalisme et les moments du quotidien au spectaculaire. Bien que plongé dans ce monde post-apocalyptique (dont on ne sait pas grand chose finalement) de part la routine de ses personnages, le film n’offre aucun jumpscare ou rebondissements soudains.

    Amateurs de sensations fortes, passez votre chemin. Le film est plutôt de nature calme sans trop d’effusion. On regrette les quelques longueurs qui parsèment le filme ici et là, notamment dans certains dialogues trop bavards. En revanche, la relation qui unie ce père et sa fille est convaincante et bien exécutée. Loin de tout sensationnalisme, Casey Affleck fait preuve de qualités à la réalisation à laquelle il apporte un soin particulier.
    Jean-Daniel T.
    Jean-Daniel T.

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2020
    Un film intéressant, exigeant et passionnant dans sa volonté de s’écarter de chemins battus et d’explorer une relation père–fille dans un univers dystopique où les femmes ont disparu suite une pandémie. La dernière phrase du film fait désormais partie de mes citations de chevet.
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