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Shirokuromelt
25 abonnés
356 critiques
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3,5
Publiée le 12 mai 2020
Je suppose qu'il faut aimer les ambiances désolées de solitude post apocalyptique... c'est mon cas, j'ai donc bien aimé ce film, qui n'est pas bcp plus que ça: une ballade en terre post-apo. Casy Affleck assure autant en tant qu'acteur que réalisateur, le film est beau et bien joué et l'histoire, aussi simple soit-elle, est assez prenante. C'est différent de The Road, ici on croise bcp plus d'humain, c'est donc moins austère mais aussi plus chargé de tension.
"Light of my life" ou plutôt "Lowlight of my life". Si vous avez vu "la Route", vous avez grosso-modo déjà "vu" "Light of my life" qui propose une intrigue similaire à "La Route" mais avec moins de saveur. Ce long-métrage se concentre sur la relation père-fille mais le déroulement du scénario est mal exploité... Les dix premières minutes sont littéralement soporifiques. Le reste du film jusqu'à la fin est assez ennuyeux. Les dialogues sont bof. La conclusion n'apporte pas grand chose car on n'a l'impression que le père n'a pas de but réel sauf de vagabonder avec sa fille ! et comme dans certains films type post-apocalyptique, la pandémie n'est pas expliquée... Et pourquoi Tom spoiler: est certain que Rag est une fille ? sans explication. Dans ce monde où le danger peut survenir n'importe quand et où, le père n'est même pas spoiler: armé ! . La scène de combat est incohérente, on dirait que les méchants sont sots ou font plus ou moins la queue pour se battre. Seuls deux passages menaçants spoiler: quand les intrus viennent à la maison apportant un peu de frisson et les scènes/flashbacks un peu touchantes où le père parle de spoiler: la procréation, la puberté, la mère à sa fille ainsi que les derniers moments avec sa femme viennent sauver ce film.
Une histoire d'une idée presque originale. J'aime les films de et avec Casey Affleck car il y a une certaine poésie qui ressort de cet homme aux frasques connues. Ici, la relation père-fille dans un monde devenu très dangereux pour les femmes fait ressortir le côté protecteur presque bestial d'un homme pour la femme qu'il aime. Je souligne l'interprétation des deux acteurs principaux.
“Light of my life” est un film de et avec Casey Affleck. Le comédien incarne un père en fuite avec sa fille. Si cette intrigue rappelle très fortement celle de “Leave no trace” sorti 2 ans plus tôt et également distribué par Condor en France, “Light of my life” se veut plus post-apocalyptique. En effet, la jeune fille est l’unique survivante d’une pandémie qui a rayé la population féminine de la carte. Casey Affleck emploie une mise en scène sobre et douce, mais également sombre et hostile. Si nos deux protagonistes rayonnent, ils leur manque malheureusement une dimension dramatique plus forte. Ainsi, nous ne parvenons ni à nous identifier, ni à ressentir de la compassion et c’est très certainement la plus grosse faiblesse du long-métrage. Enfin, nous constaterons avec déception que la présence au casting d’Elisabeth Moss n’est qu'un coup de marketing puisqu’elle est absente du film, si ce n’est deux-trois rapides flash-back. “Light of my life” est un drame joliment dessiné mais trop minimaliste pour être consistant. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
On me l'avait bien vendu, soit disant un mix entre La route et A Ghost story (là je vois pas). En effet, on pense beaucoup à La route (que j'adore), mais on en est loin. A peu près la même histoire mais en bien plus édulcorée, bavarde et simplement ennuyeuse. Même si l'interprétation est de qualité et que les images sont belles. Ce nouveau film de Casey Affleck réalisateur (I'm still here) m'a donc laissé de glace.
"Light of My Life" est un drame post-apocalyptique sur fond de survival qui suit un père et son enfant tentant de survivre dans ce monde qui se remet doucement d'une pandémie. Un virus, une population décimée, un manque qui pousse les gens à commettre des atrocités, il y a tout sur le papier pour faire un film angoissant presque d'horreur, mais Casey Affleck joue surtout la carte du drame en se focalisant sur la relation entre le père et son enfant. Pour résumer grossièrement, le film est comme la rencontre "The Road" et "Leave No Trace". Si le film est surtout un drame avec beaucoup d'échanges et de moments de complicités, il y a quand même des scènes intenses, car le danger n'est jamais loin. En fait, Casey Affleck nous garde sous tension durant tout le film qui comprend quand même quelques longueurs. Je ne me suis jamais ennuyé, mais il est un poil long et les échanges traînent parfois trop. Le film s'ouvre par une scène d'environ dix minutes où le père raconte une histoire à son enfant et c'est le genre de scène que l'on retrouve plusieurs fois dans le film et ce n'est pas toujours très passionnant pour être honnête. S'il n'y a rien de bien original, "Light of My Life" est un bon film qui arrive à se montrer efficace et attachant dans les bons moments.
Utilisateur régulier, si ce n'est quotidien, d'Allociné depuis des années (dédicace à chrischambers86), je prends enfin mon clavier pour vous conseiller le film qui m'a, jusqu'ici, le plus touché en cette année 2019 : "Light of My Life". Malgré avoir toujours été agréablement surpris par Casey Affleck - que ce soit assez récemment en tant qu'acteur dans "Manchester by the Sea", ou il y a un peu plus longtemps dans sa première réalisation : "I'm Still Here", je ne m'attendais pas à une grande surprise avec ce "Light of My Life", tant les précédentes tentatives mainstream au genre post-apo : "Leave No Trace" et "A Quiet Place", m'avaient passablement déçues et ce par les nombreux domaines scénaristiques dans lesquels elles péchaient. J'ai donc tout bonnement été surpris par le sans faute réalisé par "Light of My Life" qui, à mon sens, surpasse ce qui s'est fait de mieux dans le genre ces dix dernière années : "The Road" et ce grâce à la toute simple, mais très efficace, force de son concept. Les ingrédients classique du genre post apo, parfaitement dosés dans "The Road", se retrouvent, ici, sublimés par une simple idée qui pousse le concept un cran plus loin et procure, à ceux qui s'en saisissent, un film parfaitement viscéral et un coup de poing féministe, ô combien violent, car c'était LE film à faire en cette période de #Me Too, mais cela va certainement passer au dessus de la tête de nombre amateurs d'écriture inclusive. Pour les autres, j'espère juste que ma critique dithyrambique ne vous fasse pas en attendre trop et contrebalance simplement celles qui vous poussent à passer chemin.