Mon compte
    Light of my Life
    Note moyenne
    2,9
    2350 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Light of my Life ?

    172 critiques spectateurs

    5
    3 critiques
    4
    30 critiques
    3
    61 critiques
    2
    38 critiques
    1
    22 critiques
    0
    18 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    iceman7582
    iceman7582

    48 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Un agréable film post apocalyptique teinté d'humanité et de bons sentiments. Un côté "road movie" emprunté au très bon "La route", un autre côté "dernier survivant" emprunté à l'excellent "Les fils de l'homme" font de ce film une jolie réussite. Casey Affleck est criant de vérité dans son rôle de père protecteur. A voir et à méditer.
    Inglorious_Ben
    Inglorious_Ben

    60 abonnés 1 502 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 août 2020
    Un drame post-apocalyptique intimiste, qui n'est pas sans rappeler "La Route" mais en beaucoup moins trash. Sobriété, plans minimalistes, rythme parfois poussif,... Tout aurait pu faire de Light of My Life un film raté, mais il s'en dégage cependant une aura qui vous attire, sans doute grâce au jeu des 2 acteurs principaux, frisant l'excellence, et à de nombreuses scènes criantes de réalisme. Si vous cherchez de l'action, passez votre chemin... D'ailleurs, la première scène vous dissuadera sans doute de rester dans la salle. Si vous préférez les films profonds, qui ne vous apportent pas forcément de réponses, alors ce film de Casey Affleck est peut-être fait pour vous.
    yeuce
    yeuce

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mars 2023
    Enomément de parlotte, un rythme extrêmement lent, pour une histoire pourtant intéressante, c'est dommage !!!!!
    Clément B
    Clément B

    29 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 août 2020
    Un cinéma qui prend son temps, laisse la place aux comédiens et au jeu, très bons qui plus est. Un film sombre et lumineux qui va rester un bon moment dans un petit coin de mon âme. Très touchant.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 352 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2020
    “Light of my life” est un film de et avec Casey Affleck. Le comédien incarne un père en fuite avec sa fille. Si cette intrigue rappelle très fortement celle de “Leave no trace” sorti 2 ans plus tôt et également distribué par Condor en France, “Light of my life” se veut plus post-apocalyptique. En effet, la jeune fille est l’unique survivante d’une pandémie qui a rayé la population féminine de la carte. Casey Affleck emploie une mise en scène sobre et douce, mais également sombre et hostile. Si nos deux protagonistes rayonnent, ils leur manque malheureusement une dimension dramatique plus forte. Ainsi, nous ne parvenons ni à nous identifier, ni à ressentir de la compassion et c’est très certainement la plus grosse faiblesse du long-métrage. Enfin, nous constaterons avec déception que la présence au casting d’Elisabeth Moss n’est qu'un coup de marketing puisqu’elle est absente du film, si ce n’est deux-trois rapides flash-back. “Light of my life” est un drame joliment dessiné mais trop minimaliste pour être consistant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Roub E.
    Roub E.

    946 abonnés 4 983 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 octobre 2021
    Dans le genre père et enfant dans un monde post apocalyptique j’ai déjà vu mieux et plus marquant. Il n’empêche ce Light Of My Life n’est pas dénué d’intérêt. Tout d’abord il bénéficie d’une photo crépusculaire très soignée, qui magnifie des décors naturels et dépouillés. Le sous texte sur la religion allié à un monde sous domination masculine est lui aussi intéressant. Mais problème : j’ai trouvé ce film inutilement bavard et traînant en longueur. J’ai aussi trouvé que Casey Affleck avait du mal à créer une vraie émotion entre le père et la fille alors que ça devrait être un élément central du film. Un film soigné certes mais où il manquerait l’essentiel c’est un peu l’impression qu’il me laisse au final.
    Ufuk K
    Ufuk K

    514 abonnés 1 471 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2020
    " Light of My Life " est un drame de science de fiction qui m'a un peu déçu. En effet ce film qui signe le retour de Casey Affleck toujours aussi impressionnant dans son rôle bien aidé par la jeune Anna Pniowsky ponctué de jolies moments entre un père et sa fille sont les atouts majeurs de cette histoire qui manque cruellement de rythme qui fait passer l'émotion au détriment de l'action, c'est bien dommage .
    Audrey L
    Audrey L

    630 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 août 2020
    "This is a man's world, but it wouldn't be nothing, nothing without a woman or a girl"... Casey Affleck semble adapter James Brown au cinéma, et signe un long-métrage apocalyptique tout en finesse, minimaliste (pas de pyrotechnie comme la plupart des blockbusters-catastrophe) et dont le parti-pris de départ reste intéressant : on arrive "après la guerre" (on ne voit jamais la catastrophe dans toute son ampleur, seulement quelques bribes intimes aux héros de l'intrigue) et l'on suit deux rescapés par-delà les routes et les forêts. Le postulat d'une apocalypse par l'éviction d'un genre sexuel est également une ode à son caractère essentiel, vital : sans les femmes, on voit venir l'extinction de l'espèce humaine, mais plus encore, les hommes agonisent lentement durant ce laps de temps qu'il leur reste (on devine des frustrations sexuelles - on a vraiment peur pour la petite, à ce propos, car l'on sait très bien sur quel genre de marché noir pour riches pervers elle atterrirait...-, on sent le deuil sur chaque visage, la perte de sens à leur vie...). Light of My Life est un film intelligent, et il le sait : l'ouverture dit tout du film. Elle est tendre, bien écrite et surtout bien interprétée, mais elle est très longue et il y règne une esthétique du vide qui épuise vite (on s'ennuie). Les deux heures qui s'ensuivent en sont la parfaite continuité, tout en oscillations entre interprétation impeccable, dialogues et intrigue réfléchis, et lenteur accablante. Sans parler du final qui nous abandonne carrément spoiler: sans indice quant à la suite, quid de l'avenir de la jeune fille ? Et d'où venait la maladie ? Et pourquoi les femmes ? Et qu'en est-il des transgenres, hermaphrodites (oui, on réfléchit beaucoup... trop pour le film, apparemment) ? Et les filles clonées en Chine, comme ils le mentionnent rapidement, on en explore pas même l'idée d'une résolution ?
    Une amère impression nous reste en fin de visionnage : celle d'avoir vu un film très original et bien pensé pour sortir des sentiers battus des films-catastrophe, mais qui ne sait pas doser son rythme et agace à lancer des pistes pour ne pas les suivre. On sent qu'on a loupé un grand film du genre, pour peu de choses.
    Cinememories
    Cinememories

    480 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2020
    Si les ingrédients du post-apocalyptique captivent toujours autant, c’est pour sa richesse et sa complexité, loin de la morale que l’on cueille parfois avec précipitation. Casey Affleck fait le choix de bien nuancer son récit et propose une magnifique leçon de vie, une incroyable lettre d’amour. Le patriarcat et l’héritage s’oppose dans un conflit humain et c’est à travers d’une relation père-fille que l’on finira par y trouver le bouleversement souhaité. L’ouverture dévoile avec justesse toutes les valeurs d’un réalisateur qui s’inspire inévitablement de grandes références, comme « Les Fils de l’Homme », « La Route » et bien d’autres, mais cette proximité avec son sujet le place également au cœur d’un conflit qui le touche personnellement.

    Un plan fixe, un conteur, un public. En somme, nous plongeons dans la préface d’une intrigue qui questionne sur la place de l’Homme dans ce monde, puis des espèces genrées, en passant par la définition d’un individu. A hauteur d’enfant, le discours dégage tout de même un certain lyrisme qu’on ne peut amputer à l’artiste qui conçoit son œuvre de l’intérieur, comme de l’extérieur. La double casquette du jeune Affleck valorise ainsi ce drame qui n’a pas besoin de tremper dans le spectaculaire pour convaincre une audience tout aussi mature que son engagement. L’Arche de Noé que l’on décrit revient dans toutes les thématiques que véhicule le film, dans un élan ludique et touchant. Rag (Anna Pniowsky) est le principal catalyseur, grâce à sa clairvoyance et surtout son innocence. Dommage que l’on n’adopte pas assez son point de vue, qui apporterait un sentiment de légèrement et qui contrasterait bien avec un environnement qui la rejette. Fille, biologiquement, mais essentiellement enfant dans un monde d’adultes, elle évolue aux côtés d’un père à la recherche d’un sanctuaire de paix.

    Mais quelle est la nature de cette paix ? La réponse se dissimule sous une branche, dans un reflet ou encore derrière des souvenirs. Le film explore habilement les liens familiaux et laisse au spectateur le soin de suggérer la situation et la place de la femme dans ce nouveau monde. La présence d’Elisabeth Moss souligne justement cette attention, car l’ombre de la servante écarlate reste toujours sur un coin de l’écran. De ce fait, toute notre attention va au duo père-fille qui se découvre encore plus, avec une note d’émancipation obligatoire afin de justifier un dénouement qui emprunte sa brutalité au western. La caméra bouge peu, voire pas du tout afin que l’on immerge face à un portrait à la fois grotesque de l’humanité qui continue de se déchirer. Ôter la femme du récit renforce justement ce point, car elle incarne symboliquement une beauté et une tendresse que les personnages convoitent, mais pas toujours pour les mêmes motivations. L’intelligence de l’œuvre, c’est de croiser maternité et paternité dans ce voyage très spirituel et qui flirte avec les limites de nos attentes. Lorsqu’une intrusion prend place, l’ambiguïté domine nos pensées et l’enfance que le père essaye de préserver frémit.

    La plupart des plans invitent à la réflexion et ajoutent de la profondeur chez des protagonistes tantôt bavards, tantôt discrets. Et pourtant, il y a tant d’informations frontalement communiqués. Nos héros n’existent pas en tant que tel. A terme, on y voit un cycle bienveillant, mais qui aura atteint son objectif qu’après être passé par le malaise et les turbulences de l’éducation. Pour un second long-métrage, « Light of my Life » permet à Casey Affleck de convoquer la patience et la sagesse qu’avait besoin cette épreuve intimiste et émouvant. De plus, il démontre que même dans une société en ruine, il est encore possible de s’instruire, de vivre simplement et de vivre d’un amour bouleversant et en famille.
    lionelb30
    lionelb30

    434 abonnés 2 589 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2020
    Assez long et lent certainement fait pour donner une tension a l'histoire mais qui ne marche qu'a moitie. On suit donc cette errance des personnages sans trop savoir ou cela va mené et donc on reste quand même en alerte jusqu'au bout , la fin laisse un peu perplexe , la bande son pas bonne qui prévient si la scène sera dramatique ou positive. De bonne choses parfois , mais d'autres moins aboutis.
    Loïck G.
    Loïck G.

    334 abonnés 1 668 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2020
    Entre « La Route » de John Hillcoat et « Leave No Trace » de Debra Granik, Casey Affleck tente la voie médiane d’une quête initiatique de l’enfance malmenée par des événements presque surnaturels. On ne sait pourquoi dans ce qu’il appelle son futur proche, les femmes ont disparu. Il lui reste sa petite fille qu’il entend protéger à tout prix et la fait passer pour un garçon dans un long périple à travers le pays où le danger ne cesse de les guetter. Casey Affleck filme les souvenirs comme le temps présent qui interroge pareillement son enfant. Le préambule est plutôt pesant, et plombe le récit en quête de vérité plus terre à terre. Ce qui ne semble guère préoccuper le réalisateur-scénariste tout aussi engourdi dans son personnage. Son interprétation ( monocorde au départ ) et celle de Anna Pniowsky prennent au fil du périple de la hauteur et de l’épaisseur. Il faut attendre la seconde partie, quand le danger est permanent et que les hommes se rapprochent de leur histoire pour sentir le souffle qui parcourt ce récit d’apprentissage de la (sur) vie. Une humanité tout entière contenue dans cette éducation peu commune d’un père dévoué jusqu’à l’impossible.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    À Crocs D’Écrans
    À Crocs D’Écrans

    185 abonnés 1 009 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2020
    Comment avoir le premier rôle d’un film ? Le réaliser soi-même ! Casey Affleck s’offre ici un rôle très touchant de père, un père aimant et qui a peur pour sa fille à chaque instant. L’univers de ce film est très particulier, on nous explique certaines choses mais d’autres restes très flous, notamment la menace réelle planant sur cet enfant, ce qui amplifie sans doute la peur si elle se fait prendre. Il nous dépeint une relation tout en subtilité : amour, confiance, éducation, protection, le père et la fille se cherchent, tente de se comprendre, ils grandissent ensemble. Le scénario tient sur quelques lignes, il ne se passe finalement pas grand-chose, c’est très lent, il faut vraiment être préparé à ça, on accroche ou pas ! On rentre dans l’intimité d’un quotidien, dans de longs échanges, c’est la plupart du temps calme et en même temps, sous une tension permanente, avec l’angoisse que tout peut basculer d’un moment à l’autre. Le peu d’action du film est par contre assez brutal et tranche avec le reste. Bref, un film à part, teinté de réflexion sur cette relation unique, un film qui ne plaira pas à tout le monde, dans notre cas, un a vraiment aimé, l’autre l’a trouvé insipide !
    Joyeux
    Joyeux

    101 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 août 2020
    "Light of my life" raconte l'histoire d'un père qui tente de protéger sa fille dans un monde où les femmes ont été foudroyées par une pandémie les ciblant tout particulièrement. Entre le besoin de survivre en pleine nature et celui d'élever malgré tout son enfant, Casey Affleck nous propose un film qui se démarque par son esthétique et sa poésie.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    113 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 août 2020
    J'attendais davantage de ce film de Casey Affleck. Contrairement à ce que je lis parfois, le film n'est pas contemplatif. Lent et contemplatif sont deux choses différentes; Light of my life est lent mais pas contemplatif. Il n'est ni onirique, ni philosophique ni introspectif. Par contre, il est mélancolique. La qualité du jeu des acteurs est bonne et les scènes les plus dures sont réalistes; rien n'est édulcoré. Par contre, on finit par s'ennuyer à force de supporter les leçons de vie simplifiées du père à sa fille et une énorme question reste suspens : que devient spoiler: l'homme roux qui dénonce la fille et son père; il s'enferme et plus rien ???
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    37 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 novembre 2024
    On m’avait dit que "Light of my Life" était un film d’auteur vraiment intéressant, et avec pas mal de partis-pris surprenants. Mais honnêtement, quand je suis ressorti du visionnage, j’ai juste eu l’impression d’avoir visionné une énorme catastrophe. Je préfère le dire clairement, mais je déteste ce film. Je lui reconnais ces quelques jolis plans et ces décors sympathiques. Ce goût pour les cadres à la photographie très brumeuse et désaturé aussi par exemple. Mais pour le reste, je ne supporte pas ce long-métrage ! On est vraiment face au cliché typique du film d’auteur qui se prend trop au sérieux et qui se la pète pour un rien. Sincèrement, le projet ne raconte rien, et il est particulièrement vide. On s’ennuie du début à la fin, car il ne se passe strictement rien. Je dis souvent que le rythme de certains films est lent, mais je ne l’avais jamais autant ressenti que face à ce projet. Rien que la séquence d’introduction le démontre, car elle est beaucoup trop longue ! spoiler: Nous vonyons 10 minutes d’un père qui raconte une histoire à sa fille, en le voyant bafouiller, en ayant rien d’autre à regarder que son visage, et c’est juste chiant !
    Et l’entièreté du film est comme cela, on s’ennuie tout du long. On a essayé de m’expliquer que le scénario est une histoire qui prend position, et qui est donc très féministe dans son propos. Mais franchement, c’est juste de l’enfonçage de porte ouverte et du cirage d’ego. Ce film ne dit rien de révolutionnaire, et il le dit même très mal. Même si l'univers est particulier, il n'apporte rien à la cause des femmes, à part de dire "regarder, elles comptent" ! Et clairement, si on veut aller dans ce genre de thématiques, cela peut être une bonne idée. Mais ici, rien n'est exprimé de nouveau, car ce thème ne sert jamais vraiment au scénario, mais plus à l'ambiance. Cependant, comme la tension ne fonctionne pas, car on s'ennuie fortement, tout finit par être raté. Pourtant, Casey Affleck croit vraiment avoir écrit un chef-d’œuvre profond, j’en suis certain. On ressent tellement de prétention dans ce genre de projet, que c’est juste impossible à regarder correctement. Honnêtement, c’était peut-être l’un des pires visionnages que j’ai eus depuis bien longtemps. Je ne veux plus entendre parler de ce film ! Pour conclure, une horreur.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top