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    Light of my Life
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    172 critiques spectateurs

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    Le D.
    Le D.

    209 abonnés 947 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2020
    "Light of my Life" est un bon film dramatique/science-fiction avec une histoire intéressante et des personnages très intéressant. Il y a de très beau décors, j'aurais bien aimé qui est un peu plus d'intrigue et aussi un peu plus d'action. J'ai trouvé que la fin est un peu décevante, j'aurais préféré que ça soit plus dramatiques où encore une autre fin alternative.
    Pamolico - blog
    Pamolico - blog

    12 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2020
    Light of my Life s'attarde sur la relation entre un père et sa fille au crépuscule de l'humanité, entre plaines enneigées et maisons désertées, entre lumière et obscurité. D’une noirceur mélancolique toujours nimbée d’espoir, ce film statique et sombre est d’une grande beauté. J'en parle plus longuement sur Pamolico, blog de critiques (https://pamolico.wordpress.com/2020/08/02/light-of-my-life-casey-affleck/)
    Madjujul
    Madjujul

    4 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 septembre 2020
    Il était une fois... un père et sa fille dans un monde dévasté par un virus qui n’atteint que les femmes. Comment ne pas voir dans ce conte quelques allusions à la crise sanitaire que nous traversons ? Car oui, ce film d’anticipation s’apparente au conte et ce sont d’ailleurs les premiers mots qu’on entend dans le film : « Once upon a time... » Le père raconte à sa fille l’histoire d’un chien, Art.

    Casey Affleck nous livre un film dont les niveaux de lecture sont multiples. Dans son rôle de père protecteur vis-à-vis de sa fille, il apparaît tel un Christ sauveur. Le look même de son personnage y fait forcément penser. Mais en deuxième lecture, on peut aussi y voir la référence au Roi pêcheur : le nom « Art(hur », la terre aride, la blessure du père... Casey Affleck distille discrètement les références mythologiques avec une mise en scène limpide et des interprètes solides.

    La réalisation de Affleck fait ressentir une tension bien palpable, les actions hors caméra font appel à l’imagination et à l’intelligence du spectateur. Le rythme résolument posé et ralenti par cet environnement déserté donne son ton au film. C’est parfois rebutant mais Affleck et Anna Pniowsky font preuve d’une réelle complicité père-fille et on y croit jusqu’au bout.
    P~❥
    P~❥

    8 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2020
    Je mets tout juste la moyenne pour ce film "pédago mélo paternaliste" rien à voir avec de la science fiction, il n'y a aucune action, et lorsqu'elle commence, c'est déjà la fin du film..
    C'est vraiment dommage car le scénario a vraiment du potentiel mais on reste sur notre faim..
    Parceque trop de questions sans réponses
    Parceque beaucoup trop lent et longuet
    Parceque beaucoup trop de bla bla bla
    Parceque la gamine est insupportable
    Parceque le film n'a ni début ni fin ni explications
    Casey Affleck a choisi le parti pris de concentrer l'histoire uniquement sur sa relation avec sa fille mais qu'est ce que c'est mou!!! Grossière erreur ..
    Le film mérite tout juste la moyenne
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 351 abonnés 7 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 août 2020
    Second long-métrage pour Casey Affleck, après I'm Still Here (2010), qui s’est attelé ici à mettre en scène un drame dystopique, à mi-chemin entre Les Fils de l'homme (2006) d'Alfonso Cuarón & La Route (2009) de John Hillcoat.

    Light of my life (2019) nous plonge dans un univers glaçant où un père de famille tente par tous les moyens de protéger sa fille unique (on apprend rapidement que la population féminine a été éradiquée).

    Il en résulte non pas un film post-apocalyptique comme on aurait pu le croire, mais plutôt un drame intimiste, sur la relation père/fille. C’est touchant et réaliste, malgré le fait que le film soit plombé par son côté minimaliste (la séquence d’ouverture qui dure plus de 10min où le père raconte une histoire à sa fille ne laisse plus aucun doute, on comprend d’emblée que le film sera contemplatif, voir soporifique par moment).

    Le film peine clairement à maintenir une cadence, il pâtit d’une mise en scène mollassonne et ce, malgré la jolie prestation d’Anna Pniowsky aux côtés de Casey Affleck.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    moket
    moket

    541 abonnés 4 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 septembre 2021
    Un drame futuriste délicat et poétique, porté par l'excellent Casey Affleck. Quelques longueurs mais cette dystopie dans les forêts humides et les paysages enneigés a quelque chose de fascinant.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 878 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2020
    Qu'est-ce qui attire tant les créateurs dans les récits post-apocalyptiques ? Pas seulement l'envie de se (nous) faire peur mais aussi, entre autres, l'occasion de se confronter à des situations extrêmes, où la survie est la grande question, et ainsi de revenir à l'essence de l'existence humaine, marquée par la conscience de son obsolescence programmée.Cette année, Sandrine Collette a publié Et toujours les forêts, s'appropriant, avec une certaine originalité, les grandes thématiques d'un tel sujet. spoiler: Les forêts, elles sont aussi dans Light of my Life un lieu de refuge pour des rescapés d'une épidémie, loin de l'hostilité des autres hommes
    . Là encore, nous voici dans un monde d'après, qui ressemble peu ou prou à celui d'il y a longtemps, du temps des cavernes, ou peu s'en faut. spoiler: Casey Affleck joue la carte de la sobriété, insistant peu sur les raisons de l'épidémie de peste féminine (sic) qui a décimé la moitié de l'Humanité.
    Peu porté sur l'action et la dramaturgie, Light of my Life s'attache à des thèmes comme la transmission, l'amour filial, la culture (les deux personnages principaux se repaissent de livres et de fictions davantage que de nourriture) et, de manière sous-jacente, l'harmonie avec la nature. Certes, le danger est toujours présent mais ce n'est pas l'essentiel dans un film qui privilégie les dialogues père/fille qui sont parfois de quasi monologues. Le parti-pris, pas très spectaculaire, est intéressant, mais on n'échappe pas à une certaine monotonie, du fait d'une mise en scène qui ne va pas au-delà d'une simplicité illustrative et à des péripéties sans surprise. Casey Affleck, lui-même, se restreint à un jeu économe, permettant à la jeune actrice canadienne Anna Pnowsky la possibilité de montrer un talent certain, dans une partition d'une bienvenue retenue.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2020
    Quelque part entre La Route et Les fils de l'Homme, le film est plein de bonnes intentions. Malgré quelques moments d'émotion forts, l'oeuvre ne révolutionne pas le genre, et tourne parfois à vide. Reste un Casey Affleck impérial.

    https://www.justfocus.fr/cinema/critique-light-of-my-life-de-casey-affleck-un-survival-classique-mais-efficace.html?fbclid=IwAR0AV6IAMr6yIIWF1HnngavaPcbQRWiqVd-jZQbvNBNSOeYjoQXgsNppXpQ
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    184 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2020
    Casey Affleck essaye d'emprunter le chemin vertueux de son frère, en empruntant à la fois la casquette de producteur, réalisateur, scénariste, et acteur de son propre film... Pari risqué. Le résultat n'est pas mauvais mais j'en attendais quand même beaucoup plus, et me retrouve finalement déçu.
    Clairement déjà, la bande-annonce du film (surtout) et beaucoup d'autres aspects et d'éléments du film tant sur l'atmosphère que la relation père-fille, fait clairement penser au film La Route de John Hillcoat... que j'adore personnellement. Donc le niveau de challenge était déjà élevé...
    Ensuite gros problème sur la 1ère scène qui, certes, met en place le fondement même de la relation paternelle sur laquelle se base le film, mais alors qu'est-ce qu'elle m'a parue longue... je crois qu'elle doit bien durer 10 minutes, avec seulement 3 plans (un top shot principalement, et un champ contre-champ), et un récit dialogué/développé d'une histoire tellement loooongue, qui fait écho à la thématique oui, mais franchement, était-ce bien nécessaire ? L'intro à mon sens était vraiment utile car une scène avec les rôles inversés est reprise plus tard dans le film, sinon, je n'ai pas compris l'intérêt d'insister autant sur cette séquence d'ouverture !! Clairement, l'entrée en matière était pas vraiment réussie à mon sens.
    Mais par contre j'ai adoré l'idée d'un monde apocalyptique, où les femmes ont complètement disparues, une façon non visible de mettre en valeur la Femme avec un grand F. D'ailleurs, à aucun moment le prénom du père n'est dévoilé... seul celui de sa fille est connue, car c'est bien un film autour d'elle qui se joue. Mais nous n'en savons pas réellement plus sur la raison de la grande épidémie, le film faisant vraiment le focus sur le lien paternel, familial et la transmission à travers le prisme invisible du féminisme.
    Si le jeu de la jeune actrice Anna Pniowsky est louable et prometteur, le jeu de Casey Affleck est vraiment irrégulier. Je le trouve vraiment pas top dans la première partie du film, avec très peu d'émotions sur le visage ou en tout cas toujours la même... et il parvient ensuite à convaincre dans la 2ème et surtout dernière partie du film.
    Tout comme le récit d'ailleurs, qui prend du temps à démarrer, mais qui devient vraiment intéressant et captivant dès lors qu'ils s'installent dans la première maison, et où il s'ensuit plusieurs jeux de chasse à la souris, au final dès lors qu'ils sont véritablement mis en danger... Globalement, il y a quand même de grosses longueurs qui auraient pu être écourtées sans rien perdre des enjeux et développement des personnages (15 minutes de film en trop).
    En tout cas une chose est sûre, le film n'atteint pas le niveau de La Route, qui est pour moi une référence dans le genre.
    sebou36
    sebou36

    71 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 août 2020
    Contrairement à ce que l'affiche et le synopsis laissent penser, il s'agit à peine d'un film de science-fiction mais bel et bien d'un charabia filmique sans intérêt. Marre de ces films paresseux sans imagination!
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    704 abonnés 3 055 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2020
    Light of my Life semble offrir un prolongement au film A Ghost Story, tant du point de vue de son thème – l’imminence de la disparition change les personnages en morts-vivants – que de celui de son traitement, comprenons une langueur d’un corps à bout de souffle qui se traîne et se traîne encore sur près de deux heures, porté par la partition de Daniel Hart. L’originalité du film de Casey Affleck est de multiplier les intertextes bibliques, pensant ses scènes comme des répétitions ou des transpositions de paraboles issues des textes sacrés. L’idée même du martyre d’un père devant défendre la vie de sa fille contre un monde chaotique et dépourvu de femmes apparaît d’emblée comme une épreuve christique, martyre accentué par de nombreux flashbacks qui accentuent le tourment du personnage. Il s’agit pour lui de « continuer à être papa », de persévérer dans la transmission d’un bagage humain en dépit du fait que l’humanité environnante s’avère sauvage dépourvue de couleurs. Toutefois, si Light of my Life a bel et bien une idée, qu’il étire sur deux heures, sa structure reste trop verrouillée pour convaincre : les retours en arrière sont opportunistes, la mollesse de l’ensemble – quoique nécessaire pour accélérer soudainement le rythme lors des scènes de traque – devient une finalité en soi et n’épouse que mal la dynamique post-apocalyptique, ses incertitudes, son climat paranoïaque ; un confort de mise en scène et de réception critique s’installe. Car une fois établie, la mise en scène ne fait que répéter ad nauseam le même schéma, applique un cahier des charges avec de longs plans fixes, des violons qui grincent et une image désaturée. Tout cela sonne faux, si bien que la démarche esthétique échoue à saisir les rayons de lumière qui jaillissent d’une source quant à elle opérationnelle : la jeune Anna Pniowsky. Une œuvre prisonnière de son dispositif, forte de quelques réussites locales.
    Ciné-13
    Ciné-13

    124 abonnés 1 085 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2020
    Qui-vive permanent, fuite incessante, ce survival est très très lent.
    La lenteur est accentuée par la ponctuation des silences : les moments intenses sont sans musique
    Le père explique avec des mots simples, la technique de l'enfantement et la menstruation à sa fille, qui boit sans un mot ces informations.
    Autres ponctuations : les Points de ralliement.
    Le twist final conclut le rapport fusionnel.
    Intéressant mais pas jubilatoire!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 mars 2020
    Utilisateur régulier, si ce n'est quotidien, d'Allociné depuis des années (dédicace à chrischambers86), je prends enfin mon clavier pour vous conseiller le film qui m'a, jusqu'ici, le plus touché en cette année 2019 : "Light of My Life". Malgré avoir toujours été agréablement surpris par Casey Affleck - que ce soit assez récemment en tant qu'acteur dans "Manchester by the Sea", ou il y a un peu plus longtemps dans sa première réalisation : "I'm Still Here", je ne m'attendais pas à une grande surprise avec ce "Light of My Life", tant les précédentes tentatives mainstream au genre post-apo : "Leave No Trace" et "A Quiet Place", m'avaient passablement déçues et ce par les nombreux domaines scénaristiques dans lesquels elles péchaient. J'ai donc tout bonnement été surpris par le sans faute réalisé par "Light of My Life" qui, à mon sens, surpasse ce qui s'est fait de mieux dans le genre ces dix dernière années : "The Road" et ce grâce à la toute simple, mais très efficace, force de son concept. Les ingrédients classique du genre post apo, parfaitement dosés dans "The Road", se retrouvent, ici, sublimés par une simple idée qui pousse le concept un cran plus loin et procure, à ceux qui s'en saisissent, un film parfaitement viscéral et un coup de poing féministe, ô combien violent, car c'était LE film à faire en cette période de #Me Too, mais cela va certainement passer au dessus de la tête de nombre amateurs d'écriture inclusive. Pour les autres, j'espère juste que ma critique dithyrambique ne vous fasse pas en attendre trop et contrebalance simplement celles qui vous poussent à passer chemin.
    Kana57
    Kana57

    43 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2020
    Vu Light Of My Life difficile de ne pas penser à La Route en voyant ce film Oui mais celui-ci est beaucoup plus soporifique sa raconte pas grand chose pourtant le Film ne manque pas d'idées sur le papier dommage donc que se soit sans intérêt ⭐⭐
    Aubert T.
    Aubert T.

    126 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 août 2020
    Un film rare, lent et prenant. On croit vraiment à ce couple improbable père/enfant, eux contre le monde entier.
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