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Cinemadourg
780 abonnés
1 531 critiques
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3,0
Publiée le 16 décembre 2021
Imaginez une Terre sur laquelle un mystérieux virus aurait éradiqué 99,9% de la population féminine. Et maintenant, mettez-vous à la place d'un père tentant depuis plus de 10 ans d'élever sa fille miraculée dans un tel monde devenu hostile et faisant rejaillir nos instincts primitifs les plus sauvages : c'est comme tenter de protéger la dernière bouteille d'eau fraîche sur une planète aride et desséchée ! N'allez pas voir ce drame dystopique si vous aimez l'action, tout l'intérêt du film réside dans cette relation père-fille extrêmement bien filmée et jouée par un très bon Casey Affleck. La toute jeune Anna Pniowsky est également bluffante d'authenticité dans le rôle de cette gamine tentant de grandir et de comprendre cette vie plutôt particulière. Certes, le rythme et le suspens sont loin d'être haletants, mais cette sorte de tension permanente couplée à ce papa protecteur et attachant rendent cette histoire très séduisante à suivre. Assez réussi. Site CINEMADOURG.free.fr
TT d'abord c'est rare que je mette qu'une de mie-étoile! Je me suis ennuyé Aucun intérêt il fallait faire le film avant que tout se passe: pourquoi il n'y a plus les femmes pour comprendre le déroulement, ici des scènes longues avec des dialogues (qui frôle parfois le ridicule) entre un père et sa fille. Il ne se passe rien _ Ca parle & ça reparle tout le long pour ne rien dire. 9-10 mn d'action pour 2h de film. Certains disent quelques longueurs : MAIS ce ne sont plus des LONGUEURS, c'est de l'ennui total! Bref on attend tt le temps que ça démarre. Allez plutot voir 'Greenland dernier refuge (à l'affiche) et sa 'comète gazeuse' pour voir de bons rebondissements et du suspens! Y A pas photo. Perso je m'en fiche car j'ai la carte ciné, sinon...
Je me suis vraiment ennuyée aucun intérêt il fallait faire le film avant que tout se passe c'est à dire pourquoi il n'y a plus les femmes pour comprendre le déroulement la des scènes très longues que du blabla entre un père et sa fille . La première scenes dure au moins 10 min et il ne se passe rien Ca parle Ca parle et ça reparle tout le long . Ne vous attendez pas à de l'action dans tout le film il y a 5 min d'action pour 2h de film je suis déçu la bande annonce montre tout ce qui se passe .
Très bon film de Casey Affleck !!! L'idée de départ est super bonne avec ce virus de la peste féminine qui dissémine les femmes et ce père de famille qui se bat pour protéger sa fille des prédateurs ! En plus les paysages sont sublimes et certaines scènes sont anxiogènes et bien flippantes... mais le petit bémol c'est qu'il y a quelques longueurs, quelques petites incohérences et surtout certains dialogues sont pompeux et inutiles dans un film aussi prenant... mais dans l'ensemble c'est un film original et palpitant !
Dans un futur proche, la planète a été décimée par une mystérieuse peste qui a tué toutes les femmes condamnant à terme la race humaine à l’extinction faute d’enfants. Toutefois, une jeune fille est encore vivante. Rag a douze ans. C’est une pré-ado vive et intelligente. Son père, qui lui voue un amour infini, veille jalousement sur elle. Leur vie est une suite ininterrompue de déambulations dans l’Ouest américain, à la recherche d’un refuge où ils pourraient enfin trouver la paix.
"Light of my Life" relève un défi audacieux : explorer le même thème que deux films qui avant lui l’ont fait avec un succès indépassable. Le premier est "La Route" – adapté du prix Pulitzer 2007 de Cormac MacCarthy. Dans une Amérique tout aussi pluvieuse et tout aussi dangereuse, Viggo Mortensen y déployait déjà des trésors d’amour paternel et d’inventivité pour protéger son fils. L’affiche de "Light of my Life" reproduit d’ailleurs quasiment à l’identique celle de la Route : même duo harassé de fatigue, même vêtements sales gorgés par la pluie, mêmes couleurs grisâtres… Le second est "Les Fils de l’homme" – lui aussi adapté d’un roman d’anticipation à succès, écrit celui-ci par P.D. James – où Clive Owen, dans un monde brutalement condamné à la stérilité, se voyait confier la lourde tâche de protéger une femme enceinte.
Face à ces deux écrasants précédents, "Light of my Life", hélas, n’est pas à la hauteur et se condamne à n’être qu’un film post-apocalyptique de plus. Le genre n’étant pas pour me déplaire, j’inclinais à la bienveillance ; mais ma bienveillance a des limites.
Ici Casey Affleck, qui a écrit le scénario, produit et réalisé le film, et qui interprète le rôle principal, englue la narration dans des dialogues aussi verbeux qu’interminables. Le film s’ouvre ainsi par un plan fixe d’une dizaine de minutes durant lequel le père raconte à sa fille une histoire, durant la veillée, sous la tente, vaguement inspirée de la parabole de l’arche de Noé.
Le film a son lot de rebondissements convenus. Comme de bien entendu, le duo fait des rencontres. Certaines sont plus heureuses que d’autres. Elles auraient pu continuer longtemps, le film qui dure déjà deux heures pouvant sans préjudice en compter facilement une de plus ou une de moins. La seule chose qui est réussie est le cadrage qui laisse toujours ouverte une ligne de fuite déserte d’où on pressent que pourrait surgir à chaque instant une menace. Cette tension permanente cloue le spectateur à son siège. Ce n’est pas la sensation la plus agréable qui soit ; mais c’est une qualité du film qu’il faut lui reconnaître.
Excellente idée ! Voilà, en gros ça s'arrête là pour moi ... Le petit frère Affleck, si doué devant l'écran, tatonne quelque peu derrière. Son long métrage apocalyptique peine à trouver son rythme et s'embourbe dès le départ dans des palabres sans fin entre un père et sa fille, cette dernière étant l'une des toutes dernières femmes au monde, d'où un danger constant. Le problème, c'est que ce danger, on ne le ressent que bien trop peu, la tension est quasi absente des deux heures mis à part lors des quelques bribes d'action. Je ne suis pas contre les films contemplatifs ou plus profonds, le soucis ici c'est que l'émotion ne filtre pas et comme l'action est aux abonnées absentes, on s'ennuie ferme ! Les dialogues sont en outre un peu creux et les personnages pas forcément attachants malgré de bonnes interprétations. Pour ma part Casey est passé à côté et moi aussi par la même occasion.
Ce film est très très porté sur le chef d'oeuvre "La Route". Même idée de base : un futur post apocalyptique où, ici, les femmes ont été éradiquées suite à une maladie, un père qui va tout faire pour protéger sa fille miraculeusement épargnée, dans un monde devenu brutal où seuls les instincts primaires dominent. Évidemment, comme pour La Route, le film se base énormément sur la relation entre le père et sa fille et les nombreuses interrogations pour survivre au quotidien. Le casting est très réussi, l'ambiance très bonne, un scénario plutôt inégal et peu crédible à mon sens mais qui en fait un divertissement de bonne facture. Bref : une lumière dans cette période si peu propice aux bons films.
La scène d'ouverture est une histoire racontée par un père à sa fille filmée de façon minimaliste et traînant en longueur. Malheureusement elle donne le tempo au film, chiche dans ses effets et sa narration, généreux dans son ennui et sa durée. Ce chemin initiatique enfonce les portes ouvertes quand le père inculque des valeurs à son enfant, pourtant l'arrière-plan, un monde apocalyptique où les femmes ont disparu, est intéressant mais totalement sous-exploité. Loin d'une réussite comme "Sur La Route" Casey Affleck invente ici le survivalisme gnangnan.
Horriblement ennuyeux. Je ne me suis jamais autant ennuyée au cinéma. Casey Affleck mon dieu !!! Un petit debutant qui ne connait pas le cinema. Ni bon en 'acteur et encore moins realisateur !!! Je comprends qu'il ne soit pas connu. Ce n'est pas un problème de longueur le film mais un problème de vide, néant. Il n'y a absolument rien. Que du mou, du très lent. Horrible. J'ai perdu mon temps. Si vous voulez perdre votre temps allez y ! Film sopo. On en peut plus. Ya rien ds ce film. Le navet de l'année. Aucun plaisir cinématographique. N'écoutez pas les gens qui ont bien noté le film c sûrement pour essayer de promouvoir le film. Le pire film de tous les temps.
Une belle mise en scène et Les deux personnages très bien joués. Mais un peu convenu et j'aurais aimé plus d'audace sur la question du genre vu le sujet. Casey Affleck se limite à la relation père/fille dans vraiment aller au-delà des attentes sur un sujet aussi fort. La photo et la musique ainsi que les paysages sont somptueux. Un vrai climat.
Malheureusement un peu trop attendu, Light of my life passe par tous les chemins balisés de ce type de survival "en famille", loin de toute société, dont les américains sont friands. Hormis quelques longueurs dans la première partie, Casez Affleck mène plutôt bien la barque d'un film qui arrive à prendre un peu aux tripes par moment, mais rien n'étonne. Le voir en période de pandémie alors que, sur l'écran, la peste a décimé la moitié de la population reste malgré tout une expérience.
Une histoire d'une idée presque originale. J'aime les films de et avec Casey Affleck car il y a une certaine poésie qui ressort de cet homme aux frasques connues. Ici, la relation père-fille dans un monde devenu très dangereux pour les femmes fait ressortir le côté protecteur presque bestial d'un homme pour la femme qu'il aime. Je souligne l'interprétation des deux acteurs principaux.
Si la lenteur et les dialogues que composent le film, ne sont pas spécialement dérangeants et permettent de dédramatiser la situation à laquelle doit faire face ce père et sa fille. L'ensemble est bien filmé et joué. Peu porté sur l'action et la dramaturgie, Light of my Life s'attache à des thèmes comme la transmission, l'amour filial, la culture (les deux personnages principaux se remplissent de livres et de fictions davantage que de nourriture) et, de manière sous-jacente, l'harmonie avec la nature. Certes, le danger est toujours présent mais ce n'est pas l'essentiel dans un film qui privilégie les dialogues père/fille qui sont parfois de quasi monologues. Le parti-pris, pas très spectaculaire, est intéressant !