Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Express
par Christophe Carrière
C'est cru, c'est abominable, mais jamais voyeuriste ou complaisant. La force de "Golden Glove" réside dans l'humanité paradoxale qui se dégage des personnages - y compris le principal.
Bande à part
par Greg Lauert
Film d’horreur, film social ou portrait poisseux, The Golden Glove est surtout une œuvre de Fatih Akin, cinéaste allemand au point de vue très frontal qui, depuis vingt ans, plonge ses yeux tout au fond des nôtres pour sonder nos instincts. Et au diable la gêne et l’inconfort.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
Qui eût cru que la renaissance artistique de Fatih Akin passerait par un changement de registre aussi radical [...] sur le papier, que kamikaze dans les faits ?
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Mad Movies
par François Cau
Raccord avec son sujet, "Golden Glove" carbure à la crasse et à la souillure.
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Tout, dans ce film, n’est que violence crue, éthylisme pathétique et difformité, mais, étrangement, c’est le refus de Fatih Akin de la moindre distance, sa volonté de plonger dans les entrailles poisseuses et grotesques de l’abjection qui finit par fasciner.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par La Rédaction
On peut voir dans ce microcosme une métaphore de l’Allemagne de l’après-guerre. Ou bien une campagne efficace dénonçant les ravages de l’alcoolisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Même s’il saupoudre le récit d’humour noir, le film, interdit aux moins de 16 ans en France, n’en reste pas moins poisseux et extrême, suscitant le malaise.
Le Monde
par Jean-François Rauger
L’implacable et méticuleuse cruauté mise au service de la peinture de cette sordide réalité pourrait rapidement être considérée comme insupportable si l’outrance ellemême, venue de la restitution d’événements, certes extrêmes, mais aussi du style adopté, ne transformait cette chronique nihiliste en comédie macabre et grotesque (...).
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Fascinant dans sa description sordidissime de l’univers du tueur, le film de Fatih Akin, très bien mis en scène, ne convainc cependant pas totalement. Jonas Dassler et Margarete Tiesel sont exceptionnels.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Marcos Uzal
Les crimes de Fritz Honka apparaissent alors comme le point ultime de toute la misère et l’horreur du monde. Avec une vraie habileté formelle, Akin nous y plonge sans ménagement. Entre deux hauts-le-cœur, on avoue ne pas toujours savoir si c’est bête ou courageux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Et il ne fait pas dans la dentelle en filmant frontalement la violence, avec des scènes de meurtre à provoquer des hauts-le-coeur même pour un public averti.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Louise Dumas
On sera choqué peut-être par cette débauche de mauvais goût ; il n'empêche qu'Akin saisit sans doute, dans ce film plus saumâtre que cathartique, quelque chose de la République fédérale des années 1970 et des cadavres dans ses placards.
L'Obs
par François Forestier
On comprend l’intention de Fatih Akin, le réalisateur d’« In the Fade » : montrer la saloperie dans toute son horreur. C’est réussi, grâce à une mise en scène très maîtrisée. Mais, sans la moindre touche d’humanité, il ne reste que la nausée.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
par La Rédaction
Fatih Akin s’est égaré dans une démonstration morbide, à la limite du supportable, de ce que l’humanité peut donner à voir de pire. On suit péniblement cet exercice de style en s’interrogeant sur les motivations du cinéaste à succomber à tant de complaisance.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Si à l’évidence, le cinéaste se réfère à Fassbinder dans sa démarche, volontairement frontale, et dans l’imagerie, le résultat n’en est qu’une très mauvaise caricature.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
Le dernier film de Fatih Akin […] est à l'image de son personnage principal : atrocement laid et profondément dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Frédéric Strauss
CONTRE : On a beau comprendre qu’à travers les monstruosités étalées sur l’écran, c’est une Allemagne monstrueuse qu’il s’agit d’évoquer, l’intérêt semble trop mince et l’effort à fournir pour supporter ce carnage, trop énorme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
C'est cru, c'est abominable, mais jamais voyeuriste ou complaisant. La force de "Golden Glove" réside dans l'humanité paradoxale qui se dégage des personnages - y compris le principal.
Bande à part
Film d’horreur, film social ou portrait poisseux, The Golden Glove est surtout une œuvre de Fatih Akin, cinéaste allemand au point de vue très frontal qui, depuis vingt ans, plonge ses yeux tout au fond des nôtres pour sonder nos instincts. Et au diable la gêne et l’inconfort.
Culturopoing.com
Qui eût cru que la renaissance artistique de Fatih Akin passerait par un changement de registre aussi radical [...] sur le papier, que kamikaze dans les faits ?
Mad Movies
Raccord avec son sujet, "Golden Glove" carbure à la crasse et à la souillure.
Télérama
POUR : Tout, dans ce film, n’est que violence crue, éthylisme pathétique et difformité, mais, étrangement, c’est le refus de Fatih Akin de la moindre distance, sa volonté de plonger dans les entrailles poisseuses et grotesques de l’abjection qui finit par fasciner.
Le Figaro
On peut voir dans ce microcosme une métaphore de l’Allemagne de l’après-guerre. Ou bien une campagne efficace dénonçant les ravages de l’alcoolisme.
Le Journal du Dimanche
Même s’il saupoudre le récit d’humour noir, le film, interdit aux moins de 16 ans en France, n’en reste pas moins poisseux et extrême, suscitant le malaise.
Le Monde
L’implacable et méticuleuse cruauté mise au service de la peinture de cette sordide réalité pourrait rapidement être considérée comme insupportable si l’outrance ellemême, venue de la restitution d’événements, certes extrêmes, mais aussi du style adopté, ne transformait cette chronique nihiliste en comédie macabre et grotesque (...).
Les Fiches du Cinéma
Fascinant dans sa description sordidissime de l’univers du tueur, le film de Fatih Akin, très bien mis en scène, ne convainc cependant pas totalement. Jonas Dassler et Margarete Tiesel sont exceptionnels.
Libération
Les crimes de Fritz Honka apparaissent alors comme le point ultime de toute la misère et l’horreur du monde. Avec une vraie habileté formelle, Akin nous y plonge sans ménagement. Entre deux hauts-le-cœur, on avoue ne pas toujours savoir si c’est bête ou courageux.
Paris Match
Et il ne fait pas dans la dentelle en filmant frontalement la violence, avec des scènes de meurtre à provoquer des hauts-le-coeur même pour un public averti.
Positif
On sera choqué peut-être par cette débauche de mauvais goût ; il n'empêche qu'Akin saisit sans doute, dans ce film plus saumâtre que cathartique, quelque chose de la République fédérale des années 1970 et des cadavres dans ses placards.
L'Obs
On comprend l’intention de Fatih Akin, le réalisateur d’« In the Fade » : montrer la saloperie dans toute son horreur. C’est réussi, grâce à une mise en scène très maîtrisée. Mais, sans la moindre touche d’humanité, il ne reste que la nausée.
aVoir-aLire.com
Fatih Akin s’est égaré dans une démonstration morbide, à la limite du supportable, de ce que l’humanité peut donner à voir de pire. On suit péniblement cet exercice de style en s’interrogeant sur les motivations du cinéaste à succomber à tant de complaisance.
La Croix
Si à l’évidence, le cinéaste se réfère à Fassbinder dans sa démarche, volontairement frontale, et dans l’imagerie, le résultat n’en est qu’une très mauvaise caricature.
Les Inrockuptibles
Le dernier film de Fatih Akin […] est à l'image de son personnage principal : atrocement laid et profondément dérangeant.
Télérama
CONTRE : On a beau comprendre qu’à travers les monstruosités étalées sur l’écran, c’est une Allemagne monstrueuse qu’il s’agit d’évoquer, l’intérêt semble trop mince et l’effort à fournir pour supporter ce carnage, trop énorme.