Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un film méditatif, attendrissant et universel sur la beauté de la vie ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Par le montage et sa manière mélancolique de mélanger les chronologies, la réalisatrice tente aussi de maîtriser le temps qui passe. Un temps qu’elle sait cruel et dont la finalité inéluctable reste la séparation et l’oubli. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Yannick Vely
Dans ses plus beaux moments élégiaques, quand la musique s'élève et que les enfants remontent le cours de l'histoire familiale, le film convoque la poésie des films de Terrence Malick ("Tree of Life"), une sacrée référence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Damien Aubel
Ce qui frappe le plus, c'est l'alliance d'une conscience aiguë des enjeux esthétiques et théoriques et le sens lyrique, presque romantique, de cette vie d'enfants au contact des éléments, de l'eau, de la terre.
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
« Je vois ce qui se dessine », murmure la cinéaste en regardant son plus jeune fils ; malheureusement le spectateur aussi.
Bande à part
Un film méditatif, attendrissant et universel sur la beauté de la vie ordinaire.
L'Obs
Par le montage et sa manière mélancolique de mélanger les chronologies, la réalisatrice tente aussi de maîtriser le temps qui passe. Un temps qu’elle sait cruel et dont la finalité inéluctable reste la séparation et l’oubli. Bouleversant.
Paris Match
Dans ses plus beaux moments élégiaques, quand la musique s'élève et que les enfants remontent le cours de l'histoire familiale, le film convoque la poésie des films de Terrence Malick ("Tree of Life"), une sacrée référence.
Transfuge
Ce qui frappe le plus, c'est l'alliance d'une conscience aiguë des enjeux esthétiques et théoriques et le sens lyrique, presque romantique, de cette vie d'enfants au contact des éléments, de l'eau, de la terre.
Cahiers du Cinéma
« Je vois ce qui se dessine », murmure la cinéaste en regardant son plus jeune fils ; malheureusement le spectateur aussi.