Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Une fresque sublime.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
L’intime et le grandiose fusionnent dans une forme inédite de spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Portrait de femme(s), témoignage d’une époque, introspection autobiographique, Roma nous éblouit, fascine, émeut dans la plus grande simplicité, contrastant avec son incroyable densité. Magnifique et vertigineux : l’œuvre magistrale d’un géant du cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
La puissance poétique de ce film envoûtant repose moins sur les événements que sur son style épuré, longs plans-séquences d’une fluidité hypnotique, cadres composés au millimètre, temps suspendu, polarisé, comme dans tout naufrage, sur la survie des femmes et des enfants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par La Rédaction
Le cinéaste mexicain Alfonso Cuarón signe un nouveau chef-d'œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Philippe Guedj
Dans un noir et blanc numérique surnaturel de beauté, sans musique artificielle, Cuarón fait mine de filmer l'anodin pour mieux nous terrasser en mêlant le destin intime de son héroïne au tumulte d'une nation. À la fin, les larmes coulent. Atmosphérique, magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Didier Péron
Le style d’Alfonso Cuarón fait de chaque plan une nouvelle stase graphique et émotionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Frédéric Foubert
Avec Roma, Alfonso Cuarón remonte le temps et signe un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par La Rédaction
Un somptueux drame en noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Le film “Roma” ressuscite un pan de l’enfance du cinéaste mexicain dans un très beau noir et blanc et un luxe de détails visuels et sonores.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
(…) la réussite la plus vertueuse d’Alfonso Cuarón est de ne tenter à aucun moment de transformer ce récit intime en une grande fresque picturale poseuse, gardant jusqu’au bout comme unique moteur l’humilité propre à cette volonté de s’inspirer de ses propres souvenirs.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Séverine Danflous
Sauver une vie, en perdre une autre, le film joue de cette dialectique en travaillant, dans un noir et blanc somptueux, les détails de l’infiniment petit, noyés dans l’aridité d’un paysage d’une infinie grandeur.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Dans un bouillonnement de vie sublimé par le noir et blanc, le cinéaste mexicain Alfonso Cuaron revisite ses souvenirs de petit garçon dans le Mexico de sa jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un splendide récit intimiste d’une enfance mexicaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Avec « Roma », chronique douce-amère d’un pays et d’une famille en décomposition, tournée en partie avec des non-comédiens le réalisateur de « Gravity » signe un nouveau chef d’oeuvre et montre qu’il est aussi doué pour les blockbusters hollywoodiens que les récits intimistes destinés aux cinéphiles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Bande à part
par François-Xavier Taboni
À la fois impressionnant et refroidissant de perfection glacée, le huitième film d’Alfonso Cuarón est un objet de cinéma très intrigant, qu’on peine à embrasser en une seule fois.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Ecran Large
par Simon Riaux
Chronique intime virant à l'orgie plastique, Roma manque parfois d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Critikat.com
par Josué Morel
Reste que cette tension entre deux pôles, qui témoigne d’une vraie pensée d’écriture qu’il ne faudrait pas confondre avec une virtuosité ornementale, n’est pas seulement prise en charge par la mise en scène et accouche d’oppositions que Cuarón traite parfois avec une certaine lourdeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Tout à sa virtuosité, qui n’est plus à démontrer, Cuarón semble davantage intéressé par la démonstration de force de son dispositif que par les souffrances de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Une fresque sublime.
CinemaTeaser
L’intime et le grandiose fusionnent dans une forme inédite de spectaculaire.
Culturopoing.com
Portrait de femme(s), témoignage d’une époque, introspection autobiographique, Roma nous éblouit, fascine, émeut dans la plus grande simplicité, contrastant avec son incroyable densité. Magnifique et vertigineux : l’œuvre magistrale d’un géant du cinéma contemporain.
La Croix
La puissance poétique de ce film envoûtant repose moins sur les événements que sur son style épuré, longs plans-séquences d’une fluidité hypnotique, cadres composés au millimètre, temps suspendu, polarisé, comme dans tout naufrage, sur la survie des femmes et des enfants.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste mexicain Alfonso Cuarón signe un nouveau chef-d'œuvre.
Le Point
Dans un noir et blanc numérique surnaturel de beauté, sans musique artificielle, Cuarón fait mine de filmer l'anodin pour mieux nous terrasser en mêlant le destin intime de son héroïne au tumulte d'une nation. À la fin, les larmes coulent. Atmosphérique, magnifique.
Libération
Le style d’Alfonso Cuarón fait de chaque plan une nouvelle stase graphique et émotionnelle.
Première
Avec Roma, Alfonso Cuarón remonte le temps et signe un chef-d’œuvre.
Télé Loisirs
Un somptueux drame en noir et blanc.
Télérama
Le film “Roma” ressuscite un pan de l’enfance du cinéaste mexicain dans un très beau noir et blanc et un luxe de détails visuels et sonores.
aVoir-aLire.com
(…) la réussite la plus vertueuse d’Alfonso Cuarón est de ne tenter à aucun moment de transformer ce récit intime en une grande fresque picturale poseuse, gardant jusqu’au bout comme unique moteur l’humilité propre à cette volonté de s’inspirer de ses propres souvenirs.
La Septième Obsession
Sauver une vie, en perdre une autre, le film joue de cette dialectique en travaillant, dans un noir et blanc somptueux, les détails de l’infiniment petit, noyés dans l’aridité d’un paysage d’une infinie grandeur.
Le Figaro
Dans un bouillonnement de vie sublimé par le noir et blanc, le cinéaste mexicain Alfonso Cuaron revisite ses souvenirs de petit garçon dans le Mexico de sa jeunesse.
Le Monde
Un splendide récit intimiste d’une enfance mexicaine.
Le Parisien
Avec « Roma », chronique douce-amère d’un pays et d’une famille en décomposition, tournée en partie avec des non-comédiens le réalisateur de « Gravity » signe un nouveau chef d’oeuvre et montre qu’il est aussi doué pour les blockbusters hollywoodiens que les récits intimistes destinés aux cinéphiles.
Bande à part
À la fois impressionnant et refroidissant de perfection glacée, le huitième film d’Alfonso Cuarón est un objet de cinéma très intrigant, qu’on peine à embrasser en une seule fois.
Ecran Large
Chronique intime virant à l'orgie plastique, Roma manque parfois d'humanité.
Critikat.com
Reste que cette tension entre deux pôles, qui témoigne d’une vraie pensée d’écriture qu’il ne faudrait pas confondre avec une virtuosité ornementale, n’est pas seulement prise en charge par la mise en scène et accouche d’oppositions que Cuarón traite parfois avec une certaine lourdeur.
Les Inrockuptibles
Tout à sa virtuosité, qui n’est plus à démontrer, Cuarón semble davantage intéressé par la démonstration de force de son dispositif que par les souffrances de son héroïne.