Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Délocalisation, exploitation, chômage, rêves de lendemains qui ont vite fait de déchanter: le tableau est sombre et le film de Walid Mattar ne laisse guère d'illusion ni d'espoir. Pourtant, loin d'une vision noire qui la rendrait vite insoutenable, il donne à la chronique sociale qu'il développe une sorte de tendresse amusée qui regorge de chaleur humaine.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un film humaniste sans misérabilisme qui rend hommage à la dignité de l'homme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Ce premier long métrage de Walid Mattar est un drame intimiste attachant, audacieux dans ses choix techniques et parfait dans sa distribution.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Le film slalome avec élégance entre le nord de l'Hexagone et la banlieue de Tunis, et décrit, avec une lucidité qui n'exclut jamais l'humour, les souffrances sociales de notre époque.
Positif
par Fabien Baumann
Ce premier long métrage de Walid Mattar, réalisateur né en Tunisie en 1980, rafraîchit notre regard chauvin sur les délocalisations.
Télérama
par Frédéric Strauss
En trouvant le ton juste pour cette comédie tout en retenue, le réalisateur célèbre la quête d’une vie heureuse, contre vents et marées. Et parle avec finesse des désillusions du présent comme de l’utopie jamais vaincue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame social tissé de beaux moments d'humanité et d'humour.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Humour et humanité se conjuguent pour dénoncer les absurdités d’un système économique mondial qui broie les individus.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Drame social sensible, "Vent du Nord" propose une intrigue bien ficelée cosignée par Claude Le Pape ("Les combattants").
La Voix du Nord
par Lucie Vidal
Un film et deux récits : difficile de faire décoller l’histoire. Reste le propos, sincère et louable, avec des descriptions sociales justes, jamais misérabilistes.
Le Monde
par Murielle Joudet
Intriquant le destin de deux ouvriers, le cinéaste tunisien Walid Mattar tente de rendre compte de l’immuabilité de la condition ouvrière. Pour autant, Vent du Nord donne le sentiment d’un film qui en contiendrait deux.
Le Parisien
par La Rédaction
Un regard implacable et émouvant sur la condition ouvrière à travers deux destins.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Damien Leblanc
Loin de l’objet théorique et figé, cette fable contemporaine fait au contraire la part belle aux changements de tonalités : plus facétieuse dans sa partie française (où brille Philippe Rebbot en pêcheur exalté) et plus axée sur le désir amoureux dans sa partie tunisienne, cette œuvre polyphonique porte haut la lutte quotidienne pour la dignité et l’affranchissement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’originalité de « Vent du nord » tient à ce que le récit est soudain coupé en deux, œuvre bifide dont les personnages, du nord au sud, constituent des frères d’infortune dont Walid Mattar fait le portrait à la fois sensible, bienveillant et mordant.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Le Dauphiné Libéré
Délocalisation, exploitation, chômage, rêves de lendemains qui ont vite fait de déchanter: le tableau est sombre et le film de Walid Mattar ne laisse guère d'illusion ni d'espoir. Pourtant, loin d'une vision noire qui la rendrait vite insoutenable, il donne à la chronique sociale qu'il développe une sorte de tendresse amusée qui regorge de chaleur humaine.
Le Figaro
Un film humaniste sans misérabilisme qui rend hommage à la dignité de l'homme.
Les Fiches du Cinéma
Ce premier long métrage de Walid Mattar est un drame intimiste attachant, audacieux dans ses choix techniques et parfait dans sa distribution.
Marianne
Le film slalome avec élégance entre le nord de l'Hexagone et la banlieue de Tunis, et décrit, avec une lucidité qui n'exclut jamais l'humour, les souffrances sociales de notre époque.
Positif
Ce premier long métrage de Walid Mattar, réalisateur né en Tunisie en 1980, rafraîchit notre regard chauvin sur les délocalisations.
Télérama
En trouvant le ton juste pour cette comédie tout en retenue, le réalisateur célèbre la quête d’une vie heureuse, contre vents et marées. Et parle avec finesse des désillusions du présent comme de l’utopie jamais vaincue.
Voici
Un drame social tissé de beaux moments d'humanité et d'humour.
aVoir-aLire.com
Humour et humanité se conjuguent pour dénoncer les absurdités d’un système économique mondial qui broie les individus.
CNews
Drame social sensible, "Vent du Nord" propose une intrigue bien ficelée cosignée par Claude Le Pape ("Les combattants").
La Voix du Nord
Un film et deux récits : difficile de faire décoller l’histoire. Reste le propos, sincère et louable, avec des descriptions sociales justes, jamais misérabilistes.
Le Monde
Intriquant le destin de deux ouvriers, le cinéaste tunisien Walid Mattar tente de rendre compte de l’immuabilité de la condition ouvrière. Pour autant, Vent du Nord donne le sentiment d’un film qui en contiendrait deux.
Le Parisien
Un regard implacable et émouvant sur la condition ouvrière à travers deux destins.
Première
Loin de l’objet théorique et figé, cette fable contemporaine fait au contraire la part belle aux changements de tonalités : plus facétieuse dans sa partie française (où brille Philippe Rebbot en pêcheur exalté) et plus axée sur le désir amoureux dans sa partie tunisienne, cette œuvre polyphonique porte haut la lutte quotidienne pour la dignité et l’affranchissement.
Sud Ouest
L’originalité de « Vent du nord » tient à ce que le récit est soudain coupé en deux, œuvre bifide dont les personnages, du nord au sud, constituent des frères d’infortune dont Walid Mattar fait le portrait à la fois sensible, bienveillant et mordant.