Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Baptiste Hanak
Malgré son titre (ou plutôt sa très mauvaise traduction française), son affiche et un premier quart d'heure très mélo, le film de Tony Goldwyn laisse transparaître quelques indéniables qualités.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Repérages
par Antonin Koskas
De riffs endiablés d'Hendrix en ballades de Zimmerman, le film de Tony Goldwyn explore une époque souvent visitée, mais à travers un parcours louvoyant, personnel et authentique.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Guillemette Olivier
Pourquoi alors les atermoiements de Pearl Kantrowitz nous touchent-ils ? Parce que son histoire, banale, se situe en un temps qui ne l'est pas (...). Le charme du film est là : dans le parfum d'époque et ce télescopage de deux cultures.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cplanet.com
par Marc Arlin
Si l'on exclut quelques moments superflus (...), Le choix d'une vie est un film attachant, idéal pour une indolente soirée de fin d'été …
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) après avoir mis en place, très soigneusement, très délicatement tous ces ingrédients (...), le réalisateur Tony Goldwyn choisit résolument la facilité, s'appuyant sur les inébranlables piliers de la fiction télévisée américaine : sentimentalisme et conformisme.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Virginie Apiou
Le dilemme de Pearl entre famille et liberté, doublé par la crise d'adolescence de sa fille, ressemble à une intrigue de téléfilm. Tout reste donc bien gentil, y compris les scènes d'amour sous les cascades.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) Tony Goldwyn ratisse large et cherche à tout prix l'identification avec son public. C'est là sa seule réussite : Le choix d'une vie ressemble à s'y méprendre à un programme pour «ménagères de moins de 50 ans», comme dirait l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
Malgré son titre (ou plutôt sa très mauvaise traduction française), son affiche et un premier quart d'heure très mélo, le film de Tony Goldwyn laisse transparaître quelques indéniables qualités.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Repérages
De riffs endiablés d'Hendrix en ballades de Zimmerman, le film de Tony Goldwyn explore une époque souvent visitée, mais à travers un parcours louvoyant, personnel et authentique.
Télérama
Pourquoi alors les atermoiements de Pearl Kantrowitz nous touchent-ils ? Parce que son histoire, banale, se situe en un temps qui ne l'est pas (...). Le charme du film est là : dans le parfum d'époque et ce télescopage de deux cultures.
Cplanet.com
Si l'on exclut quelques moments superflus (...), Le choix d'une vie est un film attachant, idéal pour une indolente soirée de fin d'été …
Le Monde
(...) après avoir mis en place, très soigneusement, très délicatement tous ces ingrédients (...), le réalisateur Tony Goldwyn choisit résolument la facilité, s'appuyant sur les inébranlables piliers de la fiction télévisée américaine : sentimentalisme et conformisme.
Première
Le dilemme de Pearl entre famille et liberté, doublé par la crise d'adolescence de sa fille, ressemble à une intrigue de téléfilm. Tout reste donc bien gentil, y compris les scènes d'amour sous les cascades.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Urbuz
(...) Tony Goldwyn ratisse large et cherche à tout prix l'identification avec son public. C'est là sa seule réussite : Le choix d'une vie ressemble à s'y méprendre à un programme pour «ménagères de moins de 50 ans», comme dirait l'autre.