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Cet artiste énigmatique livre beaucoup de lui-même dans le documentaire mais il se referme soudain comme un coquillage après avoir commencé à se confier sur ses adieux au père d’un camarade. Le spectateur en sera réduit à imaginer ce qui a bien pu se passer pour le traumatiser à ce point et réveiller ce qu'il appelle son «côté sombre». Ce diable d’homme n’a pas fini d’intriguer.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Lynch se montre dans sa maison des collines de Hollywood, ses trois maisons plus précisément, filmé dans son atelier de peintre (mais non dans sa somptueuse salle de projection, d’enregistrement, de mixage…), au travail, en réflexion, échangeant avec sa petite fille.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Une approche édifiante de l’inclassable cinéaste dont la vie, la pensée et la création artistique sont indissociables, et qui fit dun cinéma le prolongement naturel de sa passion pour la peinture.
Perdu dans les volutes de fumée de ses éternelles American Spirit, jouant avec sa fille de 4 ans, le grand homme, l’épaisse crinière blanche artistiquement décoiffée, l’œil fixé au-delà de ce que la conscience commune peut apprécier et mesurer, cherche idées, formes, rêves, accidents, failles, collures et illuminations (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Eu égard au culte dont il fait l'objet depuis quarante ans, David Lynch aurait pu crouler sous les portraits filmés. L'homme est heureusement discret et rechigne à s'auto-analyser. Ce qui rend ce documentaire, centré exclusivement sur sa carrière de peintre, encore plus précieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le film rend hommage à ce qu'est l'art de David Lynch, alors que son ambition était d'en percer le mystère. "The Art Life" reste avant tout une humble - et (trop) respectueuse - exploration.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le plus intéressant dans ce documentaire, ce sont ces séquences où Lynch travaille dans son atelier. On le sent absorbé. Et il est beau de le voir confronté à la matière, aux objets qui lui servent à composer, construire ses œuvres.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La dominante de ces images recoupe l’harmonie colorée des toiles de David Lynch, créant une continuité entre l’intime et la projection plastique, au diapason de ce que l’artiste proclame être sa vocation, "The Art Life". Où l’Art est en symbiose avec la vie.
Les deux réalisateurs, visiblement en admiration devant leur sujet, le subliment à l’écran tandis que ce dernier prend la main durant l’interview, gardant des zones de mystère impénétrable. Quand c’est déjà la fin, on se dit qu’on serait bien resté une heure de plus.
"The Art Life" ne prétend à aucun moment résoudre l’énigme des films par la biographie de leur auteur, mais se contente de retracer humblement le paysage psychosocial qui accompagne sa formation et permet ainsi de mieux appréhender sa démarche.
20 Minutes
Cet artiste énigmatique livre beaucoup de lui-même dans le documentaire mais il se referme soudain comme un coquillage après avoir commencé à se confier sur ses adieux au père d’un camarade. Le spectateur en sera réduit à imaginer ce qui a bien pu se passer pour le traumatiser à ce point et réveiller ce qu'il appelle son «côté sombre». Ce diable d’homme n’a pas fini d’intriguer.
Cahiers du Cinéma
Tous les amoureux du cinéma de David Lynch devraient voir ce documentaire où il se livre comme rarement.
L'Express
En off, la voix du réalisateur captive.
L'Obs
Lynch se montre dans sa maison des collines de Hollywood, ses trois maisons plus précisément, filmé dans son atelier de peintre (mais non dans sa somptueuse salle de projection, d’enregistrement, de mixage…), au travail, en réflexion, échangeant avec sa petite fille.
Le Figaro
David Lynch: The Art Life est empreint d'un charme presque nonchalant (...).
Les Fiches du Cinéma
Une approche édifiante de l’inclassable cinéaste dont la vie, la pensée et la création artistique sont indissociables, et qui fit dun cinéma le prolongement naturel de sa passion pour la peinture.
Libération
Perdu dans les volutes de fumée de ses éternelles American Spirit, jouant avec sa fille de 4 ans, le grand homme, l’épaisse crinière blanche artistiquement décoiffée, l’œil fixé au-delà de ce que la conscience commune peut apprécier et mesurer, cherche idées, formes, rêves, accidents, failles, collures et illuminations (...).
Télérama
Eu égard au culte dont il fait l'objet depuis quarante ans, David Lynch aurait pu crouler sous les portraits filmés. L'homme est heureusement discret et rechigne à s'auto-analyser. Ce qui rend ce documentaire, centré exclusivement sur sa carrière de peintre, encore plus précieux.
VSD
L'éducation artistique du cinéaste. ludique et passionnant.
aVoir-aLire.com
Un must pour tous les aficionados de Lynch et pour tous ceux qui sont attirés par le caractère fondamental de l’acte de création et de la poésie.
Critikat.com
Le film rend hommage à ce qu'est l'art de David Lynch, alors que son ambition était d'en percer le mystère. "The Art Life" reste avant tout une humble - et (trop) respectueuse - exploration.
Culturopoing.com
Le plus intéressant dans ce documentaire, ce sont ces séquences où Lynch travaille dans son atelier. On le sent absorbé. Et il est beau de le voir confronté à la matière, aux objets qui lui servent à composer, construire ses œuvres.
Franceinfo Culture
La dominante de ces images recoupe l’harmonie colorée des toiles de David Lynch, créant une continuité entre l’intime et la projection plastique, au diapason de ce que l’artiste proclame être sa vocation, "The Art Life". Où l’Art est en symbiose avec la vie.
La Voix du Nord
Pour la première fois, David Lynch se confie, dévoilant photos et films de famille. (...) Fascinant.
Le Journal du Dimanche
Les deux réalisateurs, visiblement en admiration devant leur sujet, le subliment à l’écran tandis que ce dernier prend la main durant l’interview, gardant des zones de mystère impénétrable. Quand c’est déjà la fin, on se dit qu’on serait bien resté une heure de plus.
Le Monde
"The Art Life" ne prétend à aucun moment résoudre l’énigme des films par la biographie de leur auteur, mais se contente de retracer humblement le paysage psychosocial qui accompagne sa formation et permet ainsi de mieux appréhender sa démarche.
Les Inrockuptibles
Ce documentaire explique [...] en partie la singularité d'une oeuvre qui, chose rare, ne doit pas grand-chose à la littérature, ni à la cinéphilie.
La Croix
Ce documentaire qui revient sur les jeunes années du cinéaste américain échoue à donner de l’épaisseur à son sujet.
Studio Ciné Live
Le résultat se veut arty, mais reste trop monocorde pour restituer les circonvolutions de la pensée lynchienne.