Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Ouest France
par Sylvestre Picard
Un des grands chocs cinéma de l'année.
Première
par Gaël Golhen
Silvio et les autres est peut-être l’un des plus beaux et des plus déchirants films du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] bouffonnerie géniale et glaçante autour de Silvio Berlusconi.
20 Minutes
par Caroline Vié
Silvio Berlusconi a pris les traits de l’acteur Toni Servillo. A moins que ce ne soit l’inverse. Dans Silvio et les autres , Paolo Sorrentino, le réalisateur deLa Grande Bellezza et Youth, brosse un portrait savoureux de l’ancien président du conseil et figure controversée de la politique italienne, qui démissionna en 2011.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Paolo Sorrentino est bien le nouveau représentant important du cinéma politique italien. Dix ans après Il Divo , satire sur Giulio Andreotti, alors inamovible président du Conseil italien, monstre horrifique au cynisme froid, il retrouve son acteur fétiche, Toni Servillo, pour le grimer cette fois en Silvio Berlusconi. Le portrait est sidérant.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Derrière les paillettes et l’érotisme bon marché, "Silvio et les autres" est aussi un film radical, tranchant. Un regard engagé sur une invraisemblable page d’histoire, qui n’épargne pas grand monde.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
[...] on en ressort gavé de cinéma, épaté et étonné par la singularité de point de vue d'un virtuose foutrement intelligent.
L'Obs
par Nicolas Schaller
POUR : Entre "Il Divo" et "la Grande Bellezza", "Silvio et les autres" est un opéra-bouffon, le film-somme d'un esthète de la vacuité contemporaine, foisonnant d'idées de mise en scène et nourri, hors champ, de tout ce que l'on sait de ce Cavaliere à la rieuse figure, qui a fait de l'Italie son Luna Park.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Paolo Sorrentino ne lésine ni dans l’excès, ni dans la vulgarité pour dresser le portrait aussi puissant que déroutant d’un Silvio Berlusconi intime, et mieux fustiger à travers lui l’état d’un pays qui l’a porté au pouvoir.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Une plongée esthétique et sulfureuse dans la vie de l'antipape de la vie politique italienne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Baptiste Roux
La meilleure invention de Sorrentino est d'avoir renoncé à la mise en scène d'idées au bénéfice d'un mimétisme formel qui emprunte son régime de figuration à la grammaire de la pornographie.
Télérama
par Anne Dessuant
POUR : Paolo Sorrentino signe un grand film politique, exagéré, trouble et terriblement lucide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un biopic décapant conforme au style flamboyant et à la tonalité politique du cinéma de Paolo Sorrentino. Du grand art !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Parisien
par La Rédaction
On peut trouver ce film vainement esthétisant, mais le jeu clownesque de Toni Servillo (qui campe Berlusconi) donne à cette farce visuellement splendide une profondeur presque philosophique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Sorrentino face à Berlusconi. La rencontre était attendue, inévitable, mais elle débouche sur une sorte de match nul : un film ni contre ni pour, ni vraiment réussi ni complètement raté, où les deux symboles du bling bling italien semblent se regarder en chiens de faïence.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Si Sorrentino ne manque ni d'humour corrosif ni d'inspiration dans ses trouvailles scénaristiques et visuelles, son film semble parfois si fasciné par les obsessions de son modèle qu'il qu'il en paraît presque "berlusconien" (...).
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Les lendemains sont difficiles ? C’est bel et bien le message, aussi douloureux soit-il au-delà d’une flamboyance cinématographique sans égal mais qui régale encore.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Voici
par Lola Sciamma
Une figure tragico-pathétique, dévoilée, dans ce faux biopic, à travers le regard "courtisans", avec le sens du baroque habituel du réalisateur de la Grande Bellezza et de Young Pope.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film s’attache très sérieusement à comprendre ce qui se cache sous le sourire impérissable du Cavaliere, par le truchement d’un portrait qui se veut nuancé et qui pourtant ne peut pleinement prétendre à la complexité, tant la mise en scène de Sorrentino s’articule autour d’une séduction qui n’est pas seulement l’objet du film mais aussi son moteur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Paolo Sorrentino déçoit avec une parabole grotesque et théâtrale adaptant le mythe de Sodome et Gomorrhe au temps de la télé-réalité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En condensant son histoire, Sorrentino ne permet pas à sa mise en scène, traditionnellement poétique, flamboyante et mélancolique, de se déployer.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Tel est pris qui croyait prendre : à jouer si sagement les bouffons du roi, le seul clown de cette boum apocalyptique est bien Sorrentino lui-même.
L'Obs
par François Forestier
CONTRE : Ce "Silvio" interminable, raconté avec des semelles de plomb, est un naufrage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Cécile Mury
CONTRE : Autant Paolo Sorrentino réussissait, dans La Grande Bellezza, à nous happer avec une Italie flambloyante et funèbre, autant il n’offre, cette fois, que la visite d’un monument vide, à la gloire de son propre désenchantement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Un des grands chocs cinéma de l'année.
Première
Silvio et les autres est peut-être l’un des plus beaux et des plus déchirants films du cinéaste.
Transfuge
[...] bouffonnerie géniale et glaçante autour de Silvio Berlusconi.
20 Minutes
Silvio Berlusconi a pris les traits de l’acteur Toni Servillo. A moins que ce ne soit l’inverse. Dans Silvio et les autres , Paolo Sorrentino, le réalisateur deLa Grande Bellezza et Youth, brosse un portrait savoureux de l’ancien président du conseil et figure controversée de la politique italienne, qui démissionna en 2011.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Paolo Sorrentino est bien le nouveau représentant important du cinéma politique italien. Dix ans après Il Divo , satire sur Giulio Andreotti, alors inamovible président du Conseil italien, monstre horrifique au cynisme froid, il retrouve son acteur fétiche, Toni Servillo, pour le grimer cette fois en Silvio Berlusconi. Le portrait est sidérant.
Franceinfo Culture
Derrière les paillettes et l’érotisme bon marché, "Silvio et les autres" est aussi un film radical, tranchant. Un regard engagé sur une invraisemblable page d’histoire, qui n’épargne pas grand monde.
L'Express
[...] on en ressort gavé de cinéma, épaté et étonné par la singularité de point de vue d'un virtuose foutrement intelligent.
L'Obs
POUR : Entre "Il Divo" et "la Grande Bellezza", "Silvio et les autres" est un opéra-bouffon, le film-somme d'un esthète de la vacuité contemporaine, foisonnant d'idées de mise en scène et nourri, hors champ, de tout ce que l'on sait de ce Cavaliere à la rieuse figure, qui a fait de l'Italie son Luna Park.
La Croix
Paolo Sorrentino ne lésine ni dans l’excès, ni dans la vulgarité pour dresser le portrait aussi puissant que déroutant d’un Silvio Berlusconi intime, et mieux fustiger à travers lui l’état d’un pays qui l’a porté au pouvoir.
Le Figaro
Une plongée esthétique et sulfureuse dans la vie de l'antipape de la vie politique italienne.
Positif
La meilleure invention de Sorrentino est d'avoir renoncé à la mise en scène d'idées au bénéfice d'un mimétisme formel qui emprunte son régime de figuration à la grammaire de la pornographie.
Télérama
POUR : Paolo Sorrentino signe un grand film politique, exagéré, trouble et terriblement lucide.
aVoir-aLire.com
Un biopic décapant conforme au style flamboyant et à la tonalité politique du cinéma de Paolo Sorrentino. Du grand art !
Le Parisien
On peut trouver ce film vainement esthétisant, mais le jeu clownesque de Toni Servillo (qui campe Berlusconi) donne à cette farce visuellement splendide une profondeur presque philosophique.
Les Fiches du Cinéma
Sorrentino face à Berlusconi. La rencontre était attendue, inévitable, mais elle débouche sur une sorte de match nul : un film ni contre ni pour, ni vraiment réussi ni complètement raté, où les deux symboles du bling bling italien semblent se regarder en chiens de faïence.
Marianne
Si Sorrentino ne manque ni d'humour corrosif ni d'inspiration dans ses trouvailles scénaristiques et visuelles, son film semble parfois si fasciné par les obsessions de son modèle qu'il qu'il en paraît presque "berlusconien" (...).
Rolling Stone
Les lendemains sont difficiles ? C’est bel et bien le message, aussi douloureux soit-il au-delà d’une flamboyance cinématographique sans égal mais qui régale encore.
Voici
Une figure tragico-pathétique, dévoilée, dans ce faux biopic, à travers le regard "courtisans", avec le sens du baroque habituel du réalisateur de la Grande Bellezza et de Young Pope.
Critikat.com
Le film s’attache très sérieusement à comprendre ce qui se cache sous le sourire impérissable du Cavaliere, par le truchement d’un portrait qui se veut nuancé et qui pourtant ne peut pleinement prétendre à la complexité, tant la mise en scène de Sorrentino s’articule autour d’une séduction qui n’est pas seulement l’objet du film mais aussi son moteur.
La Voix du Nord
Paolo Sorrentino déçoit avec une parabole grotesque et théâtrale adaptant le mythe de Sodome et Gomorrhe au temps de la télé-réalité.
Le Journal du Dimanche
En condensant son histoire, Sorrentino ne permet pas à sa mise en scène, traditionnellement poétique, flamboyante et mélancolique, de se déployer.
Cahiers du Cinéma
Tel est pris qui croyait prendre : à jouer si sagement les bouffons du roi, le seul clown de cette boum apocalyptique est bien Sorrentino lui-même.
L'Obs
CONTRE : Ce "Silvio" interminable, raconté avec des semelles de plomb, est un naufrage.
Télérama
CONTRE : Autant Paolo Sorrentino réussissait, dans La Grande Bellezza, à nous happer avec une Italie flambloyante et funèbre, autant il n’offre, cette fois, que la visite d’un monument vide, à la gloire de son propre désenchantement.