Derniers Avis sur Planet of the Sharks

Une production Syfy du film de requins, avec ce que cela implique : un scénar dystopique (la fonte des glaces a fait monter le niveau des mers, et les requins ont appris à communiquer entre eux avec leurs ampoules de Lorenzini - leurs "radars" électriques - pour mieux attraper les humains...), des costumes assez réussis (on sauve au moins ça), des personnages caricaturaux (que des belles gueules, sapés comme des hypsters et couvertures de magazines, qui jouent comme des quiches), et surtout des effets spéciaux numériques absolument atroces. Cela fait mal aux yeux et à la tête, dès l'ouverture, et cela dure jusqu'au final, n'espérez surtout pas une amélioration en cours de route. Les requins volent, communiquent avec leurs ampoules (ce qui est impossible, a-t-on besoin de le préciser ?), et on reste assez atterré devant le plan final pour les anéantir : spoiler: détourner le signal électrique du chef des requins
(non, ne dites rien, par pitié... Oui, ici les requins ont un chef. Ne posez pas de questions) pour le faire attaquer par ses subalternes. Mais ce n'est pas tout (restez assis), le plan capote, alors on en pond un autre, qui fonctionne à chaque fois dans les films d'action décérébrés : spoiler: tout faire exploser.
Et ça marche, encore. En revanche, on a zappé le plan de départ qui consistait à modifier le CO2 pour faire baisser le niveau de l'eau (ne posez pas de questions, again)... Ce Planet of the sharks est un film qui balance ses idées stupides comme ses requins dans les airs, sans trop penser à être fun, ce qui est franchement dommage, car on en arrive vite à regretter les productions régressives comme les Sharknado et autre "versus Méga Shark, Sharktopus, Crocoshark...", qui assument leur côté divertissant par la débilité. Ici c'est bête, mais pas amusant. Et moche, n'oublions pas, c'est très moche.

Merveilleux un film avec du

Suspense du début à la fin

Des effets spéciaux digne du dernier avengers

J'adore

Le graphisme et les effets spéciaux sont pourri on a l'impression que le film est au ralenti du début a la fin bref on a connu mieux film

Mais vous êtes sérieux cest quoi ce film de mer**....les actions sont lente ça monte ca monte puis ca stagne et ça descend et ça remonte et ça redescend...pouuuuu une nullité sans fond....le héros a le courage d'une huitre...vous parlez de nanar...nanar pour moi cest sharknado la c'est un très gros navet bien pou***....

L'action se déroule dans un futur proche où la fonte des glaces a provoqué la submersion de la quasi totalité de la surface de la Terre et où les requins se sont donc multipliés pour finalement dominés la planète. Voilà pour l'histoire plutôt attrayante de ce téléfilm qui peut se voir comme étant un mélange de "Waterworld" et du "Peur Bleue" de Renny Harlin. Le mélange de science-fiction, d'horreur et du cinéma d'action pouvait donc laisser présager d'un bon petit film, mais malheureusement, comme nous sommes en présence d'un production The Asylum, il y a manque évident de budget et cela se ressent sur les effets spéciaux comme au niveau de la mise en scène de Mark Atkins qui s'avère bien trop académique, notamment en ce qui concerne les attaques des requins. Le casting est en plus et évidemment assez médiocre, mais bizarrement on ne s'ennuie jamais devant "La Planète des Requins" et cela est certainement dû à la présence d'une bonne dose d'humour et d'action.

Mark Atkins, pointure du nanar, nous livre ici un énième film de monstre, et c’est encore un gros nanar, cependant pris très au sérieux, ce qui explique ma note très basse.
Non parce que sur le plan comique Planet of the sharks est un film de haute volée ! Répliques débilitantes, explications scientifiques toujours plus aberrantes, attaques de requins d’une médiocrité affligeante (sauf la première), situations d’un ridicule rare (kitesurfers de la planète prenait en de la graine), La Planète des requins distille en plus son message écologique avec une telle naïveté que s’en est réellement très drôle ! S’insinuant depuis Ice Sharks dans la veine du nanar monstrueux écolo, il y a pas à dire, The Asylum en ce moment envoie du lourd, du très très lourd !
Côté casting c’est non moins affligeant. Les personnages sont en carton, les dialogues sont nazes à souhait, le charisme n’est pas ce qui a effleuré nos héros (il faut savoir qu’ils vivent au milieu de la mer mais qu’ils sont cradingues à souhait, je n’ai pas compris !). Brandon Auret est le seul qui, à l’écran, parvient à peu près (pas plus !) à tirer son épingle du jeu, mais bon, c’est tout de même très bas comme niveau. Et le summum de l’écriture foireuse revient au personnage de cette jeune fille noire (connait pas le nom de l’actrice) qui passe tout le film comme pot-de-fleur ! Si, si, vous doutez mais non, elle est réellement un pot-de-fleur !
Sur la forme que dire : on est censé être au milieu de l’océan mais le film a été tourné sur la plage (je crois même que sur un plan on voit des surfers s’amuser en arrière-plan) ; les décors, accessoires et figurants sont minimalistes ; les effets spéciaux sont d’une médiocrité habituelle ; la mise en scène signée du grand Atkins est à la hauteur de la réputation du maître ! La Planète des requins est donc un nanar raté à souhait, comme on les aime car, même s’il se prend au sérieux et que cela m’oblige donc à envisager ma note comme celle d’un film d’horreur et non un film comique, il est d’une grande drôlerie et au moins on ne s’ennuie pas. Là-dessus, point favorable, un des très rares, il y a de l’action.
Je donne donc un 0.5 malheureusement mérité, mais cela ne doit pas, si vous êtes amateur de nanar, vous empêchez de vous lancer dans le visionnage, car ce film reste très drôle.