Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Le réalisme de Midi Z, plus profond voire abstrait, n’est pas incompatible avec la stylisation. Il s’appuie sur une caméra placide, des plans qui durent, et surtout une sécheresse narrative peu commune.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Séverine Danflous
Malgré le sujet, Midi Z fuit le misérabilisme en filmant des trajets, plus précisément des trajectoires humaines (...) accordant aux personnages le temps d'avancer, au spectateur de les suivre, le temps d'apprécier toute la distance à parcourir pour endosser de nouveau des contours humains, ne pas se laisser avaler par l'environnement hostile.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Midi Z parvient à faire tenir en équilibre de bout en bout cette triangulaire autour de l’immigration, de la mondialisation et de la déshumanisation pour mieux porter au pinacle sa dénonciation de l’épuisement de corps encore palpitants.
Libération
par Didier Péron
La lente brûlure du film est comme la résurgence inespérée de ce qui fit les grandes heures de la nouvelle vague taïwanaise des années 80 et 90.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Le réalisme n'est pourtant qu'un aspect de ce beau film, calme et maîtrisé, discrètement romanesque et ouvertement tragique. Il s'agit, avant tout, de l'imbrication fatale entre le destin commun des clandestins et une histoire d'amour particulière.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Toute l’urgence de la détresse humaine dans les lenteurs amniotique d’un cinéma asiatique qui fascine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Midi Z a acquis une maturité de style qui laisse poindre l’émotion avec délicatesse (…). On lui reprochera d’autant plus un virage final très artificiel, sorte de coup de force digne d’un mauvais court métrage.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une quête à rebondissements, mais pas spectaculaire. Ce qui convainc le plus, c’est la facture documentaire du film, notamment ce qui concerne les séquences dans une usine (textile), remarquablement observées.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
"Adieu Mandalay" file droit comme son héroïne. Admirablement filmé, il traite son sujet sans apitoiement, avec lucidité, pudeur et une certaine monotonie que viennent briser, ici une allégorie cauchemardesque, là une percée de violence, aux vertus vénéneuses.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
"Adieu Mandalay" doit sa réussite à une mise en scène délicate, à ses belles images sobres, à son propos subtil sur cette quête de liberté qui peut se muer en un empêchement plus redoutable que celui que l’on fuit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Un drame social à la Dardenne qui finit en tragédie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le jeune cinéaste Midi Z décrit avec une colère froide la passion asymétrique de deux travailleurs immigrés.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Midi Z observe avec finesse l’angoissante précarité du déracinement, par la circulation de l’argent et des corps. En revanche, les métaphores de la seconde partie sont loin de convaincre.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Recherche lancinante et ingrate, qui réduit d’autant les épiphanies potentielles d’un film dans la droite ligne d’un cinéma chinois très contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
Le réalisme de Midi Z, plus profond voire abstrait, n’est pas incompatible avec la stylisation. Il s’appuie sur une caméra placide, des plans qui durent, et surtout une sécheresse narrative peu commune.
Culturopoing.com
Malgré le sujet, Midi Z fuit le misérabilisme en filmant des trajets, plus précisément des trajectoires humaines (...) accordant aux personnages le temps d'avancer, au spectateur de les suivre, le temps d'apprécier toute la distance à parcourir pour endosser de nouveau des contours humains, ne pas se laisser avaler par l'environnement hostile.
La Septième Obsession
Midi Z parvient à faire tenir en équilibre de bout en bout cette triangulaire autour de l’immigration, de la mondialisation et de la déshumanisation pour mieux porter au pinacle sa dénonciation de l’épuisement de corps encore palpitants.
Libération
La lente brûlure du film est comme la résurgence inespérée de ce qui fit les grandes heures de la nouvelle vague taïwanaise des années 80 et 90.
Télérama
Le réalisme n'est pourtant qu'un aspect de ce beau film, calme et maîtrisé, discrètement romanesque et ouvertement tragique. Il s'agit, avant tout, de l'imbrication fatale entre le destin commun des clandestins et une histoire d'amour particulière.
aVoir-aLire.com
Toute l’urgence de la détresse humaine dans les lenteurs amniotique d’un cinéma asiatique qui fascine.
Cahiers du Cinéma
Midi Z a acquis une maturité de style qui laisse poindre l’émotion avec délicatesse (…). On lui reprochera d’autant plus un virage final très artificiel, sorte de coup de force digne d’un mauvais court métrage.
L'Humanité
Une quête à rebondissements, mais pas spectaculaire. Ce qui convainc le plus, c’est la facture documentaire du film, notamment ce qui concerne les séquences dans une usine (textile), remarquablement observées.
L'Obs
"Adieu Mandalay" file droit comme son héroïne. Admirablement filmé, il traite son sujet sans apitoiement, avec lucidité, pudeur et une certaine monotonie que viennent briser, ici une allégorie cauchemardesque, là une percée de violence, aux vertus vénéneuses.
La Croix
"Adieu Mandalay" doit sa réussite à une mise en scène délicate, à ses belles images sobres, à son propos subtil sur cette quête de liberté qui peut se muer en un empêchement plus redoutable que celui que l’on fuit.
Le Figaro
Un drame social à la Dardenne qui finit en tragédie.
Le Monde
Le jeune cinéaste Midi Z décrit avec une colère froide la passion asymétrique de deux travailleurs immigrés.
Les Fiches du Cinéma
Midi Z observe avec finesse l’angoissante précarité du déracinement, par la circulation de l’argent et des corps. En revanche, les métaphores de la seconde partie sont loin de convaincre.
Les Inrockuptibles
Recherche lancinante et ingrate, qui réduit d’autant les épiphanies potentielles d’un film dans la droite ligne d’un cinéma chinois très contemporain.