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    Love Hunters
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    123 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 août 2017
    Impressionnant par sa violence psychologique, magnifiquement filmé avec une tension constamment présente, des acteurs remarquable, belle claque ce film !
    Reivilo T.
    Reivilo T.

    2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2018
    film malsain mais savamment réalisé ,les acteurs sont très bons et on se sent parfois un peu honteux d’être spectateur de ce genre de spectacle ..;
    le but du cinéma est bien de ressentir des émotions ,pari réussi!..
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    136 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 mars 2018
    Dans le genre amour malsain le film se pose là, les acteurs sont excellents et l'histoire est surtout psychologique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 septembre 2018
    Explorant les tréfonds de l’âme humaine, "Love hunters" nous livre une immersion psychologique réussie aussi bien du côté de la victime que de celui du couple de ravisseurs. Dans cette ambiance pesante, les trois acteurs se donnent la réplique avec justesse et nuances.

    Appuyés par une mise en scène et une esthétique sensuelles, les choix de plans du réalisateur australien, qui décide de ne pas virer dans l’horreur en montrant tout, servent la tension du film. Ben Young se joue de l’ambiance et du suspense avec une maitrise rare pour un premier film.

    Retrouvez de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress

    A la fois brutal et esthétique, "Love hunters" est une immersion cruelle et tendue dans une banlieue chic australienne. Un film qui fait froid dans le dos, d’une force et d’une maitrise incontestables.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mars 2018
    oh la la quand on dit qu’il ne faut jamais montée avec des inconnus :( malheureusement on pense couple = no danger .... bon film, bon la fin pas top , ce que je n’ai pas apprécier , pas d’histoire on ne sais pas pourquoi ils font sa , pourquoi elle na pas ces enfants , c’est un vrai huit clos à voir
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 168 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 juillet 2021
    Le cinéma australien livre régulièrement des films percutants qui dynamitent allégrement et avec bonheur le genre qu’ils empruntent. « Love Serenade » ( Shirley Barrett en 1996), « Alexandra’s Project » (Rolf de Heer en 2003) , « La proposition » (John Hillcoat en 2005), « Chopper » (Andrew Domink en 2006), « Wolf Creek » (Greg MacLean en 2006) ou encore « Animal Kingdom » (David Michod en 2010), ont tous eu la bonne idée de surprendre le spectateur. Ce qui de nos jours n’est pas si fréquent. « Love hunters », premier film de Ben Young sorti en 2016, démontre que la veine ne s’est heureusement pas encore tarie. Dans une banlieue de Perth, ville réputée pour sa douceur de vivre et la qualité de ses infrastructures parfaitement intégrées à l’environnement, un couple de paumés, la tête enfouie dans la dépendance à la drogue et à l’alcool, kidnappe des jeunes filles pour en faire leur objet sexuel le temps d’un long week-end avant de les trucider puis de les enterrer dans le bush où personne ne les retrouvera. La jeune Vicky (Ashleigh Cummings) dont les parents vivent un divorce douloureux a le malheur de croiser leur route alors qu’elle se rend chez une amie. Le film scénarisé par Ben Young qui réalise son premier long métrage est inspiré d’un fait réel ayant marqué la ville de Perth en 1986. Cette référence assez explicite a d’ailleurs posé problèmes à la production et au réalisateur qui se sont vus reprocher de remuer une affaire douloureuse dont la seule victime rescapée était encore en reconstruction de son traumatisme. Après des démentis plus ou moins convaincants, le film a enfin pu se frayer un parcours méritoire dans les festivals. Sans avoir recours aux effets chocs habituels de ce type de production, Ben Young observe avec minutie les relations qui se nouent au sein d’un trio où la victime comprend vite que sa seule chance de survie sera de jouer sur le point de discorde qui mine son couple de tortionnaires. En effet la femme interprétée par une formidable Emma Booth, sans doute victime de violences sexuelles dans son enfance, oscille constamment entre la culpabilité vis-à-vis de ses enfants d’un premier mariage dont le droit de visite lui a été retiré et sa relation toxique avec sa toute petite frappe de compagnon (très convaincant Stephen Curry) qui a tout compris de ses blessures intimes pour la manipuler à sa guise. Point central d’un jeu infernal, la femme comme souvent dans les couples de serial killer (on pense bien sûr au couple Fourniret pour la France) constitue un mystère qui facilite le passage à l’acte de son compagnon, alternant entre attitude passive et directement active. C’est cette étrangeté que revêt parfois la nature féminine normalement non violente que dépeint avec justesse Ben Young sans bien sûr avoir cherché à en expliquer les ressorts. Le spectateur s’intéressera bien sûr au suspense habilement construit autour du sort réservé à la jeune fille par le scénario mais il sera surtout fasciné par l’alchimie malsaine qui unit un couple dont on se dit qu’il n’aurait jamais dû se former tout en sachant que malheureusement le hasard fait souvent s’entrecroiser des névroses dont le mélange est rapidement destructeur. Encore une fois donc, le cinéma venu des antipodes décongèle les canons d’un genre plutôt balisé.
    moket
    moket

    523 abonnés 4 323 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2018
    Un thriller brutal et poisseux qui sort des sentiers balisés en s'attardant principalement sur la psychologie des bourreaux. Un suspense finalement plutôt vain qui cause plus d'ennui qu'autre chose tant la situation reste figée.
    Hotinhere
    Hotinhere

    547 abonnés 4 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2018
    Un couple de tueurs en série face à leur jeune proie dans l’Australie profonde. Un huit clos poisseux au réalisme glaçant, brillamment mis en scène et bien interprété.
    kibruk
    kibruk

    144 abonnés 2 542 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2022
    J'ai eu peur de me retrouver devant un vulgaire torture porn mais il n'en est rien. A l'instar d'un "Room", le film sait ne pas tomber dans le trash et le sordide racoleur, il joue en permanence avec le hors champ même si les scènes fortes et éprouvantes sont nombreuses. Mais la grande réussite et originalité de "Love hunters" réside dans son couple d'assassins, dans leur psychologie et leurs relations très particulières, campé par deux acteurs formidables. A tout cela on ajoute une réalisation de très bonne facture, ce qui fait de "Love hunters" un très bon film.
    Zoumir
    Zoumir

    67 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2020
    Cette introduction au ralenti sur ces sportives anonymes. Ce temps presque figé sur les corps en gros plan, sur les poitrines, sur les cuisses, les fesses, mais jamais les visages. Cet habile prise d'otage de l'œil du spectateur qui ne sait pas dans quoi il s'embarque mais qui déjà se sent perverti, voyeur insoupçonnable, prédateur à l'affut;

    J'étais pas prêt.

    Ces quelques minutes qui frôlent la perfection. Une jeune fille qui s'engouffre dans une voiture pour ne pas rentrer à pied sous un soleil de plomb. Une autre adolescente, Vicki, affectée par le récent divorce de ses parents. Un couple amoureux et des images telles des indices qui nous suggèrent doucement ce qu'on avait ressenti quelques minutes plus tôt;

    J'étais pas prêt.

    L'atmosphère est installée. Même la nuit est de plomb. Ce qu'on imagine va arriver. Une nouvelle proie. Un siège auto pour voir le piège se refermer. Tu ne sortiras pas ce soir ma fille. Les dès sont jetés. Et arrivent les cris;

    J'étais pas prêt.

    Ben Young jouent avec la profondeur et les hors-champ. Ce n'est pas l'image qui nous glace le sang mais le son. La détresse de Vicki est palpable. Elle est vocale. Ashleigh Cummings se débat, se résigne et se disloque. Evelyn est prise au piège d'un amour auquel nous ne pouvons pas nous identifier. Emma Booth se débat en silence, se résigne et se disloque. L'emprise physique et psychologique de John, détestable Stephen Curry, est au centre de ce trio éphémère qui se terminera par un voyage dans un forêt de conifères;

    J'étais pas prêt.

    Love Hunters frôle la perfection pendant une grande partie de ce huit-clos d'une désespérance absolue. Le malaise latent de cette situation perverse, l'indiscutable destin de Vicki, le monde qui continue de tourner sans se douter de ce qu'il se passe derrière ses murs, là, à à peine quelques mètres. Cette proximité inatteignable;

    J'étais pas prêt.

    Le piège est total. Il est froid, malsain et sans apparat. La caméra détourne le regard et suggère la force destructrice de ce qu'on ne peut imaginer subir. Rien ne bouge. Il se passe si peu de temps et pourtant tellement de choses. Ne vous inquiétez pas. Attendez lundi.

    J'étais pas prêt.

    Je n'étais pas prêt pour un tel film. J'ai subi. J'ai espéré et je me suis résigné. J'ai espéré le meilleur, je me suis résigné au pire, où peut être l'inverse. J'aurais peut-être aimé que toute la force, toute l'horreur qui m'avait agrippé fermement à peine une heure et demie plus tôt ne me lâche jamais, j'aurais aimé finir cette épreuve comme j'y suis entré, en marchant sur les pas d'une perfection morbide. Le générique de fin est arrivé. J'ai éteint. Je suis allé me coucher, abasourdi. J'ai attendu le sommeil, longtemps malgré l'heure tardive.

    J'étais pas prêt.
    Roub E.
    Roub E.

    947 abonnés 4 988 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2022
    Love Hunters est un thriller australien qui nous propose de suivre l’itinéraire d’un couple de tueurs en série dans une banlieue pavillonnaire. Glauque et poisseux, le film va plus se pencher sur la psychologie de ses personnages que sur la volonté de faire de l’image trash et ne perd pas pour autant sa force évocatrice. Le phénomène d’emprise est au cœur du film et pour l’illustrer Emma Booth fait des merveilles avec un personnage complexe qui lui permet de faire preuve d’une palette de jeu impressionnante. La mise en scène est remarquable, très recherchée sans pour autant être maniérée elle nous montre des tueurs à l’opposé d’un Hannibal Lecter et qui n’en sont pas moins effrayants pour autant car très humains dans leur côté abject.
    Sildenafil
    Sildenafil

    76 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2018
    Je ne saurai dire avec précision ce qui m'a manqué dans ce film. Peut-être le trop plein de psychologisme. Ou bien le fait de ne pas assumer l'horreur jusqu'au bout.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juillet 2018
    "Love hunters" est film sur l'enlèvement d'une étudiante sans apporter grand chose de neuf dans le genre. On appréciera néanmoins le réalisme du scénario loin des clichés américain.
    Catherine V.
    Catherine V.

    56 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2018
    Sur l'affiche on peut lire "un suspense total" et comme si ça ne suffisait pas dans l'exagération , il est ajouté "un thriller proche de la perfection". Rien que ça....

    Je ne pense pas être devenue, au fil des années, complètement blasée, désabusée et hermétique à tout mais après avoir vu ce prétendu "thriller proche de la perfection", alors que je voulais voir simplement un bon "thriller", j'ai l'impression surtout d'avoir été quelque peu dupée car ce "thriller", c'est surtout pour moi un énième biopic du genre. Je précise que je n'avais rien voulu lire sur le film avant de l'avoir vu.

    En effet, comme "Les crimes de Snowtown" de Justin Kurzel était un film australien retraçant l'histoire de John Buntin, "Love Hunters" semble retracer d'assez près (euphémisme) l'histoire du couple que formèrent dans les années 1980 David et Catherine Birnie en Australie (à l'exception de la fin du film qui me semble être le seul moment de "libre adaptation" de l'affaire).

    La mère du réalisateur Ben Young est auteur de romans policiers. Comme il l'a dit lui même, elle lui a souvent fait lire des livres parlant d'authentiques affaires criminelles (dont elle s'est inspirée pour ses propres romans).

    Ben Young a développé ainsi son intérêt non pas pour les tueurs en série mais pour les femmes meurtrières qui, elles, en arrivent à des "passages à l'acte" monstrueux pour "des raisons bien plus complexes que les hommes".

    Il a voulu réaliser avec "Love Hunters" un thriller avant tout psychologique, pour "démontrer" essentiellement jusqu'où la dépendance amoureuse toxique (dix fois plus que fusionnelle) peut conduire des femmes qui sont plus encore sous domination que sous "seulement" influence.

    L'analyse de la psychologie des personnages, surtout celui d'Evelyn , je conviens qu'elle aurait pu être intéressante, en effet, au sens littéral du terme et ce sans essayer de jouer les experts psychiatres en criminologie.

    Toutefois, si Ben Young voulait, à en croire ses interviews, surtout exposer la complexité ô combien "trouble" d'Evelyn, et si le spectateur comprend l'ambivalence de cette femme, certes "bien cinglée" mais beaucoup moins que son compagnon (ce que Vicky va elle même vite piger et dont elle va profiter aussi) il ressort que du film, cependant, beaucoup de spectateurs ne retiendront que les scènes visant à les mettre mal à l'aise, de manière même "insoutenable" pour certains alors que la caméra, elle, ne filme rien qui pourrait faire cataloguer le film dans la catégorie "horreur" (surtout quand on le compare à d'autres).

    Il est vrai que ce qui n'est que suggéré est souvent bien plus efficace pour incommoder et troubler le spectateur que ce qui est justement filmé.

    Or, et c'est bien ce qui m'a le plus dérangée, fut que ce réalisateur qui n'a pas voulu d' images choquantes (aucune outrance macabre) pour que son film ne soit surtout pas catalogué dans les films d'horreur a tellement abusé des hurlements (même en hors-champ) que le résultat fut finalement "pire", je crois, pour bon nombre de spectateurs.

    La preuve en est que les spectateurs (du moins pour beaucoup d'entre eux) ont écrit que "Love Hunters" les avait "perturbés", "oppressés", même stressés.

    J'ai trouvé l'ensemble "bancal", avec, en plus, des ralentis à outrance qui m'ont agacée plus qu'autre chose.

    Bref, le résultat de l'ensemble donne, en gros, une réalisation plutôt appréciée par certains ou alors carrément qualifiée d'indigne et de méprisable par d'autres. Une fois de plus, les goûts et les couleurs.

    Mes quatre étoiles sont pour l'interprétation des acteurs. A ce niveau là, je ne trouve rien à critiquer.

    Stephen Curry dans le rôle de John s'en sort vraiment bien et interprète de manière très juste cet homme à l'apparence plus que banale en proie à des démons incontrôlables.

    C'est le jeu de la jolie blonde Emma Booth, que j'avais dernièrement vue dans la série "Glitch", cette fois-ci dans le rôle de la brune Evelyn que j'ai trouvé absolument bluffant. Elle figure à nouveau au casting du dernier film de Ben Young, à savoir "Extinction".

    Ashleigh Cummings, quant à elle, m'a d'autant plus surprise en interprétant de manière convaincante le personnage de Vicki qu'elle restait uniquement pour moi la douce et gentille "Dorothy "Dot" Williams, la dame de compagnie (et amie) de Miss Fisher dans la série australienne "Miss Fisher enquête".

    Pas un film ni médiocre ni bien sûr totalement insignifiant mais trop "inégal" pour m'avoir séduite.
    Gregory S
    Gregory S

    26 abonnés 575 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 septembre 2018
    petit film malsain intelligent, avec du suspense et une excellente bande son. Les amateurs du genre ne seront pas déçus, en revanche méfiez-vous ce n'est pas du tout un film d'horreur ou d'épouvante.
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