Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Positif
par Bernard Génin
Aidé par une interprétation hors pair, le cinéaste joue constamment avec nos nerfs. Bien malin qui devinera l'issue du cauchemar que vit la captive !
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Une plongée dans la psyché de deux meurtriers, dont on ressort secoués.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
La puissance avec laquelle les jeunes réalisateurs Australiens auscultent les marges d'une société toujours au bord de l'abîme fascine toujours autant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un thriller d’atmosphère, qui instaure un climat malsain et qui joue avec les nerfs : ça fonctionne plutôt bien, même si ça s’étire un peu.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Emma Booth, qui campait déjà à merveille l'héroïne zombie de la série australienne « Glitch », incarne Evelyn de façon sidérante, retournant l'estomac et le cerveau du spectateur avant de lui coller de sacrés doutes. Une performance exceptionnelle, pour un film très fort.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Marcos Uzal
Kidnapping middle class ingénieux et troublant signé Ben Young, apprenti Lynch australien.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
Allez, hop, encore un jeune cinéaste australien à ne pas perdre de vue !
Première
par Sylvestre Picard
(...) un étouffant huis clos au ralenti, qui étire désespérement la violence de sa situation jusqu'à l'explosion.
Rolling Stone
par X.B.
Kidnapping d'adolescente, soumission, emprise psychologique, viol, le thriller de Ben Young ne nous épargne rien, aussi insoutenable dans ce qu'il dénonce que fascinant dans la narration qu'il en fait.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
POUR : "Love Hunters" réussit à foutre la trouille (...). Il joue habilement avec les sons, privilégie les lents mouvements de caméra aux rythmes speedés - comme trop souvent dans le genre. Chapeau !
Télé 2 semaines
par E.L.
Un huis clos brutal et palpitant.
Télérama
par Jérémie Couston
Si le thriller reste captivant de bout en bout, c'est pour son approche intrigante du couple de tueurs en série. Et pour le jeu tout en nuances de ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Nicolas Bonnes
Un thriller australien prenant qui se démarque du tout-venant en privilégiant la psychologie des personnages.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Ce refus de la grandiloquence et la ligne claire de sa mise en scène donnent de bonnes raisons de garder un œil sur Ben Young.
Critikat.com
par Juliette Goffart
Un mélange efficace entre thriller au réalisme poisseux et mélodrame conjugal.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
D’un réalisme souvent sordide, il constitue une plongée des plus douloureuses dans l’intimité de l’amour meurtrier.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On retrouve la radicalité qui caractérise les films d’horreur venus d’Australie, comme "Wolf Creek", de Greg McLean (2005). Un survival sadique, qui joue habilement avec les nerfs du spectateur.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoareau
Sous ses airs de thriller psychologique, le premier long métrage de Ben Young dresse le tableau d’un amour destructeur et meurtrier, chargé en séquences fortes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ben Young a un talent fou de mise en scène, une manière virtuose de faire monter la tension sexuelle et psychologique. On peut douter, en revanche, de la finalité de son thriller, qui fait lourdement mine de confronter les failles affectives de deux femmes, l’une victime, l’autre bourreau, mais s’attache surtout à faire du sadisme de son couple de tueurs libidineux le moteur d’un suspense insoutenable et vain.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
S’inspirant de multiples cas réels sans vraiment se référer à aucun, le débutant Ben Young réussit à instaurer un climat tour à tour poisseux et envoûtant, grâce à une mise en scène ample quoique un peu clinquante par endroits. (..) Hélas, il achoppe sur ce qui pourtant l’occupe le plus : la psychologie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
CONTRE : Peine perdue : le spectateur reste prisonnier de son ennui jusqu'au bout.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Beaucoup de chichis stylistiques pour un thriller rase-mottes, notamment des ralentis d’une lenteur étonnante. Une recherche visuelle et une reconstitution rétro qui masquent une banalité complaisante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
Aidé par une interprétation hors pair, le cinéaste joue constamment avec nos nerfs. Bien malin qui devinera l'issue du cauchemar que vit la captive !
CinemaTeaser
Une plongée dans la psyché de deux meurtriers, dont on ressort secoués.
Ecran Large
La puissance avec laquelle les jeunes réalisateurs Australiens auscultent les marges d'une société toujours au bord de l'abîme fascine toujours autant.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller d’atmosphère, qui instaure un climat malsain et qui joue avec les nerfs : ça fonctionne plutôt bien, même si ça s’étire un peu.
Le Parisien
Emma Booth, qui campait déjà à merveille l'héroïne zombie de la série australienne « Glitch », incarne Evelyn de façon sidérante, retournant l'estomac et le cerveau du spectateur avant de lui coller de sacrés doutes. Une performance exceptionnelle, pour un film très fort.
Libération
Kidnapping middle class ingénieux et troublant signé Ben Young, apprenti Lynch australien.
Mad Movies
Allez, hop, encore un jeune cinéaste australien à ne pas perdre de vue !
Première
(...) un étouffant huis clos au ralenti, qui étire désespérement la violence de sa situation jusqu'à l'explosion.
Rolling Stone
Kidnapping d'adolescente, soumission, emprise psychologique, viol, le thriller de Ben Young ne nous épargne rien, aussi insoutenable dans ce qu'il dénonce que fascinant dans la narration qu'il en fait.
Studio Ciné Live
POUR : "Love Hunters" réussit à foutre la trouille (...). Il joue habilement avec les sons, privilégie les lents mouvements de caméra aux rythmes speedés - comme trop souvent dans le genre. Chapeau !
Télé 2 semaines
Un huis clos brutal et palpitant.
Télérama
Si le thriller reste captivant de bout en bout, c'est pour son approche intrigante du couple de tueurs en série. Et pour le jeu tout en nuances de ses interprètes.
aVoir-aLire.com
Un thriller australien prenant qui se démarque du tout-venant en privilégiant la psychologie des personnages.
Cahiers du Cinéma
Ce refus de la grandiloquence et la ligne claire de sa mise en scène donnent de bonnes raisons de garder un œil sur Ben Young.
Critikat.com
Un mélange efficace entre thriller au réalisme poisseux et mélodrame conjugal.
La Septième Obsession
D’un réalisme souvent sordide, il constitue une plongée des plus douloureuses dans l’intimité de l’amour meurtrier.
Le Journal du Dimanche
On retrouve la radicalité qui caractérise les films d’horreur venus d’Australie, comme "Wolf Creek", de Greg McLean (2005). Un survival sadique, qui joue habilement avec les nerfs du spectateur.
Les Fiches du Cinéma
Sous ses airs de thriller psychologique, le premier long métrage de Ben Young dresse le tableau d’un amour destructeur et meurtrier, chargé en séquences fortes.
L'Obs
Ben Young a un talent fou de mise en scène, une manière virtuose de faire monter la tension sexuelle et psychologique. On peut douter, en revanche, de la finalité de son thriller, qui fait lourdement mine de confronter les failles affectives de deux femmes, l’une victime, l’autre bourreau, mais s’attache surtout à faire du sadisme de son couple de tueurs libidineux le moteur d’un suspense insoutenable et vain.
Les Inrockuptibles
S’inspirant de multiples cas réels sans vraiment se référer à aucun, le débutant Ben Young réussit à instaurer un climat tour à tour poisseux et envoûtant, grâce à une mise en scène ample quoique un peu clinquante par endroits. (..) Hélas, il achoppe sur ce qui pourtant l’occupe le plus : la psychologie.
Studio Ciné Live
CONTRE : Peine perdue : le spectateur reste prisonnier de son ennui jusqu'au bout.
L'Humanité
Beaucoup de chichis stylistiques pour un thriller rase-mottes, notamment des ralentis d’une lenteur étonnante. Une recherche visuelle et une reconstitution rétro qui masquent une banalité complaisante.