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Ykarpathakis157
4 541 abonnés
18 103 critiques
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0,5
Publiée le 15 avril 2020
J'ai remarqué à la fin que le film était tiré d'un livre. Je ne peux que supposer que le livre avait beaucoup de développement de personnage et qu'il vaut bien la peine de traiter d'un sujet aussi déprimant. Il y a de bonnes performances d'acteur dans ce film et il est bien tourné. Il y a de vrais moments brutaux à l'écran mais parce qu'il n'y a pas de développement de personnage ce n'est pas crédible dans le contexte du film. Nous sommes transportés dans la vie de ces gens, des choses choquantes se produisent mais il y a un réel manque de crédibilité parce que nous n'avons aucune idée de qui sont ces gens. Dans les films j'aime savoir à qui j'ai a faire...
Mauvais. Le personnage du psycho boy est intéressant mais pas suffisamment approfondi. C'est long, des scènes de violence ça et là pour meubler... Je n'ai pas aimé
Portrait de l'Amérique profonde white trash déguisé en série B d'action, le film étonne par sa consistance sociale, la radicalité de ses personnages et son style cru! L'ensemble est suffisamment bien emballé et interprété (Grillo est excellent!) pour devenir quasi magnétique et envoûtant! Bonne surprise!
Film radical, sans concession, qui emprunte notamment à Scorsese et Fincher, mais qui parvient à se créer sa propre identité. Frank Grillo et Jamie Bell sont impériaux, et leur opposition dantesque.
Mettant en scène l'envers du décor du rêve américain, dans l'Amérique profonde, celle des laissés pour compte, Donnybrook bénéficie de belles compositions de la part de Jamie Bell ou encore Frank Grillo. Certaines scènes sont d'une grande violence mais cela ne suffit pas à compenser le manque de rythme et des personnages aux motivations floues ou qui auraient pu être plus fouillés.
Le film est sombre, brutal, glaçant, avec des personnages ayant chacun leur dérive malsaine. Malheureusement ça manque de rythme et fini par être ennuyant .. Toutefois la réalisation est vraiment intéressante et je pense que Tim Sutton est un réalisateur à suivre !
Alors film violent voire même dérangeant par certains aspect. Duel entre un psychopathe et un paumé qui souhaites changer sa vie et celle de sa famille! Bonne interprétation des acteurs.
Entre road trip et film choral, Donnybrook est un film bien construit. L’ambiance y est pesante, sombre, violente, créant chez nous la même envie de s’en échapper que chez son personnage principal. On y reprochera le manque de consistance, voir d’intérêt de certains axes narratifs. Comme par exemple le flic véreux dont le lien et l’apport dans l’histoire est loin d’être évident.
Jamie Bell nous met un bel uppercut. Un père de famille pauvre, ex-Marine délaissé du système, se rend à un concours de boxe ultra-violente dont le vainqueur remporte une belle somme, mué par le désespoir et la colère des gens qui ont été abandonnés par une société ingrate. Donnybrook mêle agréablement toute la violence de son discours (symbolique avec les inégalités sociales, et réel avec ses matches de boxes) à une tendresse émouvante avec ce brave père qui se damnerait par amour de ses enfants (les scènes de complicité en famille réchauffent le cœur et permettent astucieusement d'alterner avec le drame brutal). Jamie Bell est décidément meilleur dans ce genre de drames musclés (voir Skin), tant il brille de naturel et parvient à jouer brillamment les différentes facettes de son personnage (le boxer nerveux et le papa poule). Comment oublier le final, cru, sale, haineux, qui nous oblige à ne pas cligner des yeux de peur de rater l'issue de ce combat à mort, filmé avec envie et ponctué d'une bande-son rythmée qui empêchent de décrocher. On notera beaucoup de symbolique visuelle, telle la rencontre en voiture d'un père de famille bien sous tous rapports, riche (vu son énorme 4x4) et catholique (avec une croix qui pend en évidence au rétroviseur) et d'un homme délaissé par ces mêmes riches (et qui se rend lui aussi au concours de boxe pour quémander une part d'argent), deux personnages qui représentent les opposés de la société inégalitaire, et ne peuvent visiblement cohabiter (cela termine spoiler: en bain de sang ). Ce véritable combat de chiens ne laisse pas indifférent, tant par son envie de nous en mettre plein les yeux (et plein la tête), que par le rôle très intéressant que campe parfaitement Jamie Bell.
Plutôt bon film on découvre Frank Grillo dans un rôle de "bad boy". Une histoire de combat clandestin sur fond de drame familial. Le chassé croisé de deux hommes que (presque) tout oppose, qu'on l'on suit avec attention et intérêt.
Complètement chamboulé par Donnybrook : parce que c'est d'abord la découverte d'un réalisateur très talentueux ; PArce que Frank Grillo y est gla-çant, parce que le film est brutal mais jamais gratuit dans sa violence ; parce que j'ai eu des frissons dans la cage ; parce que cette vision désespérée de l'Amérique des laissés-pour-compte risque de me hanter encore un moment. Il n'y a pas de salut possible... juste les poings pour combattre.
je ne vais pas passer par 4 chemins pour qualifier ce film de bouse infâme !!!! c'est vraiment du vomi ! que ce soit visuel , scenérastique , ou même dans le message qu'il véhicule, passer votre chemin !!! il n' y a vraiment rien à voir ! c' est pathétique ... ce film n'apporte rien de positif , pourtant meme dans le négatif on en trouve quand on cherche bien .... hélas, dans ce film on est encore plus bas que cela ! Je prie pour que le réalisateur pose définitivement sa caméra et change de carrière !
Le synopsis m'attirait et finalement c'est une déception !! 1h20 pour enfin voir le " Donnybrook " , un combat où tous les coups sont permis, c'est bien trop long !! Il se passe pas grand chose , même l'affrontement final entre Jamie Bell et Frank Grillo ne tient pas toutes ses promesses
C'est noir, violent, sanglant, dur. J'aime cela, ce genre de film s'intéressant aux personnes habituellement oubliées, ici les laissés-pour-compte américains. Mais voilà, comment rentrer et être captivé par un film qui ne respecte pas le b.a.-ba : présenter ses personnages. Qui est Jarhead Earl ?, Qui est Chainsaw Angus?, Qui est Delia Angus? D'où viennent-ils ? Quelles sont leurs aspirations ? On ne comprend pas le film sans lire le synopsis, qu'est-ce que cette histoire de tournoi clandestin de combat à mains nues, où le vainqueur remporte 100 000 dollars, qui tombe au beau milieu d'une réplique sans l'avoir évoqué précédemment alors que c'est le but et le rêve du personnage principal ? Et puis que de longueurs, rentrons dans le vif du sujet !
Mal filmé, mal monté, mal sonorisé, pas crédible pour deux sous et surtout glauque et malsain pour le plaisir d'être glauque et malsain. Mieux vaut revoir un Bronson ( le Bagarreur ) ou un Stallone plutôt que ce navet soi- disant indépendant que seuls de pseudo-intellectuels peuvent apprécier.