Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Télérama
par Pierre Murat
Seule la dignité éclaire ce film pur, sombre et beau. C'est elle que l'on sent s'infiltrer dans le coeur — voire l'âme — du héros (interprété par un comédien magnifique, Nuno Lopes). Elle lui permet d'éviter, en fait, le piège qui le menace : se détruire lui-même en poussant les autres à mourir pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Pélisson
Conscrit de son compatriote Miguel Gomes, Marco Martins signe un troisième film sombre et fort. Une peinture sans concession du Portugal en crise économique. Entre instantané documentaire et portrait virant au noir.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Le film est de peu de bruit, mais de baeucuop de fièvre (...).
Critikat.com
par Benoît Smith
Sur un modeste dispositif, ce drame aux accents de film noir touche par sa façon de s'approcher de la dureté, de chercher ses failles pour mieux y faire entrer l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un excellent film noir portugais tourné sur un mode documentaire, qui illustre en partie les effets de la crise économique ayant touché le pays au début des années 2010.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un itinéraire social qui se transforme en chemin de croix, marqué par la déréliction, dans un film violent et sombre qui, à l’image du corps massif de son personnage, frappe fort. On en ressort sonné.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Un film coup de poing contre un monde cynique.
Le Parisien
par Catherine Balle
Ce film portugais sur un homme qui s'enfonce pour sauver les siens sur fond de crise économique est bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une balade coup de poing au coeur des ravages de la finance.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
S’accordant (un peu trop) au rythme lent de son personnage, le film s’aventure, avec une réussite certaine, sur le registre du polar et du documentaire pour raconter la tragédie révoltante d’un pays.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Derrière ses airs de brute, Nuno Lopes nous touche par sa douceur et son desarroi.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le film a sa puissance physique, sans pathos, qui prend à la gorge. C'est une histoire de survie, dure, sombre dans ses éclairages comme dans son esprit, mais avec un grand sens de la dignité des êtres.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Malgré quelques passages à vide, ce long métrage sincère béné- ficie d’une véritable atmosphère et d’un acteur principal qui en impose.
L'Express
par Christophe Carrière
La rigueur quasi documentaire de Marco Martins est louable, mais l'histoire ne trouve jamais son rythme. Ce n'est pas malin. C'est même ennuyeux.
L'Obs
par François Forestier
Ambiance glauque garantie, mise en scène intéressante, mais le scénario se répète, scène après scène. C'est dommage : il y avait là de quoi faire un sacré film, mais il n'existe qu'à moitié.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Filmé en caméra portée, rivé aux basques du pugiliste dévoyé, laconique à un point de non retour, le film, ambitieux, veut selon toute vraisemblance mêler romanesque et chronique sociale désenchantée. Il n’y parvient toutefois qu’à moitié, faute de conférer à ses personnages, silhouettes grossièrement découpées mises au service du récit, une complexité et une liberté qui les définissent comme tels.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
Seule la dignité éclaire ce film pur, sombre et beau. C'est elle que l'on sent s'infiltrer dans le coeur — voire l'âme — du héros (interprété par un comédien magnifique, Nuno Lopes). Elle lui permet d'éviter, en fait, le piège qui le menace : se détruire lui-même en poussant les autres à mourir pour rien.
Bande à part
Conscrit de son compatriote Miguel Gomes, Marco Martins signe un troisième film sombre et fort. Une peinture sans concession du Portugal en crise économique. Entre instantané documentaire et portrait virant au noir.
Charlie Hebdo
Le film est de peu de bruit, mais de baeucuop de fièvre (...).
Critikat.com
Sur un modeste dispositif, ce drame aux accents de film noir touche par sa façon de s'approcher de la dureté, de chercher ses failles pour mieux y faire entrer l'émotion.
L'Humanité
Un excellent film noir portugais tourné sur un mode documentaire, qui illustre en partie les effets de la crise économique ayant touché le pays au début des années 2010.
Le Dauphiné Libéré
Un itinéraire social qui se transforme en chemin de croix, marqué par la déréliction, dans un film violent et sombre qui, à l’image du corps massif de son personnage, frappe fort. On en ressort sonné.
Le Figaroscope
Un film coup de poing contre un monde cynique.
Le Parisien
Ce film portugais sur un homme qui s'enfonce pour sauver les siens sur fond de crise économique est bouleversant.
Les Fiches du Cinéma
Une balade coup de poing au coeur des ravages de la finance.
Cahiers du Cinéma
S’accordant (un peu trop) au rythme lent de son personnage, le film s’aventure, avec une réussite certaine, sur le registre du polar et du documentaire pour raconter la tragédie révoltante d’un pays.
Femme Actuelle
Derrière ses airs de brute, Nuno Lopes nous touche par sa douceur et son desarroi.
Le Figaro
Le film a sa puissance physique, sans pathos, qui prend à la gorge. C'est une histoire de survie, dure, sombre dans ses éclairages comme dans son esprit, mais avec un grand sens de la dignité des êtres.
Le Journal du Dimanche
Malgré quelques passages à vide, ce long métrage sincère béné- ficie d’une véritable atmosphère et d’un acteur principal qui en impose.
L'Express
La rigueur quasi documentaire de Marco Martins est louable, mais l'histoire ne trouve jamais son rythme. Ce n'est pas malin. C'est même ennuyeux.
L'Obs
Ambiance glauque garantie, mise en scène intéressante, mais le scénario se répète, scène après scène. C'est dommage : il y avait là de quoi faire un sacré film, mais il n'existe qu'à moitié.
Le Monde
Filmé en caméra portée, rivé aux basques du pugiliste dévoyé, laconique à un point de non retour, le film, ambitieux, veut selon toute vraisemblance mêler romanesque et chronique sociale désenchantée. Il n’y parvient toutefois qu’à moitié, faute de conférer à ses personnages, silhouettes grossièrement découpées mises au service du récit, une complexité et une liberté qui les définissent comme tels.