Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
L'Obs
par Jérôme Garcin
Il est étonnant qu'il ait fallu si longtemps pour que cette histoire bouleversante soit enfin racontée et filmée. Bien filmée, en plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un regard sur le colonialisme suédois subtil et déchirant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
Tout un pan -méconnu, peu glorieux et non enseigné - de l'histoire de la Suède nous est dévoilé dans ce premier long métrage courageux et généreux.
Télérama
par Frédéric Strauss
Un écho universel traverse ce film ample et courageux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Amanda Kernell ne se contente pas de nous faire don d’une réflexion bouleversante sur un colonialisme méconnu. Elle en profite pour clamer son admiration pour ceux qui ont l’incroyable capacité de couper tout contact avec leur culture et leur histoire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Bombarda
Un premier film talentueux d'une réalisatrice à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Paola Raiman
Une démarche didactique très soignée, qu’on aimerait voir davantage bousculée par cette confiance en l’incarnation.
La Croix
par Céline Rouden
Le film, souvent très démonstratif, est aussi un très beau et délicat récit d’émancipation d’une jeune fille qui choisit de renier sa famille, sa culture et son identité pour conquérir son autonomie de femme et tenter de s’intégrer par l’éducation à la société suédoise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Classique dans sa forme, ce premier long métrage s’attache moins à explorer les us et coutumes samis qu’à suivre le déroutant mais bouleversant parcours d’une adolescente désireuse de s’en affranchir pour s’intégrer à une société qui pourtant la rejette.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Aux meilleurs moments de Sami. Une jeunesse en Laponie, la cinéaste parvient à conjuguer le roman de formation (la colère d’Elle Marja-Christina n’appartient qu’à elle) et la peinture d’une époque trouble, où les doctrines racistes qui s’imposaient en Allemagne contaminaient aussi ce bastion naissant de la social-démocratie.
Première
par Christophe Narbonne
En émule de Jane Campion et de ses héroïnes butées, Amanda Kernell signe un manifeste politique et féministe, qui voit la quête confuse de normalisation de l’héroïne se heurter tantôt aux murs du communautarisme tantôt à ceux du patriarcat et du conservatisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaro
par Nathalie Simon
Amanda Kernell retrace une période méconnue de l'histoire coloniale suédoise à travers le regard d'une enfant. Violent mais édifiant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
L'Obs
Il est étonnant qu'il ait fallu si longtemps pour que cette histoire bouleversante soit enfin racontée et filmée. Bien filmée, en plus.
Les Fiches du Cinéma
Un regard sur le colonialisme suédois subtil et déchirant.
Positif
Tout un pan -méconnu, peu glorieux et non enseigné - de l'histoire de la Suède nous est dévoilé dans ce premier long métrage courageux et généreux.
Télérama
Un écho universel traverse ce film ample et courageux.
aVoir-aLire.com
Amanda Kernell ne se contente pas de nous faire don d’une réflexion bouleversante sur un colonialisme méconnu. Elle en profite pour clamer son admiration pour ceux qui ont l’incroyable capacité de couper tout contact avec leur culture et leur histoire.
Bande à part
Un premier film talentueux d'une réalisatrice à suivre.
Cahiers du Cinéma
Une démarche didactique très soignée, qu’on aimerait voir davantage bousculée par cette confiance en l’incarnation.
La Croix
Le film, souvent très démonstratif, est aussi un très beau et délicat récit d’émancipation d’une jeune fille qui choisit de renier sa famille, sa culture et son identité pour conquérir son autonomie de femme et tenter de s’intégrer par l’éducation à la société suédoise.
Le Journal du Dimanche
Classique dans sa forme, ce premier long métrage s’attache moins à explorer les us et coutumes samis qu’à suivre le déroutant mais bouleversant parcours d’une adolescente désireuse de s’en affranchir pour s’intégrer à une société qui pourtant la rejette.
Le Monde
Aux meilleurs moments de Sami. Une jeunesse en Laponie, la cinéaste parvient à conjuguer le roman de formation (la colère d’Elle Marja-Christina n’appartient qu’à elle) et la peinture d’une époque trouble, où les doctrines racistes qui s’imposaient en Allemagne contaminaient aussi ce bastion naissant de la social-démocratie.
Première
En émule de Jane Campion et de ses héroïnes butées, Amanda Kernell signe un manifeste politique et féministe, qui voit la quête confuse de normalisation de l’héroïne se heurter tantôt aux murs du communautarisme tantôt à ceux du patriarcat et du conservatisme.
Le Figaro
Amanda Kernell retrace une période méconnue de l'histoire coloniale suédoise à travers le regard d'une enfant. Violent mais édifiant.