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Ce film haletant et sombre dessine un futur inquiétant, tout en imaginant une foule de micro solutions pour résister, qui, mises bout à bout, permettent de garder la foi en la liberté. À voir absolument.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Après son très bon "Planète des singes: Les Origines", le réalisateur britannique Rupert Wyatt crée un univers rétrofuturiste effrayant de réalisme. Une réflexion sur la liberté individuelle dans un monde où tout est surveillé. Un chaos esthétique porté par la musique électronique viscérale de Rob Simonsen.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Attentif à une certaine complexité, déterminée certes par le recours à des coups de théâtre divers, le film de Rupert Wyatt se signale par une manière de prendre son temps sans relâcher pourtant la tension.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec un budget relativement serré (25 millions de dollars), Rupert Wyatt [...] casse les codes du genre et signe un film très noir, chronique d’une résistance cafardeuse qui semble vouée à l’échec, combat douloureux de quelques David contre d’invincibles Goliath qui met les nerfs des spectateurs en pelote.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
[...] l'apparente sécheresse dissimule une complexité thématique et une virtuosité narrative qui font les grandes oeuvres de science-fiction pour adultes.
Ruppert Wyatt tire les bonnes vieilles ficelles d'un thriller politique fantastique ambitieux, dont "Captive State" paraît être le premier jalon, tant son scénario laisse des béances et des interrogations.
Sans doute pour contourner un budget réduit, ce film de science-fiction se focalise sur la résistance de l’humanité plutôt que sur les créatures, qu’on ne fait qu’entrevoir.
L’exercice est scrupuleusement exécuté, tensions et relâchements, figures crispées, déambulations dans la ville, courses-poursuites et dénouements. [...] Mais cet univers très laqué tient plus de la boule de neige souvenir bien fermée que d’une proposition radicalement novatrice qui, aidée par son budget réduit, aurait pu, presque accidentellement, générer d’imparfaites images, des dérapages visuels plus monstrueux et inquiétants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Avec John Goodman et Ashton Sanders, ce film de science-fiction peine à convaincre par des effets spéciaux peu aboutis et un manque de rythme, qui l’éloigne ainsi de ses aînés tels qu’"Independance Day" (1996) ou "Premier contact" (2016).
En dépit d'une structure qui refuse astucieusement d’élire un héros pour mieux dépeindre une action collective, la portée politique de "Captive State" se joue plus à l'échelle du scénario que dans les plis de ce qui est filmé.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Captive State" est piégé par sa posture de petit malin, qui cherche à pirater le genre pour raconter une histoire d'humanité et de résistance. Mais à l'écran, c'est un raté, et un raté assez vilain à l'image.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le réalisateur et scénariste n'est pas parvenu à trouver le juste équilibre entre narration efficace et profondeur politique et psychologique, nous livrant une oeuvre hybride et indigeste, donnant l'étrange impression d'être trop courte pour en saisir tous les tenants et aboutissants tout en tirant parfois à la ligne ou en soulignant l'évidence au risque de saboter ses propres surprises.
Malheureusement l’angoisse et la curiosité tournent court. La faute à une réalisation informe où la caméra portée virevolte sans tension, perdue dans un scénario où la construction chorale apparaît trop discontinue.
Wyatt, faute d’un budget conséquent, escamote toutes les scènes nécessaires à l’élaboration d’une mythologie crédible. Mais en cherchant à détourner notre attention, il provoque l’effet inverse : on ne voit malheureusement ici que le manque de moyens, et l’absence d’idées pour y pallier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Avec ses effets spéciaux de nanar fauché, ce film de science-fiction deviendrait presque sympathique au second degré, si le scénario n’était pas aussi poussif…
La critique complète est disponible sur le site Télérama
GQ
Ce film haletant et sombre dessine un futur inquiétant, tout en imaginant une foule de micro solutions pour résister, qui, mises bout à bout, permettent de garder la foi en la liberté. À voir absolument.
CinemaTeaser
Un peu froid émotionnellement mais très nerveux et oppressant.
L'Obs
Entre "1984" et "la Guerre des mondes", ce pur récit de science-fiction est malin et anxiogène.
Le Figaro
Après son très bon "Planète des singes: Les Origines", le réalisateur britannique Rupert Wyatt crée un univers rétrofuturiste effrayant de réalisme. Une réflexion sur la liberté individuelle dans un monde où tout est surveillé. Un chaos esthétique porté par la musique électronique viscérale de Rob Simonsen.
Le Monde
Attentif à une certaine complexité, déterminée certes par le recours à des coups de théâtre divers, le film de Rupert Wyatt se signale par une manière de prendre son temps sans relâcher pourtant la tension.
Le Parisien
Avec un budget relativement serré (25 millions de dollars), Rupert Wyatt [...] casse les codes du genre et signe un film très noir, chronique d’une résistance cafardeuse qui semble vouée à l’échec, combat douloureux de quelques David contre d’invincibles Goliath qui met les nerfs des spectateurs en pelote.
Mad Movies
[...] l'apparente sécheresse dissimule une complexité thématique et une virtuosité narrative qui font les grandes oeuvres de science-fiction pour adultes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ruppert Wyatt tire les bonnes vieilles ficelles d'un thriller politique fantastique ambitieux, dont "Captive State" paraît être le premier jalon, tant son scénario laisse des béances et des interrogations.
Le Journal du Dimanche
Sans doute pour contourner un budget réduit, ce film de science-fiction se focalise sur la résistance de l’humanité plutôt que sur les créatures, qu’on ne fait qu’entrevoir.
Les Fiches du Cinéma
Un film de SF tenu et à la modestie louable, mais au récit quelque peu prévisible et à l’esprit de sérieux dommageable.
Libération
L’exercice est scrupuleusement exécuté, tensions et relâchements, figures crispées, déambulations dans la ville, courses-poursuites et dénouements. [...] Mais cet univers très laqué tient plus de la boule de neige souvenir bien fermée que d’une proposition radicalement novatrice qui, aidée par son budget réduit, aurait pu, presque accidentellement, générer d’imparfaites images, des dérapages visuels plus monstrueux et inquiétants.
CNews
Avec John Goodman et Ashton Sanders, ce film de science-fiction peine à convaincre par des effets spéciaux peu aboutis et un manque de rythme, qui l’éloigne ainsi de ses aînés tels qu’"Independance Day" (1996) ou "Premier contact" (2016).
Critikat.com
En dépit d'une structure qui refuse astucieusement d’élire un héros pour mieux dépeindre une action collective, la portée politique de "Captive State" se joue plus à l'échelle du scénario que dans les plis de ce qui est filmé.
Ecran Large
"Captive State" est piégé par sa posture de petit malin, qui cherche à pirater le genre pour raconter une histoire d'humanité et de résistance. Mais à l'écran, c'est un raté, et un raté assez vilain à l'image.
L'Ecran Fantastique
Le réalisateur et scénariste n'est pas parvenu à trouver le juste équilibre entre narration efficace et profondeur politique et psychologique, nous livrant une oeuvre hybride et indigeste, donnant l'étrange impression d'être trop courte pour en saisir tous les tenants et aboutissants tout en tirant parfois à la ligne ou en soulignant l'évidence au risque de saboter ses propres surprises.
Le Dauphiné Libéré
Une fable futuriste et politique, qui sacrifie aux clichés du film d’action S-F, mais non sans une certaine volonté formelle originale.
Ouest France
Un film de science-fiction qui, malgré son casting intéressant, manque de souffle et d'esprit.
Positif
Malheureusement l’angoisse et la curiosité tournent court. La faute à une réalisation informe où la caméra portée virevolte sans tension, perdue dans un scénario où la construction chorale apparaît trop discontinue.
Télé Loisirs
Bavard, le film accuse un sérieux manque de rythme, heureusement atténué par une esthétique léchée et un travail du son notable.
Première
Wyatt, faute d’un budget conséquent, escamote toutes les scènes nécessaires à l’élaboration d’une mythologie crédible. Mais en cherchant à détourner notre attention, il provoque l’effet inverse : on ne voit malheureusement ici que le manque de moyens, et l’absence d’idées pour y pallier.
Télérama
Avec ses effets spéciaux de nanar fauché, ce film de science-fiction deviendrait presque sympathique au second degré, si le scénario n’était pas aussi poussif…