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Votre avis sur Les Hommes du feu ?
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Ce film nous propose une plongée au coeur d'une caserne de pompiers en mode immersion totale, presque comme un reportage.
Et ça marche ! On vibre, on pleure, on rit, on accompagne ces hommes et ces femmes ayant comme seul but dans la vie de nous venir en aide.
Roschdy Zem est puissant et convainquant en capitaine de ces hommes du feu, Emilie Dequenne est bluffante d'émotion dans le rôle de la petite dernière arrivée dans l'escouade malgré ses galons.
Vivre les épreuves de ces véritables héros du quotidien m'a vraiment touché : du très bon cinéma réaliste !
--> Site CINEMADOURG
Et ça marche ! On vibre, on pleure, on rit, on accompagne ces hommes et ces femmes ayant comme seul but dans la vie de nous venir en aide.
Roschdy Zem est puissant et convainquant en capitaine de ces hommes du feu, Emilie Dequenne est bluffante d'émotion dans le rôle de la petite dernière arrivée dans l'escouade malgré ses galons.
Vivre les épreuves de ces véritables héros du quotidien m'a vraiment touché : du très bon cinéma réaliste !
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Un film où les acteurs principaux jouent pas mal,
Film où on perçoit les multiples facettes du pompier et du contexte de leur exercice souvent difficile,
mais c'est aussi ce qui fait perdre au film le côté narration et la profondeur, car le film est trop pédagogique : alors là vous avez le gars qui rentre trop tard et dont la femme lui dit "ceinture !" et son collègue (dans le même temps) qui voudrait dormir mais dont la femme voudrait un "petit câlin" parce que c'est la période pour avoir un enfant ; ou encore : là vous avez celui qui met au monde des jumeaux dans le fourgon et celle qui assiste aux derniers instants d'une gamine ; ...
les gros clichés aussi sur les rapports Homme/Femme (c'est la tarte à la crème du moment) un peu lourd au fil du film,
cliché aussi avec celui qui se sent obligé d'avouer (c'est le terme qui va bien à la façon qu'il a de le dire) qu'il est gay (dont on n'a que faire, puisque ce n'est pas du tout exploité par la suite).
Bref : bon film scolaire pour l'étudiant qui se demande s'il veut faire pompier ou bien pour le néophyte qui voudrait bien avoir un panel complet des facettes du métier de pompier.
Film où on perçoit les multiples facettes du pompier et du contexte de leur exercice souvent difficile,
mais c'est aussi ce qui fait perdre au film le côté narration et la profondeur, car le film est trop pédagogique : alors là vous avez le gars qui rentre trop tard et dont la femme lui dit "ceinture !" et son collègue (dans le même temps) qui voudrait dormir mais dont la femme voudrait un "petit câlin" parce que c'est la période pour avoir un enfant ; ou encore : là vous avez celui qui met au monde des jumeaux dans le fourgon et celle qui assiste aux derniers instants d'une gamine ; ...
les gros clichés aussi sur les rapports Homme/Femme (c'est la tarte à la crème du moment) un peu lourd au fil du film,
cliché aussi avec celui qui se sent obligé d'avouer (c'est le terme qui va bien à la façon qu'il a de le dire) qu'il est gay (dont on n'a que faire, puisque ce n'est pas du tout exploité par la suite).
Bref : bon film scolaire pour l'étudiant qui se demande s'il veut faire pompier ou bien pour le néophyte qui voudrait bien avoir un panel complet des facettes du métier de pompier.
Un film efficace et bien dans son jus, enfin avec ce que j'ai vécu durant mon service militaire en temps que marin pompier.
Ça sent la caserne - les tuyaux qui sèchent et la peinture rouge, ce qui reste indispensable pour la crédibilité des personnages.
Après Jolivet met de la profondeur à ses personnages et fait un constat plutôt efficace de ce Job surtout sur cette zone critique du nord des Corbières.
Si seulement ce film pouvait interpeller tous ces abrutis qui balancent tranquillement leurs clopes de leur bagnole, se moquant royalement des conséquences pour l'Environnement ou le 2 roues qui les suivent, puisque les cendriers y sont désormais en option . . .
Ça sent la caserne - les tuyaux qui sèchent et la peinture rouge, ce qui reste indispensable pour la crédibilité des personnages.
Après Jolivet met de la profondeur à ses personnages et fait un constat plutôt efficace de ce Job surtout sur cette zone critique du nord des Corbières.
Si seulement ce film pouvait interpeller tous ces abrutis qui balancent tranquillement leurs clopes de leur bagnole, se moquant royalement des conséquences pour l'Environnement ou le 2 roues qui les suivent, puisque les cendriers y sont désormais en option . . .
Très bon film, qui pourrait être associé à un documentaire tellement il parait vrai et juste. Magnifiquement bien joué, personnages bien tenus, beaux paysages, le spectateur est lui aussi "capté" par les incendies.
Je conseille vivement
H.
Je conseille vivement
H.
Tourné dans une véritable caserne de pompiers, à Bram, près de Carcassonne (Aude), ce film de Pierre Jolivet paraît si réaliste qu'on se demande, en le voyant, s'il ne s'agit pas d'un documentaire. Les visages bien connus de Roschdy Zem et d'Emilie Dequenne nous rappellent, certes, qu'on a affaire à des acteurs, mais ils sont si convaincants, si justes, si investis dans leurs rôles respectifs, qu'ils nous le font quasiment oublier. Le premier joue le rôle de Philippe, celui qui dirige la brigade des sapeurs-pompiers, la deuxième incarne Bénédicte, une adjudante-chef qui, ayant dû déménager, y a demandé son intégration.
Seule femme dans ce milieu non seulement masculin mais volontiers viril au point d'être machiste, elle cherche aussitôt à montrer qu'elle est dotée d'autant de capacités que ses confrères. Elle prend sa place, et même plus que nécessaire, et se trouve bientôt en première ligne lors d'une intervention sur un accident de la route. Or c'est précisément au cours de cette action, effectuée de nuit sous une pluie battante, qu'elle commet une faute, la première de sa carrière. Elle n'a pas vu un des blessés qui avait été éjecté du véhicule accidenté. L'homme a été retrouvé plus tard par la police et se trouve à l'hôpital, plongé dans le coma. Une des conséquences, c'est qu'il risque d'y avoir une enquête dont les résultats pourraient entraîner la fermeture d'une brigade déjà menacée du fait d'une politique de regroupement des effectifs.
Il ne s'agit que d'un des évènements auxquels nous confronte le film, mais il révèle à lui seul les caractères et les préjugés des uns et des autres. Le cinéaste a pris soin de ne pas mettre en scène des héros, mais des hommes comme les autres, aussi fragiles que tout un chacun. La plupart d'entre eux sont ébranlés par une vie de famille difficile ou une vie de couple compliquée. Et quand il s'agit de préserver ses intérêts, il en est qui sont capables de bassesses.
Pourtant ce sont ces hommes ordinaires, si l'on peut dire, qui sont appelés à se surpasser dès que l'alarme retentit : spoiler: il faut désincarcérer un accidenté de la route, entrer dans un appartement où se trouve une femme pendue, éteindre un feu dans un quartier en révolte où l'on se fait caillasser, combattre un feu de broussaille d'origine criminelle, et même accoucher une femme sur la route avant d'arriver à l'hôpital.
En symbiose parfaite avec les combats de ces hommes et de cette femme confrontés au pire, le film captive irrésistiblement. Il met l'accent sur deux évènements, celui que j'ai relaté plus haut, l'autre étant la recherche menée par Philippe pour retrouver l'auteur d'un feu criminel, ce qui donne lieu à une des scènes les plus fortes et les plus tendues de l'oeuvre, plus intense, plus expressive et plus efficace que tous les discours moralisateurs du monde. Les « hommes du feu » ne sont rien de plus que des humains, en effet, au sens négatif du mot (les fragilités, les indignités) comme en son sens positif (la grandeur d'âme, l'engagement, la générosité). A la suite de Bertrand Tavernier, qui avait dépeint de façon exemplaire le quotidien de la brigade des stupéfiants de Paris dans « L 627 » (1992), Pierre Jolivet réussit magistralement son immersion dans celui d'une brigade de pompiers de l'Aude. 8/10
Seule femme dans ce milieu non seulement masculin mais volontiers viril au point d'être machiste, elle cherche aussitôt à montrer qu'elle est dotée d'autant de capacités que ses confrères. Elle prend sa place, et même plus que nécessaire, et se trouve bientôt en première ligne lors d'une intervention sur un accident de la route. Or c'est précisément au cours de cette action, effectuée de nuit sous une pluie battante, qu'elle commet une faute, la première de sa carrière. Elle n'a pas vu un des blessés qui avait été éjecté du véhicule accidenté. L'homme a été retrouvé plus tard par la police et se trouve à l'hôpital, plongé dans le coma. Une des conséquences, c'est qu'il risque d'y avoir une enquête dont les résultats pourraient entraîner la fermeture d'une brigade déjà menacée du fait d'une politique de regroupement des effectifs.
Il ne s'agit que d'un des évènements auxquels nous confronte le film, mais il révèle à lui seul les caractères et les préjugés des uns et des autres. Le cinéaste a pris soin de ne pas mettre en scène des héros, mais des hommes comme les autres, aussi fragiles que tout un chacun. La plupart d'entre eux sont ébranlés par une vie de famille difficile ou une vie de couple compliquée. Et quand il s'agit de préserver ses intérêts, il en est qui sont capables de bassesses.
Pourtant ce sont ces hommes ordinaires, si l'on peut dire, qui sont appelés à se surpasser dès que l'alarme retentit : spoiler: il faut désincarcérer un accidenté de la route, entrer dans un appartement où se trouve une femme pendue, éteindre un feu dans un quartier en révolte où l'on se fait caillasser, combattre un feu de broussaille d'origine criminelle, et même accoucher une femme sur la route avant d'arriver à l'hôpital.
En symbiose parfaite avec les combats de ces hommes et de cette femme confrontés au pire, le film captive irrésistiblement. Il met l'accent sur deux évènements, celui que j'ai relaté plus haut, l'autre étant la recherche menée par Philippe pour retrouver l'auteur d'un feu criminel, ce qui donne lieu à une des scènes les plus fortes et les plus tendues de l'oeuvre, plus intense, plus expressive et plus efficace que tous les discours moralisateurs du monde. Les « hommes du feu » ne sont rien de plus que des humains, en effet, au sens négatif du mot (les fragilités, les indignités) comme en son sens positif (la grandeur d'âme, l'engagement, la générosité). A la suite de Bertrand Tavernier, qui avait dépeint de façon exemplaire le quotidien de la brigade des stupéfiants de Paris dans « L 627 » (1992), Pierre Jolivet réussit magistralement son immersion dans celui d'une brigade de pompiers de l'Aude. 8/10
L'AlsacienParisien
On pourrait croire, à l'affiche et au sujet traité, que "Les hommes du feu" n'est qu'un documentaire sur le métier de pompier mais le résultat se révèle bien plus intéressant et fort. En effet, le réalisateur Pierre Jolivet retranscrit un quotidien et un mode de vie singulier où ces hommes et ces femmes se dévouent jours et nuits pour secourir et rétablir l'ordre afin d'éviter le pire. Au départ, on a l'impression de regarder un documentaire car l’enchaînement des divers événements et la réactivité à toute épreuve des pompiers semblent plus promouvoir le métier au dépend de la qualité artistique du film. Le scénario est simple, réaliste et suit les membres de cette brigade du département de l'Aude autant sur le terrain que dans leur vie intime. Pour ce faire, il fallait bien entendu des comédiens et la performance des acteurs principaux montrent que "Les hommes du feu" va au-delà du simple documentaire-fiction. Emilie Dequenne, dans le rôle principal d'une mère de famille future lieutenant, excelle par sa simplicité et sa sincérité et témoigne de la difficulté d'être une femme dans un métier d'homme. Roschdy Zem, acteur que je n'affectionne pas du tout d'habitude, m'a touché par son naturel jovial et en même temps très directif. Michaël Abiteboul et Guillaume Labbé complètent ce paysage professionnel fait de clivage et d'entraide. Les événements quotidiens prouvent que la routine n'existent pas et qu'un pompier ne peut jamais se reposer sur ses lauriers. Bien que le film soit court et que l'accent du sud soit bien poussé, je n'ai pas vu le temps passé et j'ai trouvé les personnages et ce quotidien passionnant. Ça aurait pu être un très bon pilote d'une série, c'est pour dire ! L'esthétique est sobre mais pas absente tandis que les scènes de feu et autres accidents sont très bien réalisés et donc tout à fait prenantes. On passe des larmes aux rires, des frissons à la joie de vivre : c'est un film humain profond, sur les rapports et les conflits, sur ce besoin instinctif d'aider les gens dans une atmosphère où la tension est permanente et surtout où ces héros sont désacralisés pour n'être que des êtres être humain avec leurs vices et leurs faiblesses. Je pense que je ne considérerais plus un pompier de la même façon désormais.
Un très bon film prenant racontant l'histoire d'une femme qui doit s'imposer en tant que pompier dans un milieu masculin et la vie dans la caserne. L'univers est superbement bien traité, on y voit aussi les vies de familles des pompiers et plusieurs actions et difficultés de ce métier. De bons acteurs et un bon scénario
Une sujet pourtant intéressant des acteurs de choix Roshdy Zem que j'adore, et pourtant rien !! un scénario inexistant vide de tout!!!! pas de feux impressionnants pas de luttes, les personnages sont superficiels, certains caricaturaux, et pas d'histoire rien !!!!
Pierre Jolivet met en scène ici Roschdy Zem et Emilie Dequenne nouvelle arrivante dans une caserne du Sud de la France. Le film est excellent et nous montre le quotidien de la brigade avec les dommages collatéraux que peuvent subir les familles de ces "soldats du feu". C'est filmé avec une grande finesse et rien du quotidien de ces hommes et de cette femme ne nous est épargné : accidents de la route, suicide, accouchement improvisé et surtout les feux de forêt. La tension est également palpable au sein de la caserne avec une misogynie dépeinte à merveille avec le personnage de Xavier (Michaël Abiteboul). Un seul petit bémol
spoiler:
sur la psychologie du présumé pyromane qui aurait gagné à être développée quelque peu.
Pour le reste, c'est vraiment du très bon et trop rare cinéma français.
Pour le reste, c'est vraiment du très bon et trop rare cinéma français.
Grâce à ce quasi documentaire, on est embarqué dans le quotidien de nos pompiers dont la vie tourne autour de ce difficile, éreintant et dangereux métier de service, souvent en tandem avec une autre activité gagne-pain (pour les pompiers volontaires, retenez bien le terme « volontaire »). Serions-nous capables d’un tel dévouement ?
Comme s’ils n’avaient pas déjà assez à faire avec cette multi charge, ils doivent en plus faire face aux attaques, insultes et agressions dans les quartiers dits sensibles, aux relations tendues inévitables avec certains collègues dont pourtant leur vie dépendra pendant les interventions (et vice versa), aux problèmes de famille, de couple, à leurs propres faiblesses. Ah oui, aussi à la mort, la leur et celle de leurs collègues.
Travail ou mission qui les dévore, comme le feu, et pourtant ils y retournent, tous les jours. « C’est beau le feu. Oui, mais de loin. » Alors oui, merci à nos pompiers et bon boulot, Pierre Jolivet.
Comme s’ils n’avaient pas déjà assez à faire avec cette multi charge, ils doivent en plus faire face aux attaques, insultes et agressions dans les quartiers dits sensibles, aux relations tendues inévitables avec certains collègues dont pourtant leur vie dépendra pendant les interventions (et vice versa), aux problèmes de famille, de couple, à leurs propres faiblesses. Ah oui, aussi à la mort, la leur et celle de leurs collègues.
Travail ou mission qui les dévore, comme le feu, et pourtant ils y retournent, tous les jours. « C’est beau le feu. Oui, mais de loin. » Alors oui, merci à nos pompiers et bon boulot, Pierre Jolivet.
Cela n'engage que moi, mais en tant que SP j'ai trouvé que la vie de caserne rendue ici reflète assez bien la réalité après tout très "humaine"... Les interventions sont réalistes et finalement peu romancées. C'est quelquefois pas tout à fait "comme dans le bouquin" mais qui fait l'inter' parfaite après tout... On voit en tout cas qu'il y a eu un gros travail de documentation et d'immersion de la part des acteurs. Un bon moment de cinéma, que vous soyez pompier ou pas...encore?
traversay1
Qui trop embras(s)e mal étreint ? C'était le danger qui guettait Les hommes du feu, chronique incandescente sur plusieurs jours d'une caserne de pompier dans le sud de la France. En 90 minutes, le film de Pierre Jolivet évoque la plupart des situations auxquelles sont confrontés ces sauveteurs : les incendies, les accidents de la circulation, l'agitation dans les quartiers sensibles, les drames domestiques, etc. Si le film ne se résume pas à un catalogue, il n'en reste pas moins d'une richesse qui aurait pu alimenter une série récurrente. Ultra documenté, Les hommes du feu a pour lui sa densité sociale, une heureuse habitude dans le cinéma de Jolivet, et un réalisme de tous les instants. L'aspect disons romanesque en pâtit un peu, logiquement, et les quelques lignes narratives sont traitées sans insister. En introduisant une femme dans cet univers très masculin et donc parfois un peu lourd, le film réussit cependant à apporter quelques nuances dans un tableau qui n'est pas outrageusement hagiographique. C'est l'autre constante du réalisateur, un humanisme tempéré qui ne néglige pas les failles de ses héros. Roschdy Zem, comme toujours, se fond avec talent dans ce cinéma qui lui convient au plus haut point. Emilie Dequenne, toute en sensibilité vulnérable et en force de caractère, ce n'est pas incompatible, convainc pareillement. Les hommes du feu est un film sans esbroufe et sans temps morts, essentiel dans un paysage cinématographique français trop souvent confiné dans des appartements parisiens.
beau film, mais pas vraiment realiste au niveau de la vie de caserne, ca ne reflete pas vriament le metier de pompier, pour un non pompier oui c'est un film sympa, mais pour les pompiers de metier volontaire ou pro, il y a des choses qui ne se passe pas vraiment comme dans le film
on se sent proche des personnages c’est une histoire bien racontée et réelle... les personnages sont attachants... un beau film qui donne envie de devenue bénévole
Enfin le cinéma français produit un film consacré à ce métier au service des autres. De plus un film extrêmement bien fait, au scénario poignant.
Bénédicte (Emilie Dequenne, tout en intensité) , femme pompier professionnelle, arrive dans une brigade dirigée par Philippe (Roschdy Zem, très humain). Malgré une faute commise dès sa première intervention, Bénédicte essaie de s’intégrer à cette équipe masculine et va partager le travail quotidien de la brigade.
La film tente une certaine exhaustivité et montre toute l’étendue du travail des pompiers. Il est très précis et documenté, les missions sont des plus variées : de l’accouchement poignant d’une sans papier dans le véhicule ; au caillassage et jet de pot de fleurs dans une cité ; en passant par un incendie de garrigue ou des faits plus dramatiques.
Pierre Jolivet évite les images trop dures, il évoque davantage les situations tragiques, qu’il ne les montre. J’ai apprécié que le feu ne soit pas mis au premier plan comme un élément fascinant, mais réellement relativisé par le réalisateur comme par les héros.
Ce que le cinéaste valorise, c’est essentiellement le dévouement des pompiers, le rôle difficile et essentiel qu’ils occupent, le travail effectué équipe avec rudesse et humour.
J’espère que le public viendra nombreux assister à cet hommage.
Pour davantage d'articles, mon blog : larroseurarrose.com
Bénédicte (Emilie Dequenne, tout en intensité) , femme pompier professionnelle, arrive dans une brigade dirigée par Philippe (Roschdy Zem, très humain). Malgré une faute commise dès sa première intervention, Bénédicte essaie de s’intégrer à cette équipe masculine et va partager le travail quotidien de la brigade.
La film tente une certaine exhaustivité et montre toute l’étendue du travail des pompiers. Il est très précis et documenté, les missions sont des plus variées : de l’accouchement poignant d’une sans papier dans le véhicule ; au caillassage et jet de pot de fleurs dans une cité ; en passant par un incendie de garrigue ou des faits plus dramatiques.
Pierre Jolivet évite les images trop dures, il évoque davantage les situations tragiques, qu’il ne les montre. J’ai apprécié que le feu ne soit pas mis au premier plan comme un élément fascinant, mais réellement relativisé par le réalisateur comme par les héros.
Ce que le cinéaste valorise, c’est essentiellement le dévouement des pompiers, le rôle difficile et essentiel qu’ils occupent, le travail effectué équipe avec rudesse et humour.
J’espère que le public viendra nombreux assister à cet hommage.
Pour davantage d'articles, mon blog : larroseurarrose.com
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