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Pierre Jolivet aime les films mettant en scène la réalité des métiers : avec les pompiers luttant contre les incendies d’été, il trouve un sujet parfait, souvent traité avant lui, mais qu’il développe à sa façon, solide, documentée, réaliste, agrémentée de la pointe de romanesque qu’il faut.
La caméra à l'épaule s'impose donc comme une évidence dans ce film en forme de chronique, qui délaisse volontairement suspense et rebondissements. Les interventions se succèdent et suffisent à faire monter la tension (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Attaché à l’aspect social du cinéma, le réalisateur de "Ma petite entreprise" réussit à plaire au spectateur, avec cette histoire au plus près du quotidien des soldats du feu.
Le film est porté par un casting génial qui rend le film touchant de bout en bout et qui permet de mieux comprendre ces hommes et ces femmes du feu qui ont choisi cette carrière avec les joies et les sacrifices qu'elle implique.
Les scènes d'intervention sont remarquablement mises en scène, mais les dialogues appuyés sont d'un didactisme de téléfilm. Le cinéaste semble un peu dépassé par le citoyen de gauche.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Parfois démonstrative au niveau des dialogues, cette chronique pleine d’humanité ne souffre d’aucun temps mort grâce à une mise en scène quasi documentaire entièrement dédiée à son sujet.
Le film porte un regard nuancé sur des hommes et des femmes considérés comme des héros, mais peine toutefois à trouver l’équilibre entre ses ambitions romanesque et documentaire.
Sans mettre le feu stylistiquement, Les Hommes du feu convainc par sa solidité sans esbroufe dans l’écriture, la mise en scène et la direction d’acteurs (Roschdy Zem et Emilie Dequenne sont excellents, et le casting est impeccable), confirmant le savoir-faire artisanal de son réalisateur.
Il s’en faut de beaucoup toutefois pour que ce film sans histoire intéresse, comme s’il ne se donnait pas la peine d’aller fouiller des questions plus incendiaires (…) que l’éloge évident de l’acte de porter secours.
On ne nie pas le réalisme de ces considérations mais elles épuisent le film dans des conventions scénaristiques et des échanges démonstratifs alors qu’il est autrement plus intéressant lorsqu’il se contente de montrer des hommes et femmes en action ou en état de choc.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Tout ce qui relève de la vie dans la caserne emporte l’adhésion, grâce à un choix de séquences exemplaires et à un casting impeccable, fusion d’acteurs très naturels et de véritables pompiers dirigés avec subtilité. (...) En revanche, la construction du scénario sent le fabriqué à plein nez, qui veut absolument faire entrer en une heure et demie tous les cas de figure se présentant aux pompiers.
Le machisme de la profession est également pointé non sans quelques maladresses. Le mot est lâché : « maladresse ». Elle contamine le scénario, hyper manichéen, les personnages, réduits à des archétypes grossiers, et les dialogues, péniblement signifiants.
La critique complète est disponible sur le site Première
Si le feu nous fascine depuis la nuit des temps, c’est sans doute parce qu’il est intrinsèquement indomptable. Pourtant la fougue et la puissance qu’il dégage font bien défaut à ce récit qui lui est consacré.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Alliant scènes d’action et moments plus intimes, Pierre Jolivet livre à la fois un divertissement rythmé et une étude psychologique fascinante.
Femme Actuelle
Passionnant et enflammant.
Le Figaro
Un excellent film dont le réalisme frôle le documentaire.
Le Dauphiné Libéré
Pierre Jolivet aime les films mettant en scène la réalité des métiers : avec les pompiers luttant contre les incendies d’été, il trouve un sujet parfait, souvent traité avant lui, mais qu’il développe à sa façon, solide, documentée, réaliste, agrémentée de la pointe de romanesque qu’il faut.
Le Parisien
Intense et saisissant.
Paris Match
Le réalisateur français Pierre Jolivet signe une chronique émouvante et féministe (si si) sur une brigade de pompiers du sud de la France.
Sud Ouest
Un beau film sur la nature humaine et le bien commun.
Télé 2 semaines
Un film puissant.
Télérama
La caméra à l'épaule s'impose donc comme une évidence dans ce film en forme de chronique, qui délaisse volontairement suspense et rebondissements. Les interventions se succèdent et suffisent à faire monter la tension (...).
CNews
Attaché à l’aspect social du cinéma, le réalisateur de "Ma petite entreprise" réussit à plaire au spectateur, avec cette histoire au plus près du quotidien des soldats du feu.
Franceinfo Culture
Le film est porté par un casting génial qui rend le film touchant de bout en bout et qui permet de mieux comprendre ces hommes et ces femmes du feu qui ont choisi cette carrière avec les joies et les sacrifices qu'elle implique.
L'Obs
Les scènes d'intervention sont remarquablement mises en scène, mais les dialogues appuyés sont d'un didactisme de téléfilm. Le cinéaste semble un peu dépassé par le citoyen de gauche.
Le Journal du Dimanche
Parfois démonstrative au niveau des dialogues, cette chronique pleine d’humanité ne souffre d’aucun temps mort grâce à une mise en scène quasi documentaire entièrement dédiée à son sujet.
Les Fiches du Cinéma
Le film porte un regard nuancé sur des hommes et des femmes considérés comme des héros, mais peine toutefois à trouver l’équilibre entre ses ambitions romanesque et documentaire.
Les Inrockuptibles
Sans mettre le feu stylistiquement, Les Hommes du feu convainc par sa solidité sans esbroufe dans l’écriture, la mise en scène et la direction d’acteurs (Roschdy Zem et Emilie Dequenne sont excellents, et le casting est impeccable), confirmant le savoir-faire artisanal de son réalisateur.
Studio Ciné Live
Chronique attachante dans une caserne de pompiers.
Voici
Derrière les héros courageux du quotidien, il y a aussi les faiblesses des hommes.
Cahiers du Cinéma
Il s’en faut de beaucoup toutefois pour que ce film sans histoire intéresse, comme s’il ne se donnait pas la peine d’aller fouiller des questions plus incendiaires (…) que l’éloge évident de l’acte de porter secours.
Critikat.com
Chaque scène trouve ainsi sa propre résolution (...), laissant le sentiment d'enjeux compartimentés et totalement recroquevillés sur eux-mêmes.
Le Monde
Pierre Jolivet, soucieux de documenter son sujet, ne parvient pas à faire décoller sa fiction.
Libération
On ne nie pas le réalisme de ces considérations mais elles épuisent le film dans des conventions scénaristiques et des échanges démonstratifs alors qu’il est autrement plus intéressant lorsqu’il se contente de montrer des hommes et femmes en action ou en état de choc.
Ouest France
Un film bien documenté mais assez frustrant sur le plan dramatique.
Positif
Tout ce qui relève de la vie dans la caserne emporte l’adhésion, grâce à un choix de séquences exemplaires et à un casting impeccable, fusion d’acteurs très naturels et de véritables pompiers dirigés avec subtilité. (...) En revanche, la construction du scénario sent le fabriqué à plein nez, qui veut absolument faire entrer en une heure et demie tous les cas de figure se présentant aux pompiers.
Première
Le machisme de la profession est également pointé non sans quelques maladresses. Le mot est lâché : « maladresse ». Elle contamine le scénario, hyper manichéen, les personnages, réduits à des archétypes grossiers, et les dialogues, péniblement signifiants.
aVoir-aLire.com
Si le feu nous fascine depuis la nuit des temps, c’est sans doute parce qu’il est intrinsèquement indomptable. Pourtant la fougue et la puissance qu’il dégage font bien défaut à ce récit qui lui est consacré.