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    Zoe
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    45 critiques spectateurs

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    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2018
    Ewan Mc Gregor et Lea Seydoux sont vraiment convaincants...mais dans le rôle de deux humains dont l'amour est naissant. Pourquoi donc ne pas se contenter d'exploiter leur talent dans un film romantique (avec un autre scénario bien entendu) plutôt que de virer vers un film d'anticipation sans réflexion profonde. Pour nous dire "attention, les relations humaines se détériorent et d'ici peu nous trouverons l'amour auprès d'un robot programmé?". Ce thème a déjà été exploité dans le film "Her" (un monde où il est possible de tomber amoureux d'une intelligence artificielle sans représentation physique). Seulement ici, on a du mal à s'imaginer Lea Seydoux en robot (d'autant plus que même elle l'ignore) donc on ne la voit pas comme tel mais comme une femme et le côté science fiction perd de son pouvoir.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    186 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2018
    Pitch peu original (vu qu'on a eu le droit à Real humans et Humans la sortie du jeu Detroit), le thème est donc d'actualité. Le film garde un bon sujet mais le développe mal et ne pose pas les bonnes questions spoiler: (le fait qu'on découvre qu'un synthétique soit difficile à identifier ne choque personne , qu'ils aient des sentiments,... ). Le film traite donc d'une "simple" romance homme - machine. 1h30 pour Ewan assume un "je t'aime" "tu es réel".
    On finit par s'ennuyer un peu.. Dommage, le casting était bien choisi....
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 août 2018
    Un très très beau film, définissant l'amour dans sa complexité. La réciprocité des choses, et la possibilité d'être heureux malgré les différences.
    J'ai été cependant déçue que le rôle de Theo James n'ait pas été plus approfondi, personnage trop peu présent alors que pourtant il est la clé : il a toujours su qui il était. C'est bien là qu'est la solution, dans nos croyances profondes. A rapprocher de la religion ou d'autres concepts abstraits.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 août 2018
    Un très bon film pour ma part qui se regarde facilement loin de la SF classique. En effet, j'ai rarement vu dans ce genre autant de développement des sentiments des robots ou plutôt des synthétiques. Ex machina peut aller se rhabiller ! On est plus dans une histoire d'amour qu'une dystopie. Amateurs de robot tueur à l'intelligence débridée, fuyez...à bon entendeur.
    Marjolaine A.
    Marjolaine A.

    133 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 août 2018
    Film paresseux sur la possibilité d'amour entre l'androïde et l'homme.
    Sirupeux et creux malgré des acteurs convaincants et une réalisation soignée.
    JR
    JR

    9 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 août 2018
    Pourquoi toutes les prod Netflix donnent-elles l'impression d'être bâclées ?
    C'est poussif, brumeux et chiant. Comme toutes les prod de SF Netflix dont la rentabilité prime avant tout...La mise en scène se noie dans une musique éthérée, les élipses bancales arrangées lors du scénario permettent une économie de décor. Les cadrages stylés, effets vidéos et étalonnage contribuent à évincer tout effort de mise en scène. Économies de moyen et renfort de la post prod pour optimiser le produit... Mais n'est pas Minority Report ou Eternal Sunshine of the Spotless Mind qui veut. Restent des petits films pas trop mal foutus mais inintéressants et oubliés sitôt le lendemain.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    315 abonnés 2 971 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 juillet 2018
    Un scénario assez peu inventif qui recycle des aspects déjà évoqués de Termintor à I Robot et où il ne se passe pas grand chose. Plat, sans émotion, sous anesthésie, cette production Netflix s'avère bien pâle que même le casting de renom ne relève pas!
    Shakura A
    Shakura A

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 juillet 2018
    Un film qui veut ns montrer les bons côtés de l intelligence artificielle. Je n' ai pas aimé du tout ce film ,car je ne souhaite pas que ce genre d avancé technologique un jour nous dépasse, nous remplace. Aimer un robot car l amour est devenu innacessible ? Vous serez prêt vous à aimer une machine ? Ce film nous prépare mentalement à accepter ce genre d éventualité .
    Silbano S
    Silbano S

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2018
    On a tous eu à faire au moins une fois dans notre vie à l'amour et c'est ce dont il est question dans ce magnifique film qu'est Zoé. C'est ce genre de film qui, pendant le visionnage, te rappel de bon moment passé avec un être aimé et la naissance d'un amour parfois perdu.
    L'histoire est vraiment touchante et c'est principalement grâce au jeu des acteurs plus que juste et convainquant mais les amateurs de SF pur passé votre chemin car vous allez vous ennuyer.
    Il y a longtemps que je ne l'ai pas vu mais ce film me fait pensé à Her que j'avais adoré. Bref, une belle histoire sentimental qui pourra rendre mélancolique les plus sensibles.
    Last Action Zero
    Last Action Zero

    71 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juillet 2018
    Une lente tragédie romantique et mélancolique, qui fini bien( Non, ce n'est pas une comédie ). Rappelant les aventures des Hubots de Äkta människor, Zoe est pourtant très loin d'un vrai film d'anticipation sur la cybernétique et l’intelligence artificielle. C'est en fait, une réflexion poétique et philosophique, sur la nature de l'amour et la réalité de son existence. Une fable morale, ancré dans une certaine forme de réalisme, dont je cherche encore à saisir la finalité du message de fond. Un Roméo Et Juliette moderne, où seul leurs préjugés du monde d'hier, les empêchent d'être ensemble dans celui d'aujourd'hui, pour leurs permettre ainsi, de poser les bases de celui de demain. Agréable et angoissant à la fois, presque triste, c'est un film beau et bien fait. Calme, éthéré, original, intelligent... Et pourtant, bourré d'incohérences, et de finalité totalement classique et téléphoné. Un film tranquille, envoutant et intéressant. Mais qui malheureusement, ne changera ni la face du monde, ni celle du cinéma. Et finira par tomber dans l'oublie de ma mémoire vive biologique...
    Aurélie D
    Aurélie D

    12 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2018
    Je ne peux m’empêcher de comparer ce film avec l’excellente série real humans. J’ai trouvé la première partie intéressante la deuxième très longue car spoiler: il aurait juste suffit à Cole de révéler ses sentiments une fois qu’il les avaient admis

    Le jeu des acteurs est heureusement bon.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    191 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2018
    Pour les adeptes de Black Mirror comme moi, ce film est fait pour vous! Nouvelles technologies et romantisme avec un casting de premier choix. Ce genre de films a le vent en poupe car il nous fait imaginer jusqu’où on pourrait aller...
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2018
    Après l'excellent "Newness" qui abordait le manque de communication entravant la quête de bonheur des jeunes couples modernes à cause (et en grande partie) des nouvelles technologies, Drake Doremus prolonge plus loin cette thématique en effectuant un bond dans le temps avec "Zoe".

    Nous voilà donc plongés dans une société futuriste pas si éloignée de la nôtre et hélas extrêmement pessimiste sur le devenir de nos aptitudes à partager nos sentiments avec l'être aimé. En effet, parce qu'il a lui-même été incapable de se remettre d'une rupture amoureuse, un chercheur, Cole (Ewan McGregor), s'est donné pour but de combler la solitude de ses semblables grâce à la science. Avec la "Machine" capable de calculer un taux de comptabilité relationnelle entre deux personnes, des comprimés servant à recréer l'ivresse d'une première rencontre amoureuse et, surtout, des êtres synthétiques, similaires en tout point aux êtres humains, inventés afin de partager leurs vies sans les déceptions sentimentales qu'une relation de couple peut induire, l'avenir passe donc par la voie artificielle pour régler le désordre affectif de ceux qui le peuplent. Évidemment, la complexité des émotions humaines au coeur de "Zoe" va vite nous montrer les limites d'une telle solution de facilité...

    Si vous êtes familiers des romances contrariées réalisées par Drake Doremus et qui ont fait sa bien trop discrète renommée, vous connaissez forcément cette faculté absolument sidérante que possède le metteur en scène pour capter la réalité d'une relation amoureuse à travers la mosaïque de gestes, de regards, de tendresse, de conversations futiles ou essentielles, de non-dits et de conflits qui la traverse. La bonne nouvelle, c'est que, sur point, vous serez probablement déjà en terrain conquis avec "Zoe" (si, toutefois, vous adhérez à sa vision bien entendu), le réalisateur faisant encore une fois preuve d'une maestria impressionnante pour saisir les contours de cet univers SF dans le but de les resserrer au plus près des états d'âme de ses personnages. Cette espèce d'ambiance évanescente permanente où la caméra paraît chercher la moindre manifestation physique des sentiments en scrutant les visages et les corps sera en plus magnifiée par la bande originale (la musique composée par Dan Romer et les morceaux choisis) pour atteindre ce qu'on pourra qualifier d'orgasmes émotionnels dans une unité parfaite de son et d'image lorsque le récit permettra la conjugaison réelle des sentiments entre deux protagonistes. En dehors de ces moments d'unisson, elle traduira sans peine la brume de la solitude et la confusion sentimentale dans lesquelles évoluent Cole et Zoe (Léa Seydoux).

    La première partie nous introduit au fonctionnement de cette start-up de nouvelles technologies où son créateur masque la douleur de son divorce en se focalisant dans ses recherches pendant que sa collaboratrice Zoe fait tout pour tenter de lui exprimer ses sentiments grandissants à son égard. Si, formellement, on n'a pas grand chose à redire, la route scénaristique que prend "Zoe" vers un twist terriblement prévisible ne nous rassure guère car on se souvient de "Equals", autre tentative SF de Doremus et sans doute son long-métrage le plus faible à cause d'une utilisation trop prononcée des poncifs de la dystopie. Alors que l'on commence à croire que le film va être dans la même veine avec cette idée très naïve comme seul phare, "Zoe" nous surprend heureusement en en dévoilant la teneur au bout d'à peine une demi-heure pour repartir sur un changement de perspective plus passionnant.

    Dès lors, les contradictions du personnage de Cole vont devenir la locomotive principale du film. Sa quête obsessionnelle de remplacer la vérité des sentiments par des "leurres" synthétiques de plus en plus réalistes va être mise à mal lorsque lui-même va commencer à éprouver des émotions dont il ne se pensait plus capable pour une de ses créations. Mais, devant la différence de ce nouvel être aimé pourtant si proche de lui, il ne pourra envisager d'embrasser ce bonheur qui l'appelle de toutes ses forces alors qu'il en avait fait le fer de lance de toute sa vie de chercheur. Après avoir laissé passer cette chance, il connaîtra la déchéance en usant paradoxalement de moyens encore plus artificiels pour tenter de retrouver la véracité des émotions ressenties l'espace de ces courts moments idylliques...

    Couplé au point de vue de Zoe se perdant dans un schéma similaire (par miroir) mais où les perspectives d'existence la confrontent à un destin bien plus terrible vu les questionnements internes engendrés, le film a parfois tendance à s'égarer en cours de route dans des séquences pas forcément très pertinentes (les va-et-vient au "robot-bordel" pour mettre en exergue l'utilité primaire de ces êtres synthétiques et confronter le regard des modèles obsolètes aux nouveaux, thématique de SF pas très originale même si elle sera un outil scénaristique pas si bête à quelques rebondissements) ou à simplement effleurer des interrogations passionnantes (on aurait aimé plus s'attarder sur le côté sombre de ce monde où ses habitants en viennent à plonger dans des paradis artificiels d'émotions plutôt que de rechercher à les ressentir véritablement). Néanmoins, "Zoe" fait trop souvent mouche en posant un regard rempli de justesse sur la complexité des relations humaines dans l'exploitation de son univers SF pour que l'on puisse passer à côté des qualités de son discours.

    Encore une fois, le manque de communication, cette incapacité croissante et inhérente à l'être humain de ne plus savoir comment s'ouvrir à l'autre, est mise en avant pour expliquer la solitude dans laquelle il se renferme un peu plus à chaque pas de son évolution. L'innocence des créations perfectionnées dans "Zoe" (s'incarnant d'ailleurs parfaitement dans Ash, un robot qui perd de plus en plus sa naïveté au regard de sa connaissance de l'Homme et d'un ressentiment amoureux) apparaît d'abord comme une réponse illusoire mais, finalement, leur faculté à se poser les bonnes questions sur ce qui nous régit véritablement pousse à la fois l'humain à réveiller l'expression de ses sentiments (à condition qu'il accepte toutefois d'y répondre et de se laisser gouverner par eux) et l'être synthétique à ne pas sombrer dans le désespoir de sa condition en trouvant l'être idéal avec lequel apprendre à ressentir enfin ce qui n'était auparavant qu'une illusion.
    On n'en taira la teneur mais la fin extrêmement réussie et lumineuse en sera la plus belle représentation à l'écran.

    "Zoe" n'est peut-être pas le point culminant de la filmographie de Drake Doremus mais, pour sa deuxième incursion en terrain SF après "Equals", il continue brillamment de disséquer le fonctionnement de nos sentiments avec son sens inné de leur retransmission cinématographique. Au delà des défauts de sa construction parfois trop simpliste et dissimulant mal la densité de ce qu'il cherche à délivrer, le film tape tellement souvent juste à travers une myriade de moments touchants et de merveilles de dialogues qu'il est bien difficile de ne pas succomber une nouvelle fois à la patte inaltérable de Drake Doremus. Un dernier mot pour le casting, Ewan McGregor et Léa Seydoux en tête mais aussi de très bons seconds rôles (notamment un Theo James étonnant et parfait en robot paumé), sans qui "Zoe" ne nous ferait sûrement pas autant vibrer.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2018
    Comme souvent avec Drake Doremus (Breathe In, Equals, Newness, etc.), son film raconte une histoire d'amour particulière presque interdite ou impossible. "Zoe" est en quelque sort un film d'anticipation qui se déroule à une époque où la plupart des relations sont créées ou orientées grâce à un logiciel qui calcule les chances qu'ont ces relations de durer. Il y a même un médicament qui est commercialisé et qui permet de simuler le sentiment d'être amoureux. Plus important encore pour cette histoire, il y a des robots que l'on ne peut reconnaître à l’œil nu et qui sont capables de de ressentir des émotions et de sympathiser avec les êtres humains. Ils sont conçus pour être les partenaires «parfaits» qui ne vous quitteront jamais ou ne vous décevront pas. Mais est-ce suffisant ? L'amour est toujours important à cette époque, mais il est beaucoup moins naturel. Le sujet en question a déjà été abordé de nombreuses fois et le réalisateur n'apporte rien de nouveau à ce dernier. La romance en question est très classique malgré les personnes que cela concerne et malgré le déroulement moins prévisible que dans la majorité des films de ce genre. Léa Seydoux est superbe néanmoins l'alchimie avec son partenaire que je ne cite volontairement pas ne saute pas aux yeux. A la limite, j'aurais préféré une relation avec spoiler: Theo James
    dont le personnage est plus intéressant et ce qui pour le coup aurait donné une histoire bien plus originale. Si l'histoire est finalement sans surprise, le film est quand même bien réalisé avec quelques scènes visuellement très jolies tandis que la bande-originale est apaisante et envoûtante. Au final, "Zoe" est un film moyen qui se laisse regarder sans plus.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 juillet 2018
    Doublage pourri, mais le film n'est pas mieux: une cascades se scènes ennuyeuses.Un film qui ne mène à rien, avec de la pseudo science fiction:un robot qui ne sait pas qu'il en est un.
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