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"Zoé" est une production Netlix qui attire par son casting. Malheureusement l'Image est moche et le scénario sans enjeux est totalement creux. Peut-être qu'au format 'épisode Black mirror' le résultat aurait été plus intéressant, mais là l'intérêt est proche de zéro.
Quand on a été amoureux au moins une fois dans sa vie, on ne peut qu'être sensible à ce film touchant et tellement réaliste. Zoé est bluffante dans son rôle.
Les films de SF estampillés "Netflix" son,t rarement de bonne qualité mais "Zoe" a au moins la particularité de présenter deux grands acteurs en tête du casting : Ewan McGregor et Léa Seydoux. Pour le reste... bah c'est le quasi-néant. Le concept de l'amour entre humain et machine/IA est un sujet épuisé dans la SF et "Zoe" n'y apporte aucune nouveauté. Au contraire, le scénario et les dialogues sont d'une platitude. Bilan : on s'ennuie énormément. Sur un sujet similaire, je conseillerai davantage "Ex Machina" ou "Her".
Henrico
Le thème n’est pas neuf, loin de là. Il a été souvent traité au cinéma, et même quelquefois avec talent (le Blade Runner de Scott, ou A.I. de Spielberg. Ce thème de l’androïd plus humain que l’humain, est à ce point devenu tendance, qu’il y a plusieurs séries télévisées qui sont déjà sorties recouvrant tous les aspects de cette problématique. La dernière série en date est « Humans ». Le top de la réflexion est représenté par certains épisodes de « Black Mirror » ou de « Philip K. Dick's Electric Dreams ». Ni dans par mise en scène, plutôt apathique, ni dans sa réflexion presque dépassée, ni par son intrigue très attendue, le film de Drake Doremus ne nous convainc que ce dernier peut nous surprendre qualitativement en SciFi.
bsalvert
Un film de science fiction et la course à l'humanisation des android, On est impressionné par le jeu des acteurs mais l'histoire est longue et trop tournée sur la vie normale.
PLV : quand les verra-t-on enfin?
PLV : quand les verra-t-on enfin?
Lenteurs. Je n’ai pas accroché à ce film regardé sur Netflix. Peu de rythme, sombre. Bon jeu d’acteurs cependant.
L'idée de départ, quoique peu originale, permettait néanmoins au spectateur d'être attiré, espérant avoir une version différente ou actualisée de ce qu'on connaît déjà (Blade Runner, Ghost in the shell, A.I. Intelligence artificielle, ...). Quelle déception malheureusement ! Le film, à défaut d'aller plus loin, ne propose même pas un divertissement digne d'intérêt ! Une musique épouvantable omniprésente qui tape sur les nerfs dès le début de l'oeuvre, des acteurs (heureusement autonomes) mais dont le jeu apparaît approximatif (NetFlix oblige...) et l'histoire, j'en ai déjà parlé : du déjà-vu fainéant. Résultat : le spectateur tombe rapidement dans l'ennui. Les rebondissements sont très attendus... En réalité, le film pourrait s'apprécier entre copines pour sa note romance (et encore il ne faut avoir trop d'attentes), mais pour le côté science-fiction : passez votre chemin !
J'aurais peut-être dû le visionner avec ma compagne...
J'aurais peut-être dû le visionner avec ma compagne...
Film de science-fiction saupoudré de romance à la manière d’un Ex machina, Zoe prend place dans un laboratoire de recherche scientifique travaillant sur un moyen d’améliorer les relations entre les êtres humains en créant des androïdes appelés « êtres synthétiques », au comportement tellement proche de celui des humains qu’on en fait à peine la différence. Il propose également des pilules capables de provoquer un coup de foudre (« Vous pensez que le premier amour est un lointain souvenir ? Sachez qu’il est à portée de main. Essayez Benysol et retombez amoureux pour la première fois. »). Prototype d’une longue série interprétée par Léa Seydoux (La Belle et la Bête, Journal d’une femme de chambre, Spectre), Zoe a été conçue pour croire qu’elle était humaine et qu’elle dirigeait le laboratoire afin de mesurer comment évoluent ses relations avec les humains, et notamment avec son créateur Cole, joué par Ewan McGregor (la prélogie Star Wars, Anges et démons, Jack le chasseur de géants).
L’existentiel est au cœur du scénario, Zoe se demandant sans cesse en quoi elle pourrait être comme les autres et pourquoi elle n’a pas la chance d’être humaine. Valorisée par Cole avec qui elle entame rapidement une relation amoureuse, elle est tout aussi rattrapée par la réalité lorsque la gérante d’une exploitation d’êtres synthétiques lui rappelle sa fragile condition (« N’est pas humain quelque chose qu’il est possible d’éteindre. »). Léa Seydoux offre une fois de plus une prestation très talentueuse à travers son personnage plein de sourires et d’inquiétudes (« Je ne suis jamais sortie avec des copines jusqu’au bout de la nuit. Je ne suis jamais restée des heures au téléphone avec un mec. Je n’ai jamais mis de parfum. »). Le scénario met évidemment en lumière une certaine critique de l’omniprésence de la science, qui s’imagine pouvoir tout expliquer et contrôler avec des tests indiquant des pourcentages de compatibilité entre deux personnes. Un très beau film malgré une fin qui aurait pu être bien plus marquante.
L’existentiel est au cœur du scénario, Zoe se demandant sans cesse en quoi elle pourrait être comme les autres et pourquoi elle n’a pas la chance d’être humaine. Valorisée par Cole avec qui elle entame rapidement une relation amoureuse, elle est tout aussi rattrapée par la réalité lorsque la gérante d’une exploitation d’êtres synthétiques lui rappelle sa fragile condition (« N’est pas humain quelque chose qu’il est possible d’éteindre. »). Léa Seydoux offre une fois de plus une prestation très talentueuse à travers son personnage plein de sourires et d’inquiétudes (« Je ne suis jamais sortie avec des copines jusqu’au bout de la nuit. Je ne suis jamais restée des heures au téléphone avec un mec. Je n’ai jamais mis de parfum. »). Le scénario met évidemment en lumière une certaine critique de l’omniprésence de la science, qui s’imagine pouvoir tout expliquer et contrôler avec des tests indiquant des pourcentages de compatibilité entre deux personnes. Un très beau film malgré une fin qui aurait pu être bien plus marquante.
pas mal et assez captivant malgré tout même si l'intrigue est sans surprise - un film assez humain et plutôt touchant - par contre, le doublage en VF est horrible !... genre série B des années 80.. peut-être la version canadienne?.. (vu à bord d'un vol air france) - pas de sous titrage en français donc pas top pour la VO si vous ne maitrisez pas assez l'anglais
Le début du film est plutot laborieux mais ensuite il,est tres prenant, à vouloir humaniser des hommes synthétiques, ils deviennent aussi nevrosés que les humains....c'est triste mais avec de bonnes bouffées d'espoir
gimliamideselfes
Bon je ne sais pas pourquoi j'ai regardé ça, j'ai sans doute été attiré par la distribution, mais franchement il n'y a vraiment rien à se mettre sous la dent, c'est d'une vide et d'un conventionnel à toutes épreuves.
Au début du film j'ai marqué sur un bout de papier Léa Seydoux est un robot et ça n'a pas manqué... alors on l'apprend beaucoup plus tôt que je ne le pensais, ce qui amène le film à devenir une sorte de Her du pauvre.
Le film ne pousse jamais la réflexion pour savoir ce que ça fait d'aimer quelqu'un qui n'est pas réel, si ce quelqu'un qui n'est pas réel existe réellement, etc. Le film noie tout ce qui aurait dû être sa réflexion dans de la musique beaucoup trop forte et des bons sentiments, des ruptures à n'en plus finir et qui rendent le film juste agaçant tant les personnages sont chiants à se morfondre d'être malheureux alors qu'en fait ils ont juste à décider d'être heureux et de se mettre ensemble... Enfin...
C'est juste un clavaire, parce qu'il ne se passe rien, les personnages sont insupportables et puis on voit quand même le sujet intéressant du film se vautrer dans le conformisme sentimental et le vide. Je n'en vois clairement pas l'intérêt...
S'il voulait juste faire une histoire d'amour, pourquoi pas ? mais à ce moment là il faut que ça fonctionne, que les personnages aient de l'alchimie entre eux, là c'est juste des gens qui jouent la larme à l’œil en se morfondant d'avoir perdu l'amour de leur vie et que la vie elle est dure et que c'est dur de vivre et que... et que... tu sens que c'est pensé par un ado... ou quelqu'un qui est un ado dans sa tête...
Personne n'affronte jamais ses problèmes, tout le monde geint et se plaint en se croyant trop d4rk... tout en parlant de suicide...
Je passe sous silence la fin qui est d'une bêtise affolante... Franchement sur le thème on a Blade Runner 2049 qui est passé là avant, avec notamment la scène où Gosling demande à Ford si le chien est réel et où Ford lui répond de demander au chien s'il pense qu'il est réel (un truc genre), sous entendu qu'être réel n'importe pas à partir du moment où tu as des sentiments, des émotions, etc. Mais là non, on se tape un truc façon Blanche Neige absolument ridicule, mélo au possible, qui sort de nulle part, où c'est juste magique...
Mais vu que ça ne fonctionne pas au niveau de la romance à aucun moment ça ne marche...
C'est juste scandaleux qu'un tel projet puisse être tourné tant il n'y a juste rien...
Au début du film j'ai marqué sur un bout de papier Léa Seydoux est un robot et ça n'a pas manqué... alors on l'apprend beaucoup plus tôt que je ne le pensais, ce qui amène le film à devenir une sorte de Her du pauvre.
Le film ne pousse jamais la réflexion pour savoir ce que ça fait d'aimer quelqu'un qui n'est pas réel, si ce quelqu'un qui n'est pas réel existe réellement, etc. Le film noie tout ce qui aurait dû être sa réflexion dans de la musique beaucoup trop forte et des bons sentiments, des ruptures à n'en plus finir et qui rendent le film juste agaçant tant les personnages sont chiants à se morfondre d'être malheureux alors qu'en fait ils ont juste à décider d'être heureux et de se mettre ensemble... Enfin...
C'est juste un clavaire, parce qu'il ne se passe rien, les personnages sont insupportables et puis on voit quand même le sujet intéressant du film se vautrer dans le conformisme sentimental et le vide. Je n'en vois clairement pas l'intérêt...
S'il voulait juste faire une histoire d'amour, pourquoi pas ? mais à ce moment là il faut que ça fonctionne, que les personnages aient de l'alchimie entre eux, là c'est juste des gens qui jouent la larme à l’œil en se morfondant d'avoir perdu l'amour de leur vie et que la vie elle est dure et que c'est dur de vivre et que... et que... tu sens que c'est pensé par un ado... ou quelqu'un qui est un ado dans sa tête...
Personne n'affronte jamais ses problèmes, tout le monde geint et se plaint en se croyant trop d4rk... tout en parlant de suicide...
Je passe sous silence la fin qui est d'une bêtise affolante... Franchement sur le thème on a Blade Runner 2049 qui est passé là avant, avec notamment la scène où Gosling demande à Ford si le chien est réel et où Ford lui répond de demander au chien s'il pense qu'il est réel (un truc genre), sous entendu qu'être réel n'importe pas à partir du moment où tu as des sentiments, des émotions, etc. Mais là non, on se tape un truc façon Blanche Neige absolument ridicule, mélo au possible, qui sort de nulle part, où c'est juste magique...
Mais vu que ça ne fonctionne pas au niveau de la romance à aucun moment ça ne marche...
C'est juste scandaleux qu'un tel projet puisse être tourné tant il n'y a juste rien...
Oulla, on est bien loin d'A.I. INTELLIGENCE ARTIFICIELLE, de Steven Spielberg. C'est d'un ennuie, la fin fut une délivrance pour moi. Dommage, on a pourtant de bons acteurs, mais le scénario manque de mordant, et le spectateur ne s'y intéresse pas.
Très bon moment pour être tombé par hasard dessus un soir qur netflix. Une romance un peu futuriste, mais au fond qui pose une question élémentaire sur les relations de couples.
La différence. Le timing. Et surtout la recherche
Incessante de l étincelle du début de chaque relation amoureuse. Mention à la bande originale et spécialement au titre langoureux et mélancolique Apocalypse de cigarettes after sex.
La différence. Le timing. Et surtout la recherche
Incessante de l étincelle du début de chaque relation amoureuse. Mention à la bande originale et spécialement au titre langoureux et mélancolique Apocalypse de cigarettes after sex.
Plutôt réussi pour ma part et assez terre à terre par rapport (à ceux qui attendaient beaucoup) d'un pur film de science fiction. Ici nous sommes dans un film d'anticipation bien loin des "Terminator" et consort. Le scénario est (presque) accessible et verra, certainement sous une autre forme, un semblant proche de cela.
Mais le point essentiel, au delà du coté (très) technique du scénario, c'est la relation sociale et, en fond, "l'auto-générescence" des sentiments si, en postulat, on se croit comme les autres (je ne veux pas spoiler).
Un ton au-dessus : "Her" qui ouvrent des portes déroutantes. A découvrir ! 3/5 !!!
Mais le point essentiel, au delà du coté (très) technique du scénario, c'est la relation sociale et, en fond, "l'auto-générescence" des sentiments si, en postulat, on se croit comme les autres (je ne veux pas spoiler).
Un ton au-dessus : "Her" qui ouvrent des portes déroutantes. A découvrir ! 3/5 !!!
"Zoe" est un est film sympa avec un trés bon début, le scénario est bien cool mais a partir du milieux du film ça commence à être long l'histoire part en vrille les personnages savent plus quoi faire et le scénario non plus et une fin un peu décevante. Les acteurs sont pas mal un casting plus cool.
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