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    The Black Cage
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    caroli,e Durand
    caroli,e Durand

    1 abonné 62 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 septembre 2023
    Tout ça pour ça et bien quelle arnaque. Je m'attendais à un chef doeuvre et ce film et d'une chienlit qui cumulent les lenteurs. Je me suis fais chier devant à essayer de comprendre jusqu'au bout et la fin m'a laissé totalelement de marbre. Bref si vous voulez vous torturer le cerveau tapez vous ce film 😂. Bon courage.
    DavY Croquette
    DavY Croquette

    53 abonnés 1 196 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2022
    Un magnifique film. Une photographie sublime une ambiance pensante, sombre, malsaine, des acteurs géniaux, une tension omniprésente pour un rendu extremement artistique. Le rythme est pourtant lent mais impossible de s'ennuyer tellement les plans sont plus beaux les un que les autres et la tension élevé. Un film pas à la portée de tout le monde, qui vaut le coup d'œil !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2021
    Commençons par les points positifs. Le paysage est atmosphérique et effrayant et Black Hollow Cage est étonnamment bien tourné et facile à regarder. Je m'attendais à un film d'apparence bon marché et ce n'était pas le cas. La musique est de bon augure. J'ai trouvé que le jeu des acteurs n'était pas mauvais qu'ils faisaient de leur mieux avec un matériel qui était loin d'être suffisant pour travailler et qu'ils étaient meilleur que la moyenne. Il y a aussi eu quelques beaux rebondissements qui m'ont intrigué et qui n'ont pas été télégraphiés trop tôt. Malheureusement l'histoire semble mince comme du papier, disjointe et trop étirée et certaines d'entre elles semblent vagues sous-expliquées dans le dernier tiers où l'histoire est surtout devenue plus terne, plus prévisible, plus insensé et moins effrayante. Il y a trop de personnages qui sont trop sommaires et ne sont pas assez proches. Moins on en dit sur l'étrange personnage du chien mieux c'est. Les effets sont au mieux très excitants...
    Nicothrash
    Nicothrash

    378 abonnés 3 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2020
    Ah les espagnols et le cinéma d'épouvante ... une grande et belle histoire. The Black Cage s'inscrit dans cette logique avec bon nombre d'éléments intrigants et un scénario fouillé. De plus, on se demande constamment dans quel genre de cinéma l'on navigue, thriller, épouvante, SF ? Un peu de tout ça, un peu un pêle-mêle serait plus juste car en effet, beaucoup d'éléments retiennent notre attention mais aucun n'est assez développé pour tenir en haleine, on survole tous les genres pour finalement passer à côté de tous. C'est bien dommage parce que la gamine joue très bien et la réalisation est intéressante mais en plus de ne pas comprendre grand chose, l'on se prend fréquemment à s'ennuyer ferme lors de plans séquences pas toujours bien à propos ... Le début m'a beaucoup plu, la suite un peu moins avant de totalement me perdre. L'atmosphère en revanche reste très bonne, c'est pourquoi dans l'ensemble, j'ai apprécié ce métrage et c'est surtout pour ça que je le reverrai, ma critique risque donc d'évoluer ...
    Shirokuromelt
    Shirokuromelt

    25 abonnés 356 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juillet 2020
    Une proposition de cinéma dotée de force d'une identité bien à elle, j'ai été plutôt subjugué.
    Le rythme du métrage (celui de la lenteur) permet d'instaurer une tension constante de sorte que l'étrange et le mystérieux produisent une impression captivante, avec des acteurs d'une grande précision. Le film accuse une petite et brêve baisse de tonus en son milieu mais parvient assez vite à retrouver le fil pour nous entraîner très naturellement vers sa conclusion.
    tadd
    tadd

    8 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 août 2021
    C'est quitte ou double...
    tous les elements sont reunis pour un bon film d'ambiance.
    SF ? Horreur ? Thriller ? On ne sait pas ou se situer et le trouble est entretenu par cette atmosphère pesante qui caracterise le film...
    Pour moi ça a été "quitte" et non pas "double", le rythme vaporeux, les silences voulus et l'etirement des scènes ont eu raison de mon intérêt pour l'histoire... J'ai beaucoup beaucoup baillé
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 9 février 2019
    Esthétiquement réussi, ce film espagnol mélange plusieurs influences et demeure assez nébuleux au final... Le décor est très impressionnant, certains plans sont millimétrés mais le scénario se perd et nous perd... Un réalisateur à suivre...
    RedArrow
    RedArrow

    1 678 abonnés 1 537 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2019
    Une superbe maison isolée au fond des bois, un cambriolage qui tourne mal, un père et sa fille dotée d'un bras robotisé, un chien parlant avec la voix de la mère de cette dernière, la découverte d'un immense cube noir capable d'influer sur le temps au milieu de la forêt, deux mystérieux inconnus, trois cylindres... Non, non, malgré les apparences, il ne s'agit pas des éléments du script d'un nouveau manga écrit sous acide mais bel et bien d'un premier long-métrage de SF espagnol (en solo pour ce réalisateur) sorti de nulle part et absolument captivant de la première à la dernière minute.

    Dès le mystérieux plan-séquence d'ouverture, "Black Hollow Cage" impressionne par la maîtrise formelle dont fait preuve Sadrac González-Perellón, une qualité qui ne se démentira jamais tout au long du film. À peine émaillé de quelques sorties en forêt, ce huis-clos nous enferme dans la demeure à l'architecture moderne habitée par ce père, Adam, et sa fille amputée d'un bras, Alice. L'immensité des pièces et les baies vitrées ont beau donner l'illusion d'un gigantesque espace ouvert sur les bois environnants, il n'en est rien. La maison renvoie rapidement l'impression d'une prison, au sens strict du terme d'abord, par son verre blindée, ses portes qui ne s'ouvrent que de l'intérieur et la paranoïa constante autour de potentiels rôdeurs mais également, sur un plan plus métaphorique, par l'austérité et le sentiment de vide qui s'en dégagent. Peut-être que la bâtisse fut le théâtre d'un certain bonheur autrefois, aujourd'hui, elle ne paraît remplie que de la douleur d'un père et d'une fille désormais irréconciliables à cause, on le suppose, d'un deuil insurmontable.
    Ce lien perdu et ses ramifications émotionnelles se traduira d'ailleurs par toutes les interactions des personnages avec l'environnement SF qui l'entoure. Le bras robotique de la petite fille ? L'apprentissage pour le maîtriser est un calvaire pour Alice et son manque de patience avec l'appareil montre en réalité qu'elle n'est pas prête à tourner définitivement la page du drame qui a causé la perte de son membre. Ce chien doué de la parole et paraissant avoir hérité de la conscience de la mère ? Il cristallise à lui tout seul l'impossibilité d'un retour en arrière de la relation père-fille en faisant de la mère une personne encore vivante aux yeux d'Alice, ce que son père se refuse à accepter. Ce cube noir en pleine forêt au pouvoirs temporels insoupçonnés ? Il est au coeur d'un évènement majeur qui va soit faire grandir la spirale infernale dont sont prisonniers Alice et son père dans des proportions encore plus dramatiques, soit les faire entrevoir l'espérance de la reconstruction de leur lien alors que tout s'y oppose d'un point de vue rationnel.
    Vous l'aurez sans doute compris, ces éléments futuristes servent avant tout le drame intimiste en train de se jouer où la culpabilité et le poids du deuil sont des remparts infranchissables pour Alice et son père. Il faut d'ailleurs accepter l'absence d'explications claires autour de la véritable nature de ce chien (un indice important y apporte néanmoins un début de piste) ou de la présence de ce cube aux propriétés folles dans la forêt, ils sont présents, point, et sont de simples outils à utiliser sur la route de la guérison des personnages qui acceptent leur incongruité tout comme se doit de le faire le spectateur.
    Ce sont également des piliers essentiels à la formidable ambiance qui émane de "Black Hollow Cage" où cette accumulation d'improbalités donne à la fois le sentiment que tout peut y arriver et une fascination totale sur la manière de relier tous les points que l'on nous présente à écran pour tenter d'y déceler un schéma global.
    Toujours dans cette optique de capter en permanence l'attention du spectateur, Sadrac González-Perellón le place dans un rôle d'observateur omniscient, voire même de quasi-rôdeur autour de la maison, en recourant sans cesse à sa mimique de plans-séquences silencieux extérieurs pour ne rater aucun mouvements des personnages lorsque ceux-ci passent à l'action en poursuivant tous leurs propres desseins.
    On ne s'attardera pas trop sur la teneur de l'intrigue (l'effet de surprise a son importance à la réussite de l'entreprise) mais l'ajout de deux inconnus à l'équation du lien père-fille va bien entendu bouleverser la donne et réserver un lot de rebondissements étonnants au coeur d'un film qui privilégie la lenteur et donne une importance équivalente au moindre mot des dialogues qu'aux nombreux silences lourds de sens (soulignons aussi l'excellence à ce jeu de la performance du duo Julian Nicholson/Lowena McDonell).
    Peut-être que la dernière partie est un peu plus prévisible que le reste une fois certains éclairages apportés mais il n'en demeure pas moins que "Black Hollow Cage" parvient à exercer son pouvoir d'attraction démentiel jusqu'à la dernière seconde, créant même une impression de manque aussitôt terminé.

    En guise de premier long-métrage en solo, Sadrac González-Perellón signe donc un drame de SF intimiste qui laissera forcément une grande partie du public sur le carreau aussi bien par son exigence formelle que par son intelligence d'approche des voyages temporels mais ceux qui adhèreront à l'expérience y verront une première oeuvre absolument brillante, fer de lance d'un cinéma espagnol qui, après l'épouvante, semble avoir trouvé un nouveau créneau d'expression pour une nouvelle génération de cinéastes talentueux. Et, bon sang, on en redemande !
    Vinz1
    Vinz1

    186 abonnés 2 449 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 janvier 2019
    « Black Hollow Cage » contient tous les éléments pour intriguer dès le début : Alice, une jeune fille qui contrôle un bras mécanique avec la pensée, un chien (qu’Alice appelle « maman » !?) qui parle grâce à un collier électronique, une maison high-tech perdue au milieu des bois et surtout un gros cube noir qui apparaît dans la forêt. Puis, les séquences incompréhensibles se succèdent, mais le mystère est là, donc le spectateur s’accroche. Toutefois, une fois que le message du film est compris (ça a un rapport avec ce qu’a fait le père…), la fin devient vite prévisible et on se dit que l’on a supporté toutes ces longueurs (car oui, que c’est long parfois !) pour pas grand-chose. Et même si le film est très esthétique, il n’en demeure pas moins assommant malgré quelques bonnes idées, mais surtout inabouti, car on se dit, après une pourtant assez chouette introduction : « tout ça pour ça » !
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 mars 2024
    Une jeune fille amputée d’un bras vit seule dans une grande maison au milieu de la campagne, avec son père et sa chienne parlante, qu’elle prend pour sa mère. Elle découvre un grand cube noir dans la forêt, le genre de monolithe que l’on ne peut voir que dans un film de Kubrick. Il s’avère que le cube a le pouvoir de changer l’espace-temps et ceux qui s’y trouvent. Entre temps, un frère et une sœur fuient un agresseur et se cachent dans la maison. Film de genre, Black Hollow Cage présente une mise en scène épurée et prend son temps pour exprimer les émotions de ses protagonistes. La léthargie va devenir insupportable lorsque le spectateur se rendra compte qu’il s’est fait berné en attendant un progrès dans le rythme de l’intrigue. En effet, le film est une mascarade en présentant pleins de petits effets censés donner l’impression d’être dans un projet fantasque. En fin de compte, ce thriller espagnol n’est qu’un étirement à rallonge d’une histoire qui tourne en rond.
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