Un peu décevant, aussi bien scénaristiquement que visuellement, et même pour les personnages pour lesquels je n'ai pas réussi à m'attacher. Le côté science-fiction et ce qu'est devenu Godzilla donnent un peu d'intérêt à l'ensemble.
Une version très intéressante de godzilla, représentant bien la faiblesse des humains par rapports à ce genre de phénomènes. L'univers légèrement futuriste sans pour autant partir dans l'abus est appréciable. L'animation est assez cru, mais possède un charme, celle de godzilla au contraire est tout simplement nulle. Une annonce tout de même intéressante pour la suite.
Le début était prometteur avec des enjeux crédibles et une animation suffisamment impressionnante. Las, les dialogues priment sur l'action et les personnages sont ridicules à beugler comme dans un mauvais shonen. Un manque de budget se fait ressentir dans la deuxième partie et l'ensemble sonne terriblement faux. Résultat c'est beaucoup plus frustrant que divertissant, sans parler du dénouement affligeant. Dommage... fans de Godzilla passez votre chemin.
Ce qui m’a directement sauté aux yeux, c’est que selon moi, le pari de l’image de synthèse n’est vraiment pas réussi. Surtout pour ce qui est de Godzilla. Je l’ai trouvé particulièrement moche et il n’est pas du tout mis en avant. Après niveau écriture ce n’est pas mieux. Tout est survolé comme si le film n’avait de but que l’affrontement avec Godzilla. Le séjour dans l’espace qui dure une bonne partie du film n’est pas approfondie comme une introduction qui aurait trainée en longueur. Et même le nouvel environnement de la planète Terre qui pourtant est chamboulé, n’est pas creusé alors qu’on aurait aimé que l’univers soit plus développé. Ce film est pour moi tout simplement une énième exploitation d’une franchise uniquement pour faire de l’argent sans tenir compte de la qualité.
une suite aux films d'origine, sous forme de science fiction meta-physique manga. c'est bien fait, mais carrement chiant, narativement complexe et parfois incomprehensible, bref, ça n'aporte rien.
Un animé dans l'univers Godzilla, où l'on se retrouve propulsé dans un univers futuriste maîtrisé, où l'humanité s'est réfugié dans l'espace, vaincu et chassé de la Terre par un Godzilla tout puissant. Le film semble un peu long, mais finalement tout prend son sens dans les dernières minutes du film, et révèle un ton finalement très mature et pragmatique face au thème du film qu'est Godzilla. Encore une fois un anime qui prouve que ce genre est bien plus qu'un simple dessin-animé. Et quand on voit la technique qui est dans ce film, on est bien loin des débuts de l'animé.
Épique et spectaculaire, il faut dire que le paquet a été mis pour rendre le monstre impressionnant. L’affrontement est dantesque et la deuxième partie fonctionne plutôt bien. Par contre, il faut espérer que tous les éléments introduits dans la première gagnent en importance car si le récit prend le temps de développer un contexte, il n’en fait rien et bifurque vers le film de monstre très simple.
Film vraiment très sympa. Les animation sont très belles et on plonge complètement dans l'univers qui nous est proposé. Le scénario futuriste catastrophe est vraiment bien tourné. les personnages sont attachants car leurs personnalités sont recherchées et travaillées. Bien au dessus de nombreux blockbuster actuels et ça fait vraiment du bien :)
Godzilla c'est comme Star Wars, en veux-tu En voilà, et même si tu n'en veux pas. Donc onn décline la licence sur tous les modes, pour vendre n’importe quoi et le discours est totalement dénaturé. Ainsi, dans ce film animé, Godzilla, symbole d’une manifestation des forces naturelles, est transposé en tant qu’ennemi ultime sur une planète que bien sur les humains veulent parasiter. Alors si techniquement cela se laisse regarder, on s’ennuie tout de même profondément, car le scénario n’est qu’une suite d’injonctions via des systèmes de communication pour aller détruire du monstre. Donc si je schématise, passer tout un film à écouter des militaires brailler dans un téléphone dont les scènes sont entrecoupées d’explosions et d’assertions techniques de la part de tous les protagonistes, c’est vraiment affligeant.
Premier volet d’une trilogie en devenir, ce nouveau film consacré au mythique monstre de la Toho est de manière assez amusante le premier film animé qui lui consacré (On fera abstraction sans peine de la série animée américaine sortie à la fin des années 90, dérivée de la catastrophe que fut l’adaptation réalisée par Roland Emerich).
Clairement, le film se donne les moyens de ses ambitions… Une animation des plus soignée, une histoire très originale qui s’éloigne des standards récurrents de la saga mais qui pourtant respecte au plus près le calendrier des charges d’un bon film consacré à Godzilla, personnage qui brille par son absence pendant une grande partie du long métrage pour n’apparaître, comme c’est la tradition, que pour voler la vedette aux personnages alentours !
Beaucoup seront déçu par le final, se déroulant en plein twist, mais qui laisse envisager le meilleur pour sa suite qui, comme les choses sont bien faites, sortira en Mai prochain !
Un excellent film que j’ai particulièrement apprécié et que je recommande aux fans du genre.
Ce film est plutôt correct, bien plus intéressant que les tristes imbécillités de type Godzilla 2014.
Ce n'est pas spécialement réaliste scénaristiquement et pas mal de choses sont bancales, malgré tout quelques qualités admirables maintiennent le film à un niveau d’intérêt assez acceptable.
Ici Godzilla n'est pas venu pour faire de la figuration, il surgit dans un monde futuriste obligeant l'humanité ou du moins ce qu'il en reste à battre en retraite spatiale vers de nouveau horizons.
C'est un monstre de destruction d'une extrême ténacité et sans aucune empathie, on est loin des derniers clichés de type Godzilla débarque en vacances à New york pour remplir des salles de cinéma pop-corn.
Tout n'est pas spécialement cohérent ou bien maîtrisé dans cette oeuvre, il y a beaucoup à redire mais visuellement c'est plutôt sympa et l'aspect futuriste apocalyptique qui comporte divers éléments biens imprégnés sort du lot.