Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Keira Knightley vibre dans Cœurs ennemis de James Kent. Il y avait longtemps que la comédienne, vue récemment dans Colette, n’avait pas été aussi bouleversante que dans le rôle de cette Anglaise attirée par un Allemand à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
Une fresque romanesque et mélodramatique.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un vrai mélo, dans la grande tradition du genre, dont les résonances troubles font écho à la situation historique où évoluent les personnages, et que porte une Keira Knightley qu’on dirait sortie d’un film de Douglas Sirk.
Télé Loisirs
par Emilie Meunier
Une adaptation bouleversante du best-seller de Rhidian Brook, qui ne masque ni la douleur ni la cruauté des personnages.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Classique mais chic.
L'Express
par A. L. F.
Loin d'être parfait, le film se laisse toutefois regarder, trouvant son équilibre entre le romanesque de son histoire et la désuétude de son style.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Au-delà de la romance élégante et classique, ce film aborde intelligemment la dénazification dans une Allemagne dévastée par la guerre et les ravages sur un couple de la mort d’un enfant.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par C. P.
Adapté d’un roman qui fouillait bien mieux le contexte historique, le film de James Kent se focalise sur une romance trop conventionnelle. Dans le rôle du mari blessé, un excellent Jason Clarke.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Télérama
par Cécile Mury
Centré sur le face-à-face entre deux victimes de l’Histoire, le récit se développe avec tact et intelligence à l’aube d’une nouvelle ère, entre haine et réconciliation. Mais dans ce contexte la romance un peu mièvre entre l’Anglaise et l’Allemand, hantés par des deuils presque symétriques, paraît de trop.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un mélodrame délicat sur fond de politique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est singulier d’envisager un film mêlant mélo, romance, histoire, dans les décombres de l’Allemagne d’après-guerre, mais James Kent ne parvient pas à dépasser cette simple curiosité. Le film reste conventionnel et convenu.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
La mise en scène est élégante et le contexte historique de la difficile réconciliation avec l’Allemagne vaincue est intéressant. Mais il n’est qu’un simple décor pour un triangle amoureux mièvre et faussement sensuel. Dommage.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les ruines de l’Allemagne nazie ont souvent été inspirantes pour le cinéma : cette fois, il n’y pousse qu’un drame sentimental à la fois ordinaire et vide de sens, qui se pare des oripeaux de l’histoire.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Une histoire d’amour sans originalité qui plaira surtout aux amateurs de mélodrames en costumes.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Juste des hétérochiants qui fricotent, pendant qu'à arrière-plan l'Allemagne vit son année zéro. Les bribes de récit proches du chef-d'œuvre de Rossellini sur le sujet font ressentir cruellement sa distance avec ce chromo.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Nous cinéma chromo et faisandé, dépurvu de la moindre nuance d'exécution.
Le Figaro
par La Rédaction
Comment gâcher une bonne histoire? Cœurs ennemis pourrait être un beau mélodrame amoureux dans les ruines de l’Allemagne occupée par les Alliés en 1946. On dirait une scénographie cultureuse pour magazine de mode.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Grégory Valens
Le mélodrame sirupeux qu’on nous sert sur cette toile de fond [...] agace d’autant plus à mesure qu’il s’épaissit de couches de pathos de plus en plus prévisibles.
Première
par Thierry Chèze
Écrit par les auteurs de La Couleur de la victoire, le quelconque biopic de Jesse Owens, et mis en scène par le très scolaire réalisateur de Mémoires de jeunesse, Cœurs ennemis manque cruellement de souffle et de surprises.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Keira Knightley vibre dans Cœurs ennemis de James Kent. Il y avait longtemps que la comédienne, vue récemment dans Colette, n’avait pas été aussi bouleversante que dans le rôle de cette Anglaise attirée par un Allemand à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Closer
Une fresque romanesque et mélodramatique.
Le Dauphiné Libéré
Un vrai mélo, dans la grande tradition du genre, dont les résonances troubles font écho à la situation historique où évoluent les personnages, et que porte une Keira Knightley qu’on dirait sortie d’un film de Douglas Sirk.
Télé Loisirs
Une adaptation bouleversante du best-seller de Rhidian Brook, qui ne masque ni la douleur ni la cruauté des personnages.
Femme Actuelle
Classique mais chic.
L'Express
Loin d'être parfait, le film se laisse toutefois regarder, trouvant son équilibre entre le romanesque de son histoire et la désuétude de son style.
La Croix
Au-delà de la romance élégante et classique, ce film aborde intelligemment la dénazification dans une Allemagne dévastée par la guerre et les ravages sur un couple de la mort d’un enfant.
La Voix du Nord
Adapté d’un roman qui fouillait bien mieux le contexte historique, le film de James Kent se focalise sur une romance trop conventionnelle. Dans le rôle du mari blessé, un excellent Jason Clarke.
Télérama
Centré sur le face-à-face entre deux victimes de l’Histoire, le récit se développe avec tact et intelligence à l’aube d’une nouvelle ère, entre haine et réconciliation. Mais dans ce contexte la romance un peu mièvre entre l’Anglaise et l’Allemand, hantés par des deuils presque symétriques, paraît de trop.
Voici
Un mélodrame délicat sur fond de politique.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est singulier d’envisager un film mêlant mélo, romance, histoire, dans les décombres de l’Allemagne d’après-guerre, mais James Kent ne parvient pas à dépasser cette simple curiosité. Le film reste conventionnel et convenu.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène est élégante et le contexte historique de la difficile réconciliation avec l’Allemagne vaincue est intéressant. Mais il n’est qu’un simple décor pour un triangle amoureux mièvre et faussement sensuel. Dommage.
Le Monde
Les ruines de l’Allemagne nazie ont souvent été inspirantes pour le cinéma : cette fois, il n’y pousse qu’un drame sentimental à la fois ordinaire et vide de sens, qui se pare des oripeaux de l’histoire.
Les Fiches du Cinéma
Une histoire d’amour sans originalité qui plaira surtout aux amateurs de mélodrames en costumes.
L'Humanité
Juste des hétérochiants qui fricotent, pendant qu'à arrière-plan l'Allemagne vit son année zéro. Les bribes de récit proches du chef-d'œuvre de Rossellini sur le sujet font ressentir cruellement sa distance avec ce chromo.
L'Obs
Nous cinéma chromo et faisandé, dépurvu de la moindre nuance d'exécution.
Le Figaro
Comment gâcher une bonne histoire? Cœurs ennemis pourrait être un beau mélodrame amoureux dans les ruines de l’Allemagne occupée par les Alliés en 1946. On dirait une scénographie cultureuse pour magazine de mode.
Positif
Le mélodrame sirupeux qu’on nous sert sur cette toile de fond [...] agace d’autant plus à mesure qu’il s’épaissit de couches de pathos de plus en plus prévisibles.
Première
Écrit par les auteurs de La Couleur de la victoire, le quelconque biopic de Jesse Owens, et mis en scène par le très scolaire réalisateur de Mémoires de jeunesse, Cœurs ennemis manque cruellement de souffle et de surprises.