Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Humanité
par Emile Breton
La leçon d’économie sur la mondialisation qu’ils dispensent, parce qu’ils la vivent tous les jours et que le cinéaste les a assez aimés pour les laisser parler, jamais on ne l’aura aussi bien entendue.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Immersion documentaire dans une ville industrielle vouée à la confection de masse. Le réalisateur de "A l’ouest des rails" poursuit sa fulgurante épopée de la Chine contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
L’humanité du geste cinématographique (dont les filmés sont complices) permet de porter attention à une beauté gratuite dont n’a que faire la triste machine productiviste : la chaleur des amitiés ou les lumières colorées qui, la nuit, transfigurent le paysage urbain.
Critikat.com
par Nicola Brarda
Que voit donc le spectateur, deux heures et demie durant ? Des hommes et des femmes au travail, ou dans les rares moments de pause (on n’osera pas dire de liberté) qu’ils sont parvenus à rogner à un rythme de production chronophage. La sobriété du film découle de son objet : il s’agit en montrant le travail et rien que le travail, de rendre manifeste la marge infiniment restreinte que ce mode de production réserve à la vie tout court.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Un film lent, qu'on regarde avec émotion. Ces hommes, ces femmes, c'est la Chine de demain, la Chine du cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
"Argent amer" pose et aborde son sujet avec une persistance humaniste et une rigueur d’approche objective.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Un regard magnifiquement humain sur le monde du travail.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ainsi, "Argent Amer" s'avère-t-il, en même temps qu'un témoignage frappant sur la condition ouvrière, un grand film sur le sommeil, plus précisément sur l'engourdissement comateux qu'un travail sans limite insuffle au corps et à la conscience.
Libération
par Luc Chessel
Ronde documentaire implacable, le film de Wang Bing saisit le quotidien de Chinois venus de la campagne pour chercher du travail dans les ruches urbaines, à l’est du pays.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Hubert Niogret
La technique immersive que pratique si bien Wang Bing depuis "A l'ouest des rails" rend compte ainsi de son pays à travers des personnages (même dans leur silence) et des structures économiques (même cachées).
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ennui compris, l’immersion est totale dans le quotidien des ouvriers qui confectionnent des vêtements portés sur toute la planète.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Thierry Chèze
L’ensemble délivre en tout cas un témoignage indispensable sur ce pays encore aujourd’hui très opaque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Antoine Le Fur
Dommage que la virtuosité de Wang Bing soit plombée par un étirement des scènes, rendant par moments le film soporifique.
L'Humanité
La leçon d’économie sur la mondialisation qu’ils dispensent, parce qu’ils la vivent tous les jours et que le cinéaste les a assez aimés pour les laisser parler, jamais on ne l’aura aussi bien entendue.
Les Inrockuptibles
Immersion documentaire dans une ville industrielle vouée à la confection de masse. Le réalisateur de "A l’ouest des rails" poursuit sa fulgurante épopée de la Chine contemporaine.
Cahiers du Cinéma
L’humanité du geste cinématographique (dont les filmés sont complices) permet de porter attention à une beauté gratuite dont n’a que faire la triste machine productiviste : la chaleur des amitiés ou les lumières colorées qui, la nuit, transfigurent le paysage urbain.
Critikat.com
Que voit donc le spectateur, deux heures et demie durant ? Des hommes et des femmes au travail, ou dans les rares moments de pause (on n’osera pas dire de liberté) qu’ils sont parvenus à rogner à un rythme de production chronophage. La sobriété du film découle de son objet : il s’agit en montrant le travail et rien que le travail, de rendre manifeste la marge infiniment restreinte que ce mode de production réserve à la vie tout court.
L'Obs
Un film lent, qu'on regarde avec émotion. Ces hommes, ces femmes, c'est la Chine de demain, la Chine du cauchemar.
La Septième Obsession
"Argent amer" pose et aborde son sujet avec une persistance humaniste et une rigueur d’approche objective.
Le Figaro
Un regard magnifiquement humain sur le monde du travail.
Le Monde
Ainsi, "Argent Amer" s'avère-t-il, en même temps qu'un témoignage frappant sur la condition ouvrière, un grand film sur le sommeil, plus précisément sur l'engourdissement comateux qu'un travail sans limite insuffle au corps et à la conscience.
Libération
Ronde documentaire implacable, le film de Wang Bing saisit le quotidien de Chinois venus de la campagne pour chercher du travail dans les ruches urbaines, à l’est du pays.
Positif
La technique immersive que pratique si bien Wang Bing depuis "A l'ouest des rails" rend compte ainsi de son pays à travers des personnages (même dans leur silence) et des structures économiques (même cachées).
La Croix
Ennui compris, l’immersion est totale dans le quotidien des ouvriers qui confectionnent des vêtements portés sur toute la planète.
Première
L’ensemble délivre en tout cas un témoignage indispensable sur ce pays encore aujourd’hui très opaque.
Studio Ciné Live
Dommage que la virtuosité de Wang Bing soit plombée par un étirement des scènes, rendant par moments le film soporifique.