Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Si la mise en scène paraît parfois un brin systématique, la force de cette première œuvre exigeante et sans concession, habitée littéralement par Bhreagh MacNeil et Andrew Gillis, est indéniable et tenace en nos mémoires.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
On lui en saura gré. Quasi documentaire, troublant de réalisme dans toute sa puissance onirique. Werewolf est un vrai trip de cinéma indépendant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Danielle Lambert
Rarement une esthétique aura autant et aussi admirablement servi l’éthique personnelle d’une réalisatrice, également scénariste, productrice et monteuse.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Étrange rappel hitchcockien (Vertigo) dans un film volontairement dévitalisé et dédramatisé, au diapason de ces héros de l’héro s’escrimant à retrouver un semblant de dignité. Radical et sensible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Sûr que l’on reparlera un jour de cette cinéaste canadienne qui, dès son premier long métrage, impose des partis pris stylistiques radicaux et une compassion dénuée de sentimentalisme à l’égard des damnés de la Terre.
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Avec son premier film, la Canadienne Ashley McKenzie aborde avec finesse et singularité le thème de l’addiction.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le plus frappant, c'est le travail formel hyper rigoureux: outre le rendu dévitalisé de l'image [...], il y a un jeu particulier avec le cadre [...] On morcèle le réel et même les corps au diapason du déchiquetage intérieur des personnages.
Rolling Stone
par Louise-Camille Bouttier
Un premier film aux influences Loachiennes mais qui laisse un petit goût d'inachevé.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Belle mise en scène au service d'un scénario un poil paresseux.
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) on peut émettre quelques réserves face à la forme : à force de décadrages savamment pensés pour morceler les corps baignés d’une lumière qui rend les visages blafards, le film finit par trahir une posture arty un peu artificielle et parfois vaine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Pourquoi ce titre, "Loup-garou" ? Mystère. Ashley McKenzie, dont c’est le premier film, a une idée très énigmatique du cinéma. Elle filme en plans serrés, souvent décadrés, des moments où il ne se passe rien. Elle eût été aussi inspirée de ne pas brancher la caméra.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Le portrait brut de décoffrage de deux jeunes marginaux, ex-drogués, suivant un programme de sevrage à la méthadone. Des personnages dont l'intériorité reste jusqu'au bout opaque au spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-François Rauger
Premier long-métrage d’une jeune réalisatrice canadienne, le film suit un couple de marginaux, ex-drogués en quête de petits boulots. En collant de près aux personnages, la mise en scène évacue le contexte social pour mieux saisir une sorte de torpeur et d’indifférence désespérée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marcos Uzal
À trop vouloir montrer le quotidien déprimant d’un couple de toxicos, Ashley McKenzie s’égare, entre visions réductrices et abus de métaphores.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Il faudrait que ça s'engueule un peu plus, tout de même, pour se sentir concerné par l'étalage dépressif.
Télérama
par Nicolas Didier
Par ses cadrages durs et bizarroïdes, la réalisatrice de ce premier film s'applique à découper en morceaux ces marginaux déjà broyés par la vie.
Bande à part
Si la mise en scène paraît parfois un brin systématique, la force de cette première œuvre exigeante et sans concession, habitée littéralement par Bhreagh MacNeil et Andrew Gillis, est indéniable et tenace en nos mémoires.
aVoir-aLire.com
On lui en saura gré. Quasi documentaire, troublant de réalisme dans toute sa puissance onirique. Werewolf est un vrai trip de cinéma indépendant.
Culturopoing.com
Rarement une esthétique aura autant et aussi admirablement servi l’éthique personnelle d’une réalisatrice, également scénariste, productrice et monteuse.
L'Humanité
Étrange rappel hitchcockien (Vertigo) dans un film volontairement dévitalisé et dédramatisé, au diapason de ces héros de l’héro s’escrimant à retrouver un semblant de dignité. Radical et sensible.
La Voix du Nord
Sûr que l’on reparlera un jour de cette cinéaste canadienne qui, dès son premier long métrage, impose des partis pris stylistiques radicaux et une compassion dénuée de sentimentalisme à l’égard des damnés de la Terre.
Les Fiches du Cinéma
Avec son premier film, la Canadienne Ashley McKenzie aborde avec finesse et singularité le thème de l’addiction.
Les Inrockuptibles
Le plus frappant, c'est le travail formel hyper rigoureux: outre le rendu dévitalisé de l'image [...], il y a un jeu particulier avec le cadre [...] On morcèle le réel et même les corps au diapason du déchiquetage intérieur des personnages.
Rolling Stone
Un premier film aux influences Loachiennes mais qui laisse un petit goût d'inachevé.
Studio Ciné Live
Belle mise en scène au service d'un scénario un poil paresseux.
Critikat.com
(...) on peut émettre quelques réserves face à la forme : à force de décadrages savamment pensés pour morceler les corps baignés d’une lumière qui rend les visages blafards, le film finit par trahir une posture arty un peu artificielle et parfois vaine.
L'Obs
Pourquoi ce titre, "Loup-garou" ? Mystère. Ashley McKenzie, dont c’est le premier film, a une idée très énigmatique du cinéma. Elle filme en plans serrés, souvent décadrés, des moments où il ne se passe rien. Elle eût été aussi inspirée de ne pas brancher la caméra.
Le Figaro
Le portrait brut de décoffrage de deux jeunes marginaux, ex-drogués, suivant un programme de sevrage à la méthadone. Des personnages dont l'intériorité reste jusqu'au bout opaque au spectateur.
Le Monde
Premier long-métrage d’une jeune réalisatrice canadienne, le film suit un couple de marginaux, ex-drogués en quête de petits boulots. En collant de près aux personnages, la mise en scène évacue le contexte social pour mieux saisir une sorte de torpeur et d’indifférence désespérée.
Libération
À trop vouloir montrer le quotidien déprimant d’un couple de toxicos, Ashley McKenzie s’égare, entre visions réductrices et abus de métaphores.
Positif
Il faudrait que ça s'engueule un peu plus, tout de même, pour se sentir concerné par l'étalage dépressif.
Télérama
Par ses cadrages durs et bizarroïdes, la réalisatrice de ce premier film s'applique à découper en morceaux ces marginaux déjà broyés par la vie.