Derniers Avis : Stand by Me - Page 3

Un road movie (le terme exact serait un foot movie) qui nous embarque en compagnie de 4 adolescents paumés résolus à trouver le corps d'un de leurs camarades disparus. Les 4 graines d'acteurs sont excellents et ont tous réussi une belle carrière ensuite (River Phoenix, Wil Wheaton). Le film est basé sur une nouvelle de Stephen King mais le réalisateur bascule davantage vers le psychodrame que le thriller et il est plaisant de suivre ces 4 gamins attachants.
Bien moins connu chez nous qu'un goonies, c'est une très belle découverte.

Ce film a littéralement remis ma vie sociale en question. Je ne sais pas si avec mes amis je pourrais avoir la même amitié qu'eux. Je trouve ca vraiment passionnant car maintenant ce n'est plus du tout la même amitier qu'avant. Quand nous les jeunes ont va au collège on voudrait rester sur nos téléphone mais c'est interdit, c'est ce qui nous force a nous faire des amis, c'est une des raisons qui nous prouve qu'on ne pourra jamais retrouver des amitiés naturel comme avant et c'est ca qui m’attriste mais qui me passionne a la fois.

Incroyable film,
J'ai adoré ce film, ce film a le don de nous faire revenir en enfance, de nous faire vivre une aventure de jeunesse dans laquelle les liens d'amitié, les relations familiales et le rapport à la mort et au temps qui passe sont omniprésents. Basé sur le roman semi-autobiographique de Stephen King, ce film, au-delà de son fil rouge soulève des réelles questionnements que les enfants se posent-eux mêmes. La mort d'un frère, la haine d'un père, la discrimination faites par tout un village et les insultes envers un père fou. Chacun a ses problèmes et nous rappelle que maigres l'innocence et la fragilité des enfants, ceux-là peuvent vivre de vrais chocs, traumatismes et en souffrent terriblement sans qu'on s'en aperçoive forcément. Surtout dans le fin-fond de l'Oregon des années 60 où chacun parle sur son voisin et où tout le monde se connaît. Et justement au milieu de ce mélange d'aventures d'adolescents en plein prime de leur jeunesse et de leurs problèmes respectifs, la quête pour retrouver cet enfant mort apparaît comme un symbole. Celui du temps qui passe, du regret de n'avoir pas assez profiter de sa jeunesse, d'une vie partit trop tôt ou du rappel de la fatalité d'une vie. La fin est très pertinente et parfaitement maîtrisé et vient conclure l'histoire en rappelant l'importance de l'amitié à ce jeune âge. Les amis qu'on avait à 12ans sont les meilleures qu'on ne pourra jamais plus retrouver. Ils représentent des souvenirs éternels, des souvenirs joyeux que chaque parent souhaite à leurs enfants de vivre.
Bref ce film est une pépite à regarder, dans laquelle on s'amuse, et qui nous rend nostalgique d'une période, d'un lieu, d'un groupe qu'on ne connaît pas forcément. On se sent membre du groupe d'amis et c'est peut-être ca qui fait la réussite de ce film.

Ennuyeux. Une randonnée entre gamins.
Aucune tension, aucune émotion.
Le seul intérêt ? Voir des acteurs +/- connus jeunes.

"Stand by me" est devenu un classique du cinéma des années quatre vingt, et on s'amuse de retrouver dans des seconds rôles quelques acteurs connus alors très jeunes. On suit quatre copains dans leur curieuse quête : trouver le cadavre d'un enfant mort pour devenir des célébrités locales. On comprend bien que ce pitch n'est qu'un prétexte pour parler de l'enfance, période souvent à la foi douloureuse et tendre. On s'amusera donc de passages gentiment cocasses, mais on sera aussi régulièrement ému par les difficultés évoquées par les héros joués par quatre jeunes formidables acteurs (dont le regretté River Phoenix). "Stand by me" est finalement un film assez étrange, les personnages ne font jamais guère plus que marcher dans une très belle nature et discuter, mais voilà, on se laisse prendre par ce qu'il a à nous raconter, et c'est bien.

Les états d'âme d'adolescent évoquer sur le fond d'aventure auraient pu être intéressant mais au final ça reste assez plat et à aucun moment on s'attache aux personnages.

Une bonne note pour ce road-moavie entre enfants. Un film ou on se laisse bercer par la tendresse et l'amitié des gamins. Sympa.

Une mise en scène De Rob Reiner sans surprise ni artifice, qui nous délivre cependant quelques belles images. La Bof très discrète est néanmoins efficace. Le scénario, adapté d’une nouvelle (The Body) écrite par Stephen King, manque de consistance, l’action et le suspense se font sensiblement attendre. Une très jolie adaptation de Stephen King, qui cette fois ne fait pas dans l'épouvante mais dans l'analyse de l'enfance. Un film touchant, sincère et nostalgique, très bien interprété par les jeunes comédiens. le film alterne entre aventure, drame et humour, Un portrait touchant et candide sur l’enfance. River Phoenix illumine l’écran. Même si le film par moment ralentie et ralentie trop même parfois en devenant presque ennuyeux parfois c'est dommage quand même pournhne film aussi touchant et aussi émouvant, et mignon . c'est la que surtout du progresse l'écriture du scénario du film mais aussi de Stein King. Une sorte de goonies plus profond dans les échanges. On est moins dans les élucubrations d'adolescents que dans leurs peurs de grandir et de faire face à la réalité du monde qui leur tend la main.

Un film juste sur les jeunes adolescents de 12 13 ans et les jeunes adultes de 20 ans. Assez rare pour être remarqué !

Un joli « film de copains », drôle et dramatique, porté par une sensibilité qui va bien au-delà de l’évocation des quatre cents coups et des blagues potaches d’une bande d’ados à la langue bien pendue. Il est question, par échos, des liens difficiles entre parents et enfants – manque d’amour ou de reconnaissance, violences. De deuil, aussi. Ou encore du déterminisme social au plus profond de l’Amérique profonde. Par ailleurs, l’aventure centrale du film – la recherche d’un cadavre – apparaît comme un voyage initiatique, le passage vers une maturité amère, la fin de l’insouciance.
L’ensemble aurait pu être étoffé ; la fin s'avère un peu rapide. Mais la narration est globalement prenante et touchante (ponctuée par le tube de Ben E. King), et l’interprétation des quatre personnages principaux est remarquable de naturel. Mention spéciale pour River Phoenix, qui décèdera sept ans après ce film.

Un film sympathique sur l'entrée de 4 jeunes garçons dans l'adolescence, avec une sorte d'examen de passage que cette équipée de 2 jours qui les conduira jusqu'au cadavre d'une de leur jeune camarade renversé par un train et dont ils espèrent tirer une certaine célébrité. Parcours semé d'embuches (train, sangsues, voyous qui ressemblent d'ailleurs à ce qu'Is pourraient devenir d'ici 5 ou 6 ans, disputes, chaut, veillée, coyotes, confidences, aveu de faiblesses, d'espoirs ou de résignation...=les jeunes partagent le fait de n'être pas bien dans leur peu et peu aimés de leurs familles...
Mais le film qui nous montre de jolis paysages, des petits américains classiques, se laisse regarder sans déplaisir manquent quand même de ressort et de rebondissements

Un extrait de la pré-adolescence. C'est correctement joué et filmé mais je n'ai pas été touchée par les personnages. Le film a sans doute pris son coup de vieux pour qui n'a pas la nostalgie de ces années début 80 !
3,3/5

Ce film m'a permis de voyager à travers une période spacio-temporelle que je n'avais pas connu... Une jeunesse américaine apportant de la fraîcheur a la dureté de ce pays, et aux problèmes des adolescents de cette époque la peu évoqués. Un River Phoenix qui crève l'écran, foncez voir ce film !

Un formidable road movie et l'un des plus beaux films qui soient sur l'adolescence. D'un postulat assez simple, Rob Reiner livre un film tendre, drôle et poignant, bien aidé par la spontanéité de ses jeunes comédiens.

Une émouvante histoire d’amitié, un voyage initiatique également, pour des gamins en manque d’amour et qui vont progressivement passer de l’enfance à l’âge adulte. C’est très joyeux, émouvant aussi. Les décors sont somptueux, la B.O. pas mal du tout et les acteurs épatants. Ce qui rend le film exceptionnel, c’est qu’il est issu d’un roman autobiographique de Stephen King, qui raconte là son enfance, et c’est réellement bouleversant.