Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Positif
par Nicolas Bauche
Le cinéma des Dardenne investit les marges et le monde de la délinquance [...] pour y découvrir les leviers de la rédemption humzine. Avec leur dernier long métrage, les deux réalisateurs ajoutent ainsi un nouvel instantané à la comédie humaine du médiocre qu'ils dépeignent depuis leurs débuts.
CNews
par La Rédaction
Un drame poignant ancré dans la réalité sociale.
Ecran Large
par Simon Riaux
Après "La Fille Inconnue", les Dardenne reviennent à leurs fondamentaux et prouvent que malgré un scénario trop mécanique, la délicatesse et l'acuité de leur mise en scène peuvent faire des miracles, y compris avec le sujet compliqué de la radicalisation.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par François Forestier
Un film d’une force rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Le duo filme au plus près les visages et les corps dans des cadres étroits pour mieux coller aux personnages. Leur caméra mouvante suit en plans-séquences, comme happée, les mouvements de cette force obscure du mal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Les Dardenne, fidèles à leur style brut, épuré, tendu, se placent avant tout à la hauteur d’un gosse immature et perdu qui devrait plutôt être travaillé par ses hormones que par ses ablutions.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par La Rédaction
Le dénouement, terrible, glace le sang.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Cette empathie éprouvée à l’égard du personnage d’Ahmed, on la doit bien sûr au talent des frères Dardenne à trouver puis à faire travailler des débutants, tout en leur demandant ce qu’on exige des grands acteurs. Idir Ben Addi en est la démonstration dont la présence, dense, compacte, accapare tout le film.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Cette balance très délicate, entre jeunesse, haine, amour des autres intégration et intégrisme, est au cœur du scénario. Et comme ce sont les Dardenne qui filment, et qu’ils sont passés maîtres dans l’art de traiter un fait de société sous la forme d’un thriller au suspense enlevé, on tremble à chaque instant (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Un film magnifique où l'ampleur du propos s’appuie sur une observation aiguë des micro-événements, des gestes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier de Bruyn
Le Jeune Ahmed décrit avec sobriété le parcours d'un jeune guerrier de 13 ans.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Les frères Dardennes font une nouvelle fois mouche.
Paris Match
par La Rédaction
D’une simplicité et d’une force à glacer le sang.
Première
par Christophe Narbonne
En ne cherchant pas à psychologiser les radicalisés, les Dardenne réussissent en définitive là où Téchiné a échoué avec L’Adieu à la nuit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Luc et Jean-Pierre Dardenne ont mis longtemps à trouver comment la fiction pouvait faire éclater la coquille de ce gamin enfermé dans l’endoctrinement. Du rachat qui s’opère à la fin, ils tirent une ligne magnifique, un portrait en quelques traits où tient toute la complexité d’une question qui mine notre époque.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
C'est avec une telle intensité en effet que [les frères Dardenne] scrutent les gestes et les sons que ceux-ci finissent par acquérir une sorte de densité spirituelle.
Télé Loisirs
par La Rédaction
Un film d’une intensité et d’une humanité bouleversantes, qui avance vers la lumière.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Louis Guichard
Les frères Dardenne signent un portrait percutant, empreint d’une grande humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce que scrutent Jean-Pierre et Luc Dardenne, avec cette façon bien à eux de documenter la fiction, c’est le mal à l’œuvre chez un enfant, l’impossible retour en arrière, un mystère jamais élucidé. C’est également ce qui rend le film aussi désagréable qu’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Reste qu’en dépit de ces scories, Le Jeune Ahmed captive, notamment parce qu’il ne traite jamais son sujet comme un fait divers de société, aussi tragique et réel soit-il, mais comme un véritable drame humain.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Sylvain Blandy
L’évidement du plan, caractéristique de la mise en scène des Dardenne, tend à circonscrire le mouvement de chaque séquence à la stricte décomposition d’une action.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
Dans Le Jeune Ahmed, histoire d’un ado radicalisé rétif à la réinsertion, les frères belges touchent aux limites de leur méthode.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Les Dardenne semblent plus que jamais piégés par leur impuissance à se renouveler et le formatage de plus en plus flagrant de leur cinéma. Tout est prévisible, et dès qu’Ahmed escalade un mur, on sait comment cela va finir : par cette même chute et cette même chrétienne rédemption que les cinéastes ont filmée cent fois.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Les frères Dardenne renouent avec l’épure, mais leur personnage est trop monolithique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
Le cinéma des Dardenne investit les marges et le monde de la délinquance [...] pour y découvrir les leviers de la rédemption humzine. Avec leur dernier long métrage, les deux réalisateurs ajoutent ainsi un nouvel instantané à la comédie humaine du médiocre qu'ils dépeignent depuis leurs débuts.
CNews
Un drame poignant ancré dans la réalité sociale.
Ecran Large
Après "La Fille Inconnue", les Dardenne reviennent à leurs fondamentaux et prouvent que malgré un scénario trop mécanique, la délicatesse et l'acuité de leur mise en scène peuvent faire des miracles, y compris avec le sujet compliqué de la radicalisation.
L'Obs
Un film d’une force rare.
La Croix
Le duo filme au plus près les visages et les corps dans des cadres étroits pour mieux coller aux personnages. Leur caméra mouvante suit en plans-séquences, comme happée, les mouvements de cette force obscure du mal.
La Voix du Nord
Les Dardenne, fidèles à leur style brut, épuré, tendu, se placent avant tout à la hauteur d’un gosse immature et perdu qui devrait plutôt être travaillé par ses hormones que par ses ablutions.
Le Figaro
Le dénouement, terrible, glace le sang.
Le Monde
Cette empathie éprouvée à l’égard du personnage d’Ahmed, on la doit bien sûr au talent des frères Dardenne à trouver puis à faire travailler des débutants, tout en leur demandant ce qu’on exige des grands acteurs. Idir Ben Addi en est la démonstration dont la présence, dense, compacte, accapare tout le film.
Le Parisien
Cette balance très délicate, entre jeunesse, haine, amour des autres intégration et intégrisme, est au cœur du scénario. Et comme ce sont les Dardenne qui filment, et qu’ils sont passés maîtres dans l’art de traiter un fait de société sous la forme d’un thriller au suspense enlevé, on tremble à chaque instant (...).
Les Inrockuptibles
Un film magnifique où l'ampleur du propos s’appuie sur une observation aiguë des micro-événements, des gestes.
Marianne
Le Jeune Ahmed décrit avec sobriété le parcours d'un jeune guerrier de 13 ans.
Ouest France
Les frères Dardennes font une nouvelle fois mouche.
Paris Match
D’une simplicité et d’une force à glacer le sang.
Première
En ne cherchant pas à psychologiser les radicalisés, les Dardenne réussissent en définitive là où Téchiné a échoué avec L’Adieu à la nuit.
Sud Ouest
Luc et Jean-Pierre Dardenne ont mis longtemps à trouver comment la fiction pouvait faire éclater la coquille de ce gamin enfermé dans l’endoctrinement. Du rachat qui s’opère à la fin, ils tirent une ligne magnifique, un portrait en quelques traits où tient toute la complexité d’une question qui mine notre époque.
Transfuge
C'est avec une telle intensité en effet que [les frères Dardenne] scrutent les gestes et les sons que ceux-ci finissent par acquérir une sorte de densité spirituelle.
Télé Loisirs
Un film d’une intensité et d’une humanité bouleversantes, qui avance vers la lumière.
Télérama
Les frères Dardenne signent un portrait percutant, empreint d’une grande humanité.
Bande à part
Ce que scrutent Jean-Pierre et Luc Dardenne, avec cette façon bien à eux de documenter la fiction, c’est le mal à l’œuvre chez un enfant, l’impossible retour en arrière, un mystère jamais élucidé. C’est également ce qui rend le film aussi désagréable qu’essentiel.
CinemaTeaser
Reste qu’en dépit de ces scories, Le Jeune Ahmed captive, notamment parce qu’il ne traite jamais son sujet comme un fait divers de société, aussi tragique et réel soit-il, mais comme un véritable drame humain.
Critikat.com
L’évidement du plan, caractéristique de la mise en scène des Dardenne, tend à circonscrire le mouvement de chaque séquence à la stricte décomposition d’une action.
Libération
Dans Le Jeune Ahmed, histoire d’un ado radicalisé rétif à la réinsertion, les frères belges touchent aux limites de leur méthode.
Cahiers du Cinéma
Les Dardenne semblent plus que jamais piégés par leur impuissance à se renouveler et le formatage de plus en plus flagrant de leur cinéma. Tout est prévisible, et dès qu’Ahmed escalade un mur, on sait comment cela va finir : par cette même chute et cette même chrétienne rédemption que les cinéastes ont filmée cent fois.
L'Humanité
Les frères Dardenne renouent avec l’épure, mais leur personnage est trop monolithique.