Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Jamais dans les rails du convenu, Patrick Mario Bernard et Pierre Trividic dynamitent un mythe, en le débarrassant de ses bandelettes et savants fous. En surgit une œuvre innovante. Simple aussi, comme un témoignage éclairé sur notre existence.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Avec sa mélancolie poignante et décalée, L’Angle mort évoquerait plutôt certains films d’Alain Resnais, un mélange de funeste et de drôlerie cruelle sur un fond d’inquiétante étrangeté et d’implacable précision psychique.
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Jouant aussi bien sur le corps [...], que sur l'esprit, en n'hésitant pas à fouiller au fond de psychés, les cinéastes nous gratifient d'une oeuvre complexe, profondément contemporaine [...].
L'Humanité
par Vincent Ostria
Patrick-Mario Bernard et Pierre Trividic signent un conte fantastico-social où l’insolite fait bon ménage avec une vision aiguë de la marginalité urbaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fable en trompe-l’œil qui montre le pouvoir qu’a le cinéma de plonger le spectateur dans une fantasmagorie sensuelle. Une pépite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Intriguant et poétique.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Pierre Trividic et Patrick-Mario Bernard font un cinéma des profondeurs, à l’endroit où le réel se frotte au fantastique.
Libération
par Didier Péron
La manière ludique et anxieuse qu’a le film d’agiter questions et problèmes en les rendant très concrets et néanmoins fantastiques est le privilège de ce duo de cinéastes dont on ne peut que dire ici à quel point il est regrettable qu’ils mettent tant de temps avant de réapparaître entre chaque projet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Sylvestre Picard
Une très jolie tentative de traiter les superpouvoirs de façon réaliste.
Positif
par Baptiste Roux
Si "L’Angle mort" respecte à la lettre la logique générique du fantastique [...], l’oeuvre, [...] s’approprie ces codes pour les faire résonner avec les enjeux sociaux et politiques de la contemporanéité.
Télérama
par Guillemette Odicino
Un conte subtilement décalé et troublant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une sorte de remake de L'Homme invisible, version film d'auteur, étrange et passionnant, sur la nécessité du regard de l'autre.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce jeu entre voyant et non voyant, vu et non vu, évoque un jeu de mots mais ici avec des images. La cinématographie du film n'en est que plus forte, car avant tout visuelle. Un joli film, modeste et ludique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Sur le thème de l’invisibilité, le couple Trividic-Bernard compose une fable contemporaine et intemporelle où s’interrompent les pistes de résolution, laissant ainsi les questions s’épanouir dans le mystère.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Après "L’Autre" (2008), sublime thriller paranoïaque, le duo Bernard-Trividic récidive avec la même singularité en racontant une histoire d’homme invisible ancrée dans le quotidien.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Entre chronique fantastique et questionnements existentiels, P-M. Bernard et P. Trividic tressent une fable séduisante et dotée d’une mise en scène brillante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Davantage traité comme une malédiction que comme un héritage de super-héros, ce pouvoir permettra pourtant à son protagoniste de comprendre ses nombreuses failles et de les corriger, quitte à récrire au passage la vieille maxime de l’oncle Ben dans Spider-Man : ce sont les petits gestes du quotidien qui nous font prendre de grandes responsabilités.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Mad Movies
par Gilles Esposito
Malgré des partis pris contestables (des dialogues pas possibles à force de vouloir être quotidiens à tout prix, un format 1.33 faussement modeste), le film possède un certain charme, notamment dans sa manière d'esquiver les potentialités "super-héroïques" de l'histoire.
Première
par Sylvestre Picard
Aucun misérabilisme pourtant dans ce mélange de réalisme et de fantastique – ce n’est pas pour rien que les réalisateurs ont signé en 1998 un fabuleux documentaire sur H.P. Lovecraft. Dommage que Bernard et Trividic semblent vouloir refermer aussitôt (manque de moyens ?) l’immense univers qu’ils sont parvenus à construire, L’Angle mort se terminant sur un épilogue plus que frustrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Céline Rouden
À travers l’histoire d’un homme qui détient le pouvoir de se rendre invisible, les réalisateurs introduisent une dose de fantastique dans le réel pour mieux démythifier la figure du superhéros mais en dépit d’un traitement soigné, le film a du mal à aller au-delà de son idée de départ.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un drame aussi fantastique que psychologique d’un homme qui peut devenir invisible. L’idée était bonne, mais le traitement du sujet tombe à plat.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
Jamais dans les rails du convenu, Patrick Mario Bernard et Pierre Trividic dynamitent un mythe, en le débarrassant de ses bandelettes et savants fous. En surgit une œuvre innovante. Simple aussi, comme un témoignage éclairé sur notre existence.
Cahiers du Cinéma
Avec sa mélancolie poignante et décalée, L’Angle mort évoquerait plutôt certains films d’Alain Resnais, un mélange de funeste et de drôlerie cruelle sur un fond d’inquiétante étrangeté et d’implacable précision psychique.
L'Ecran Fantastique
Jouant aussi bien sur le corps [...], que sur l'esprit, en n'hésitant pas à fouiller au fond de psychés, les cinéastes nous gratifient d'une oeuvre complexe, profondément contemporaine [...].
L'Humanité
Patrick-Mario Bernard et Pierre Trividic signent un conte fantastico-social où l’insolite fait bon ménage avec une vision aiguë de la marginalité urbaine.
L'Obs
Une fable en trompe-l’œil qui montre le pouvoir qu’a le cinéma de plonger le spectateur dans une fantasmagorie sensuelle. Une pépite.
La Voix du Nord
Intriguant et poétique.
Le Monde
Pierre Trividic et Patrick-Mario Bernard font un cinéma des profondeurs, à l’endroit où le réel se frotte au fantastique.
Libération
La manière ludique et anxieuse qu’a le film d’agiter questions et problèmes en les rendant très concrets et néanmoins fantastiques est le privilège de ce duo de cinéastes dont on ne peut que dire ici à quel point il est regrettable qu’ils mettent tant de temps avant de réapparaître entre chaque projet.
Ouest France
Une très jolie tentative de traiter les superpouvoirs de façon réaliste.
Positif
Si "L’Angle mort" respecte à la lettre la logique générique du fantastique [...], l’oeuvre, [...] s’approprie ces codes pour les faire résonner avec les enjeux sociaux et politiques de la contemporanéité.
Télérama
Un conte subtilement décalé et troublant.
Voici
Une sorte de remake de L'Homme invisible, version film d'auteur, étrange et passionnant, sur la nécessité du regard de l'autre.
Franceinfo Culture
Ce jeu entre voyant et non voyant, vu et non vu, évoque un jeu de mots mais ici avec des images. La cinématographie du film n'en est que plus forte, car avant tout visuelle. Un joli film, modeste et ludique.
La Septième Obsession
Sur le thème de l’invisibilité, le couple Trividic-Bernard compose une fable contemporaine et intemporelle où s’interrompent les pistes de résolution, laissant ainsi les questions s’épanouir dans le mystère.
Le Journal du Dimanche
Après "L’Autre" (2008), sublime thriller paranoïaque, le duo Bernard-Trividic récidive avec la même singularité en racontant une histoire d’homme invisible ancrée dans le quotidien.
Les Fiches du Cinéma
Entre chronique fantastique et questionnements existentiels, P-M. Bernard et P. Trividic tressent une fable séduisante et dotée d’une mise en scène brillante.
Les Inrockuptibles
Davantage traité comme une malédiction que comme un héritage de super-héros, ce pouvoir permettra pourtant à son protagoniste de comprendre ses nombreuses failles et de les corriger, quitte à récrire au passage la vieille maxime de l’oncle Ben dans Spider-Man : ce sont les petits gestes du quotidien qui nous font prendre de grandes responsabilités.
Mad Movies
Malgré des partis pris contestables (des dialogues pas possibles à force de vouloir être quotidiens à tout prix, un format 1.33 faussement modeste), le film possède un certain charme, notamment dans sa manière d'esquiver les potentialités "super-héroïques" de l'histoire.
Première
Aucun misérabilisme pourtant dans ce mélange de réalisme et de fantastique – ce n’est pas pour rien que les réalisateurs ont signé en 1998 un fabuleux documentaire sur H.P. Lovecraft. Dommage que Bernard et Trividic semblent vouloir refermer aussitôt (manque de moyens ?) l’immense univers qu’ils sont parvenus à construire, L’Angle mort se terminant sur un épilogue plus que frustrant.
La Croix
À travers l’histoire d’un homme qui détient le pouvoir de se rendre invisible, les réalisateurs introduisent une dose de fantastique dans le réel pour mieux démythifier la figure du superhéros mais en dépit d’un traitement soigné, le film a du mal à aller au-delà de son idée de départ.
aVoir-aLire.com
Un drame aussi fantastique que psychologique d’un homme qui peut devenir invisible. L’idée était bonne, mais le traitement du sujet tombe à plat.