Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’intrigue, succincte, est transcendée par un formidable travail documentaire. On en regrette presque que le film ne se contente pas d’enregistrer la réalité brute de ce miniquartier africain avec ses lois et ses conflits. De toute façon, belle initiative que cette description chaleureuse d’une réalité concrète de la rue parisienne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un étonnant huis clos à ciel ouvert qui joue avec un plaisir débordant des codes de la comédie.
Le Figaro
par La Rédaction
Ce premier film est assez brouillon, écrit à la diable, mais il a le charme du primesaut et traduit le désordre régnant, aux limites de la légalité.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Cet élan sympathique, sinon salutaire, offre une belle échappée, mais aurait mérité des dialogues plus percutants encore, des situations plus échevelées.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le film n'est pas un documentaire, mais c'est son décor ultraréaliste qui fait de "La Vie de château" une comédie aussi savoureuse.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Vaudeville plein de charme et rafraîchissant dont la station de métro Château d’eau et ses alentours sont le théâtre, ce premier film se révèle d’une grande justesse.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
La Vie de château n’est certes pas un chef-d’œuvre moulé dans le bronze. C’est une comédie de quartier sympathique et bien sentie, réglée sur un tempo cool, prenant le temps de regarder attentivement un pan de réalité urbaine peu vu dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Maxime Kasparian
Cédric Ido et Modi Barry entendent rendre hommage au quartier de leur jeunesse, ce Paris rêvé par les exilés africains venus vivre en France dont les réalisateurs restituent la bonne humeur, notamment à travers une bande-son énergique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Magouilles, jalousies, quiproquos, intrigues florentines entre deux bacs à shampooing, si ce tableau vif d'un petit monde pittoresque souffre de certaines maladresses, il ne manque ni de sève ni de personnages attachants, dominés par le charisme à la Idriss Elba de l'interprète principal (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une comédie bon esprit, qui joue avec les codes de la blaxploitation et qui tort le cou aux clichés.
Critikat.com
par Clément Graminiès
S'il n'a rien d'antipathique, le résultat reste beaucoup trop anecdotique pour que le charme opère réellement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Le film manque d'un scénario un peu plus cohérent, mais la gaieté, les joutes verbales, la bienveillance des gens, tout est gai.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Isabelle Regnier
Plus proche de la lecture de scénario filmée que de ce qu’évoque le mot « cinéma », le film a le mérite de mettre au jour cet angle mort du cinéma français, qui ignore globalement tout ce qui n’a à voir ni avec la bourgeoisie blanche ni avec la réalité des banlieues.
Libération
par Didier Péron
Il s’agit de rester bon esprit, ce qu’on peut comprendre, mais c’est quand même un peu au prix d’un minimum d’effort de lucidité véritablement descriptive.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
L’intrigue, succincte, est transcendée par un formidable travail documentaire. On en regrette presque que le film ne se contente pas d’enregistrer la réalité brute de ce miniquartier africain avec ses lois et ses conflits. De toute façon, belle initiative que cette description chaleureuse d’une réalité concrète de la rue parisienne.
La Septième Obsession
Un étonnant huis clos à ciel ouvert qui joue avec un plaisir débordant des codes de la comédie.
Le Figaro
Ce premier film est assez brouillon, écrit à la diable, mais il a le charme du primesaut et traduit le désordre régnant, aux limites de la légalité.
Le Journal du Dimanche
Cet élan sympathique, sinon salutaire, offre une belle échappée, mais aurait mérité des dialogues plus percutants encore, des situations plus échevelées.
Le Parisien
Le film n'est pas un documentaire, mais c'est son décor ultraréaliste qui fait de "La Vie de château" une comédie aussi savoureuse.
Les Fiches du Cinéma
Vaudeville plein de charme et rafraîchissant dont la station de métro Château d’eau et ses alentours sont le théâtre, ce premier film se révèle d’une grande justesse.
Les Inrockuptibles
La Vie de château n’est certes pas un chef-d’œuvre moulé dans le bronze. C’est une comédie de quartier sympathique et bien sentie, réglée sur un tempo cool, prenant le temps de regarder attentivement un pan de réalité urbaine peu vu dans le cinéma français.
Première
Cédric Ido et Modi Barry entendent rendre hommage au quartier de leur jeunesse, ce Paris rêvé par les exilés africains venus vivre en France dont les réalisateurs restituent la bonne humeur, notamment à travers une bande-son énergique.
Télérama
Magouilles, jalousies, quiproquos, intrigues florentines entre deux bacs à shampooing, si ce tableau vif d'un petit monde pittoresque souffre de certaines maladresses, il ne manque ni de sève ni de personnages attachants, dominés par le charisme à la Idriss Elba de l'interprète principal (...).
Voici
Une comédie bon esprit, qui joue avec les codes de la blaxploitation et qui tort le cou aux clichés.
Critikat.com
S'il n'a rien d'antipathique, le résultat reste beaucoup trop anecdotique pour que le charme opère réellement.
L'Obs
Le film manque d'un scénario un peu plus cohérent, mais la gaieté, les joutes verbales, la bienveillance des gens, tout est gai.
Le Monde
Plus proche de la lecture de scénario filmée que de ce qu’évoque le mot « cinéma », le film a le mérite de mettre au jour cet angle mort du cinéma français, qui ignore globalement tout ce qui n’a à voir ni avec la bourgeoisie blanche ni avec la réalité des banlieues.
Libération
Il s’agit de rester bon esprit, ce qu’on peut comprendre, mais c’est quand même un peu au prix d’un minimum d’effort de lucidité véritablement descriptive.