Mon compte
    The Young Lady
    Note moyenne
    3,1
    2642 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Young Lady ?

    146 critiques spectateurs

    5
    4 critiques
    4
    52 critiques
    3
    56 critiques
    2
    19 critiques
    1
    10 critiques
    0
    5 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    65 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 avril 2017
    Récompensé doublement au Festival de Valenciennes (par le Grand Prix du Jury et le Prix de la meilleure interprétation féminine pour Florence Pugh), « Lady Macbeth » fait partie des incontournables de ce mois d’avril. Pour son atmosphère, sa réalisation, son histoire et son casting incroyable, le premier film de William Oldroyd relève le pari difficile de donner un regard neuf sur une histoire aux apparences de déjà vu. Le metteur en scène britannique marque de son empreinte de génie le cinéma d’époque et pose les jalons d’une carrière cinématographique qu’on lui souhaite prolifique !
    Viintage_dreams T.
    Viintage_dreams T.

    39 abonnés 413 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 mars 2018
    Je ne sais que relever de ce film à part la beauté de cette Katherine jouée par la talentueuse Florence Pugh.
    Ce film rappelle les romans comme Jane Eyre, Une vie de Maupassant, Les Hauts du hurlevent...
    Je m'attendais à plus d'impact sur nous, or non on n'y voit que la protagoniste dormir et courir dans les bras de son amant.
    Je déconseille, surtout parce qu'il n'y a quasiment aucun dialogue, le film est morne tout simplement.
    velocio
    velocio

    1 321 abonnés 3 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 avril 2017
    William Oldroyd, le réalisateur de "The Young Lady", et Alice Birch, la scénariste du film, viennent tous les deux du monde du théâtre Shakespearien. C’est Alice Birch qui, la première, a eu l’idée d’adapter pour le cinéma le roman « Lady Macbeth du district de Mtsensk » écrit en 1865 par l’écrivain russe Nicolaï Leskov et déjà adapté en opéra par Chostakovitch en 1934. Elle en a proposé la réalisation à William Oldroyd dont c’est le premier long métrage.

    1865, quelque part dans la campagne anglaise. Il faudrait vraiment ne pas avoir de cœur pour ne pas plaindre Katherine, cette jeune épouse qu’on a mariée sans lui demander son avis et dont le mari, futur héritier d’un grand domaine et beaucoup plus âgé qu’elle, souvent absent, exige de sa femme, quand il est présent, qu’elle se mette nue afin de pouvoir se livrer au plaisir solitaire plutôt que de partager charnellement ce plaisir avec elle. Si on ajoute au tableau que son beau-père est un vieillard despotique et que ces deux hommes qui gouvernent sa vie lui ordonnent de rester dans la maison alors qu’elle aime par dessus tout être dehors, on conçoit qu’elle ait très vite l’envie d’aller voir ailleurs. C’est sous les traits de Sebastian, un des palefreniers du domaine que cet ailleurs va se présenter. Un homme frustre mais qui a le mérite de faire découvrir à Katherine les plaisirs que son mari lui a toujours refusés. Difficile d’entretenir, tout en la cachant, une telle liaison dans l’environnement du domaine et Katherine va devoir se montrer prête à tout pour pouvoir faire vivre coûte que coûte cette passion amoureuse à laquelle elle ne peut résister.

    "The Young Lady" enjambe avec bonheur les frontières temporelles et géographiques en permettant à Vermeer de rencontrer D.H. Lawrence et la littérature russe du 19ème siècle. Il prouve aussi qu’il est possible de réaliser des films puissants et visuellement magnifiques avec un budget limité et il nous permet de faire la connaissance de Florence Pugh, une comédienne anglaise de 21 ans dont tout porte à croire qu’elle est à l’orée d’une très, très grande carrière.
    Willy A.
    Willy A.

    4 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Florence Pugh est remarquable, l'ensemble est d'une froideur à vous glacer le sang ! ... C'est le but !
    ferdinand75
    ferdinand75

    564 abonnés 3 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mars 2017
    Un film intéressant mais pourtant assez irrégulier. Des points très réussis comme la reconstitution du XiXe siècle dans la campagne anglaise, tout en sobriété. Des costumes très soignés, des intérieurs épurés, une lenteur bien adaptée à l’époque, le jeu des acteurs sans fioriture. On y croit et le réalisme de la mise en scène nous embarque bien dans cette atmosphère austère. L’histoire se rapproche très fortement du célèbre « Lady Chatterley » . Une jeune fille récemment mariée à un Lord de campagne, qui la délaisse, va s’éprendre du palefrenier du domaine. Elle était délaissée et ce sera un éveil à la sensualité et au plaisir, qui vont lui faire tourner la tête et commettre l’irréparable. Une passion dévorante mais dévastatrice. Mais il y alors beaucoup d’incohérence dans le scénario et on a du mal à croire à cette histoire ( tirée d’un roman russe du XiXe siècle). Le palefrenier est vraiment rustaud, et dort à l’étable à même le sol, beaucoup de personnages de couleurs, dans cette campagne reculée d’Angleterre nous rappelle plus le Mississipi US que le Northumberland .On ne comprend pas bien ce casting multi- culturel qui enlève de la crédibilité !! . Pourtant l’actrice principale Florence Pugh , est excellente , venant du théâtre anglais, mais le palefrenier n’est pas crédible , tour à tour, amant irresponsable, hibou désorienté, gros rustre , tout sauf séduisant, puis lâche dénonciateur. Beaucoup de facettes que le pauvre Cosmo Jarvis (chanteur qui vient de New – York, !! ) n’arrive pas à endosser, on y croit absolument pas . Du coup le film frôle parfois le grotesque. L’arrivée d’une mulâtre, et de son petit fils pour un coup de théâtre final, sur un scénario bancal, ne fait qu’aggraver la situation. Et l’on décroche très vite de cette histoire improbable. C’est dommage car l’actrice avait su nous captiver et la reconstitution historique était impeccable.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    190 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mars 2017
    Malgré la qualité de l'interprétation, des décors, le film manque un peu de rythme. Malgré sa courte durée, le film traine un peu et révèle une histoire assez basique. Cette young lady est capable de tout par amour. spoiler: Une sorte de serial killeuse à l'époque
    pierrre s.
    pierrre s.

    441 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mars 2017
    Le film est court (1h25), on ne s'ennui pas, mais paradoxalement il ne s'y passe pas grand chose, notamment au début. Le film ayant un budget très faible (environ 600000 euros) la réalisation est des plus basique, succession de plans fixes, beaucoup de caméra à l'épaule, et les décors restent également simples. Côté histoire, on retrouve bien les "caractéristiques" du personnage de Shakespeare avec la folie meurtrière qui l'accompagne. Compte tenu de ses faibles moyens, on peut parler d'une réussite.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    252 abonnés 884 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2017
    The Young Lady est un film réellement surprenant qui s’aventure sur un terrain totalement inattendu et raconte une histoire bien plus complexe que le laisse croire la bande annonce très conventionnelle. Il doit beaucoup à la prestation percutante de la jeune Florence Pugh, d’abord fragile puis rebelle et drôle avant de devenir démoniaque, dont on attend avec impatience de découvrir si elle saura pérenniser ce début de carrière très prometteur. [lire la critique complète sur le site]
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    191 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 mars 2017
    Un premier film à petit budget en costume : c'est osé mais le manque de moyen est parfois source de créativité. Adapté d'un roman, le scénario nous emmène dans un comté anglais où une jeune femme épouse un homme de deux fois son âge par obligation afin de faire naitre un héritier. Mais la jeune épouse ne sera pas si docile et va vite affirmer son caractère. Au départ, on ressent l'ennui du personnage puis les péripéties sont de plus en plus poussées et morbides et le manque de rythme entraine quelques longueurs. On lui donne raison à cette jeune femme, du moins au début. Puis petit à petit cela va trop loin et on décroche un peu. C'est du point de vue de la mise en scène que c'est intéressant. Le réalisateur arrive à nous faire ressentir l'enfermement de son personnage et son besoin d'évasion, d'indépendance et d'affirmation grâce à de très bons cadrages. Les plans dans la campagne sont superbes. L'absence de musique ajoute une ambiance pesante avec le vent soufflant continuellement. Les acteurs sont tous convaincants. Cette jeune actrice va faire parler d'elle. Un film moyen qui se démarque surtout visuellement.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2017
    Un thriller domestique glaçant digne de la "main sur le berceau". Avec ça on comprend tout de suite ce que l'on va voir...
    Huis-clos en costume, sans une note de musique, filmé comme une pièce de théâtre avec une actrice impressionnante dans son jeu d'une inexpressivité incroyablement maîtrisée.
    On ressent cette transformation intérieure des sentiments uniquement par le regard extérieur des autres personnages. L'amour de l'homme est entré en elle comme un poison....
    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    79 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2017
    Premier film de l’Anglais William Oldroyd, metteur en scène de théâtre à Londres et dans le monde entier. Sans doute cette passion du théâtre n’est-elle pas étrangère à son désir de faire le portrait d’un personnage shakespearien aussi mythique. Pour autant, point question ici d’héroïne moyenâgeuse, puisqu’il s’agit de l’adaptation d’un roman russe de Nicolaï Leskov, dont l’histoire se déroule au XIXe siècle. La jeune Katherine (Florence Pugh, magnifique révélation) vient d’épouser un riche marchand deux fois plus âgé qu’elle. Cloîtrée, rudoyée, délaissée, elle s’ennuie à périr dans son château perdu dans les brumes. En l’absence de son mari, elle fait la connaissance d’un palefrenier dont elle s’éprend passionnément. Cette folie amoureuse ne connaîtra aucune limites. Malheur à ceux qui constitueront une menace à son nouveau bonheur. Réalisé avec un budget modique pour un film d’époque, le film n’en souffre pas, il en profite au contraire. Cette mise en scène humble (mais superbement créative), sobre et austère apporte beaucoup d’intensité au propos. Les décors sont sublimes et les cadres, comme des tableaux vivants, hyper travaillés et sans esbroufe, impressionnent par leur beauté. Malgré le thème éminemment dramatique, le scénario n’est pas dénué d’humour. Et la dérive meurtrière de lady Katherine ne parvient pourtant pas à la rendre antipathique. C’est avant tout une femme qui se rebelle contre sa condition et l’infantilisation dont son sexe est victime depuis la nuit des temps. Elle est monstrueuse et touchante à la fois. Courageuse et mortifère, complètement folle et terriblement lucide. Un cocktail au goût de sang à tester sans attendre.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top