Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Marie Claire
par Romain Blondeau
Basculant du drame historique au film d'horreur sanglant, ce récit d'émancipation à la mise en scène contemplative et gracieuse saisit toute la violence d'une société patriarcale, et nous hante longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Transfuge
par Nathalie Dassa
William Oldroyd évite l'écueil du traditionnel film d'époque pour son premier long, éblouissant (...).
Bande à part
par Olivier Pélisson
Dans le paysage passionnant des premiers films, The Young Lady avance avec audace. Fort de son originalité et de sa tenue. William Oldroyd réussit un drame sec et puissant, porté par Florence Pugh, incandescente en héroïne complexe.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un premier film mené à la baguette, lapidaire, austère, rigoriste. Une petite merveille victorienne.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Drame social, fait-divers macabre, chronique de l’ennui et de la désillusion amoureuse, "The Young Lady" est en réalité plus proche de "Madame Bovary" que du romantisme exalté des sœurs Brontë.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le jeune réalisateur William Oldroyd nous projette dans un thriller historique aux résonances contemporaines, avec un romanesque envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Sandra Benedetti
Mise en scène sans esbroufe. Chapeau.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec ce huis clos faussement corseté et d’une cruauté ravageuse sur les rapports de classe et la violence du patriarcat, William Oldroyd impose un style qui évoque Henry James et Michael Haneke, et une actrice, Florence Pugh, étonnante en Bovary trash.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Adapté d’un roman russe et très victorien, un drame où une Emma Bovary mâtinée de Lady Chatterley et de Lady Macbeth se trouve passée au moule hitchcockochabrolien, portée par une interprète qui en a le caractère résolu et inquiétant.
Le Figaro
par Nathalie Simon
Un huis clos somptueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Avec austérité mais non sans lyrisme, William Oldroyd filme la mue d’une épouse opprimée en criminelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Sophie Pujas
Un premier film aussi somptueux que dérangeant.
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Une adaptation soignée servie par des comédiens talentueux.
Ouest France
par Cédric Page
Le dépouillement des décors, plutôt que trahir un budget limité, sert magnifiquement le propos, en soulignant la froideur et l'austérité des grandes demeures aristocratiques de l'époque.
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur anglais William Oldroyd, dont il s'agit du premier long métrage et qui vient de la scène, a su éviter le piège du théâtre filmé en donnant à la Nature qui entoure le domaine un rôle à part entière, comme un élément fantastique qui nourrit et entretient les noirs desseins de l'héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Ce qui apparaît comme un récit d'émancipation féminine prend toutefois une tournure fort surprenante. Un peu comme si Hitchcock venait y semer le désordre, y injecter une fose de perversité.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le portrait est d’une cruauté qui pourtant, n’empêche jamais l’empathie. Du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
"The Young Lady" n'est pas un mélo romantique à la Jane Austen, mais un huis clos ciselé, à la dimension sociale forte et au casting subtil.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Féru de liberté, ce drame du désir est insatiable, passionné et ardent. Baignant dans un torrent de noirceur, il dissèque avec brio l’image de la femme dans la société rurale victorienne, loin des clichés nubiles d’une certaine Jane Austen.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce film britannique, tiré d’un roman russe inspiré par Shakespeare, fait le choix d’une sécheresse qui assure sa réussite, jusqu’à un certain point.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Les raccourcis psychologiques sont quelque peu rattrapés par une mise en scène stylisée, transcendée par une photo hyper sophistiquée.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Filmé à distance comme Michael Haneke, ce drame, qui soigne son cadre et sa lumière, raconte une escalade de la violence et l’émancipation d’une Lady Chatterley qui devient Lady Macbeth.
Le Parisien
par Catherine Balle
Il y a des scènes insoutenables dans ce film intense et puissamment interprété.
Critikat.com
par Benoît Smith
Indéniable pouvoir de fascination de Katherine, qui méritait que soit posé sur elle un regard moins académique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Une mise en scène sentencieuse et scolaire, jamais à la hauteur de ses excellents interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
L’élégance superficielle du film, vaguement inspiré de Macbeth, et sa stigmatisation du rigorisme d’antan cautionnent un massacre en règle mais gratuit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Qui plus est, cette adaptation ne fausse pas seulement le drame original, elle gomme son climax romanesque. Cela étant corroboré par une mise en scène hypocrite, pseudo chicos et dépouillée, qui voudrait stigmatiser l’horreur socio-politico-raciale du passé tout en préservant des apparences pures et classiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Le résultat fige l’héroïne dans un rôle de pantin asservi à ses propres passions.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Louis Guichard
Le film entier relève du surplace, si spectaculaire soit la barbarie des rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marie Claire
Basculant du drame historique au film d'horreur sanglant, ce récit d'émancipation à la mise en scène contemplative et gracieuse saisit toute la violence d'une société patriarcale, et nous hante longtemps après la projection.
Transfuge
William Oldroyd évite l'écueil du traditionnel film d'époque pour son premier long, éblouissant (...).
Bande à part
Dans le paysage passionnant des premiers films, The Young Lady avance avec audace. Fort de son originalité et de sa tenue. William Oldroyd réussit un drame sec et puissant, porté par Florence Pugh, incandescente en héroïne complexe.
CinemaTeaser
Un premier film mené à la baguette, lapidaire, austère, rigoriste. Une petite merveille victorienne.
Culturopoing.com
Drame social, fait-divers macabre, chronique de l’ennui et de la désillusion amoureuse, "The Young Lady" est en réalité plus proche de "Madame Bovary" que du romantisme exalté des sœurs Brontë.
Franceinfo Culture
Le jeune réalisateur William Oldroyd nous projette dans un thriller historique aux résonances contemporaines, avec un romanesque envoûtant.
L'Express
Mise en scène sans esbroufe. Chapeau.
L'Obs
Avec ce huis clos faussement corseté et d’une cruauté ravageuse sur les rapports de classe et la violence du patriarcat, William Oldroyd impose un style qui évoque Henry James et Michael Haneke, et une actrice, Florence Pugh, étonnante en Bovary trash.
Le Dauphiné Libéré
Adapté d’un roman russe et très victorien, un drame où une Emma Bovary mâtinée de Lady Chatterley et de Lady Macbeth se trouve passée au moule hitchcockochabrolien, portée par une interprète qui en a le caractère résolu et inquiétant.
Le Figaro
Un huis clos somptueux.
Le Monde
Avec austérité mais non sans lyrisme, William Oldroyd filme la mue d’une épouse opprimée en criminelle.
Le Point
Un premier film aussi somptueux que dérangeant.
Les Fiches du Cinéma
Une adaptation soignée servie par des comédiens talentueux.
Ouest France
Le dépouillement des décors, plutôt que trahir un budget limité, sert magnifiquement le propos, en soulignant la froideur et l'austérité des grandes demeures aristocratiques de l'époque.
Paris Match
Le réalisateur anglais William Oldroyd, dont il s'agit du premier long métrage et qui vient de la scène, a su éviter le piège du théâtre filmé en donnant à la Nature qui entoure le domaine un rôle à part entière, comme un élément fantastique qui nourrit et entretient les noirs desseins de l'héroïne.
Studio Ciné Live
Ce qui apparaît comme un récit d'émancipation féminine prend toutefois une tournure fort surprenante. Un peu comme si Hitchcock venait y semer le désordre, y injecter une fose de perversité.
Sud Ouest
Le portrait est d’une cruauté qui pourtant, n’empêche jamais l’empathie. Du grand art.
Voici
"The Young Lady" n'est pas un mélo romantique à la Jane Austen, mais un huis clos ciselé, à la dimension sociale forte et au casting subtil.
aVoir-aLire.com
Féru de liberté, ce drame du désir est insatiable, passionné et ardent. Baignant dans un torrent de noirceur, il dissèque avec brio l’image de la femme dans la société rurale victorienne, loin des clichés nubiles d’une certaine Jane Austen.
La Croix
Ce film britannique, tiré d’un roman russe inspiré par Shakespeare, fait le choix d’une sécheresse qui assure sa réussite, jusqu’à un certain point.
La Voix du Nord
Les raccourcis psychologiques sont quelque peu rattrapés par une mise en scène stylisée, transcendée par une photo hyper sophistiquée.
Le Journal du Dimanche
Filmé à distance comme Michael Haneke, ce drame, qui soigne son cadre et sa lumière, raconte une escalade de la violence et l’émancipation d’une Lady Chatterley qui devient Lady Macbeth.
Le Parisien
Il y a des scènes insoutenables dans ce film intense et puissamment interprété.
Critikat.com
Indéniable pouvoir de fascination de Katherine, qui méritait que soit posé sur elle un regard moins académique.
Ecran Large
Une mise en scène sentencieuse et scolaire, jamais à la hauteur de ses excellents interprètes.
L'Humanité
L’élégance superficielle du film, vaguement inspiré de Macbeth, et sa stigmatisation du rigorisme d’antan cautionnent un massacre en règle mais gratuit.
Les Inrockuptibles
Qui plus est, cette adaptation ne fausse pas seulement le drame original, elle gomme son climax romanesque. Cela étant corroboré par une mise en scène hypocrite, pseudo chicos et dépouillée, qui voudrait stigmatiser l’horreur socio-politico-raciale du passé tout en préservant des apparences pures et classiques.
Libération
Le résultat fige l’héroïne dans un rôle de pantin asservi à ses propres passions.
Télérama
Le film entier relève du surplace, si spectaculaire soit la barbarie des rebondissements.